L'horreur... et ces mecs disent croire en dieu ? C'est plutôt le diable qu'ils servent :
Source : Le Figaro
Kenya : une survivante retrouvée 50 heures après le massacre de Garissa
Cachée dans un placard, cette chrétienne de 19 ans priait pendant que les islamistes accomplissaient leur sinistre besogne. D'autres survivants racontent les détails glaçants du massacre qui a fait 148 morts. Trois jours de deuil national ont été décrétés.
Extrait de l'article :
Une survivante a été découverte dans une penderie, plus de 50 heures après l'attaque, par les forces de sécurité qui ratissent le campus à la recherche de rescapés ou d'éventuels suspects. Cynthia Cheroitich, 19 ans, est restée cachée dans un placard pendant que les islamistes accomplissaient leur sinistre besogne, et a refusé d'en sortir même quand ses camarades sont sortis de leurs cachettes. Les policiers qui passent la zone au peigne fin ont entendu du bruit venant d'un placard et lui ont demandé de sortir. Elle a refusé et un professeur a dû la convaincre qu'elle était en sécurité pour qu'elle accepte de s'extraire de sa cachette.«Elle n'arrêtait pas de demander aux forces de sécurité de lui assurer qu'ils n'étaient pas des chebab avant de sortir», a expliqué un policier. Elle était tellement assoiffée qu'elle a bu de la lotion pour se sustenter, rapporte l'Associated Press. «Je priais mon Dieu» a simplement commenté cette chrétienne au sortir de son calvaire. Quatre autres survivants ont été découverts sur le campus.
D'autres détails sanglants emergent deux jours après le drame. D'après des témoignages de survivants relayés par CNN, les islamistes ont parcouru le campus, triant méthodiquement les musulmans et les chrétiens, épargnant les premiers, tuant les seconds. Ils ponctuaient leur macabre tâche de sermons religieux. CNN livre un récit circonstancié de l'attaque par une survivante, Hellen Titus. Les assaillants les ont tous mis dans une salle, raconte-t-elle, leur ont demandé de s'allonger, puis leur ont lu des passages du Coran interdisant le meurtre des femmes. Ils ont d'abord tué les hommes. Puis finalement ont tourné leurs armes vers les femmes aussi. Pour survivre, l'étudiante s'est étalée le sang d'un de ses amis sur le visage et a fait semblant d'être morte. «Je me suis frottée, imbibée de ce sang… Ils m'ont oubliée», témoigne la jeune femme.
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Kenya : une survivante retrouvée 50 heures après le massacre de Garissa