Attentats au Nigeria

Il est impossible que des islamistes attaquent des mosquées et des musulmans car ils partagent la même religion. :rolleyes:

Les seuls victimes sont des occidentales (au sens commun). :fou:
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Nigeria : trois morts dans une attaque suicide

Une attaque suicide a fait trois morts et 18 blessés lundi soir dans la banlieue de Maiduguri, ville du Nord du Nigeria.
Une attaque suicide, menée par une personne à bicyclette portant une ceinture d’explosif, a fait trois morts et 18 blessés lundi soir dans la banlieue de Maiduguri, ville du Nord du Nigeria.
« L’attaque s’est produite à 20H20 (19H20 GMT) au milieu d’un groupe de résidents. Il n’y a aucun doute que cette attaque porte la signature des terroristes de Boko Haram », a déclaré Musa Aira, un responsable de la milice civile qui aide les forces armées à combattre le groupe islamiste.
Cette zone de la ville de Maiduguri, un vaste camp de réfugiés de personnes déplacées par le conflit, a plusieurs fois été la cible d’attaques-suicides de membres de Boko Haram, notamment des femmes.

ouestfrance
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Nigeria: colère après la disparition de lycéennes lors d'une attaque de Boko Haram

Quatre jours après l'attaque d'une école à Datchi, la plus grande confusion régnait dans cette ville du nord-est du Nigeria, où des heurts ont éclaté entre forces de l'ordre et habitants, toujours sans nouvelles des dizaines de jeunes filles portées disparues.

La police a affirmé mercredi que 111 élèves de l'internat pour filles de Dapchi manquaient à l'appel depuis une attaque menée par des combattants du groupe jihadiste Boko Haram lundi soir.

Leur disparition a ravivé la crainte d'un "nouveau Chibok", du nom de la ville de l'Etat voisin du Borno où Boko Haram avait enlevé 276 élèves d'un internat en avril 2014, provoquant une vague d'indignation mondiale.
 
Nigéria: une centaine d'écolières de Dapchi ramenées à leurs parents par Boko Haram


Une centaine d'écolières enlevées le 19 février par des militants islamistes de Boko Haram à Dapchi dans le nord du Nigeria ont été ramenées à leur école par leurs ravisseurs, ont affirmé à l'AFP des parents.

"Les filles ont été ramenées dans neuf véhicules et déposées devant l'école vers 8h00", a affirmé Bashir Manzo, qui dirige une association d'aide aux parents des enfants enlevés, en ajoutant que les autorités devaient procéder à un décompte précis des filles libérées.

Au moins une d'entre elles est décédée pendant sa captivité

"J'ai une liste des filles manquantes avec moi, et là je me rends à l'école pour faire l'appel et voir si certaines d'entre elles sont toujours disparues", a-t-il expliqué. "Mais pour l'instant nous savons qu'au moins une d'entre elles est décédée" pendant sa captivité.

"Elles n'étaient accompagnées d'aucune force de sécurité. Leurs ravisseurs les ont juste déposées et sont partis, sans parler a personne", a ajouté M. Manzo.
Cette libération a été confirmée par un autre père de famille qui affirme de son côté que "toutes ont été libérées", sauf "quelques unes qui ne sont plus en vie".

"J'ai vu ça aux infos", explique de son côté le porte-parole de l'armée nigériane, John Agim. "J'ai appelé le commandement".

Des combattants présumés du groupe de Boko Haram affiliés au groupe de l'Etat Islamique avaient mené le 19 février un raid sur le pensionnat de l'école pour filles de Dapchi (Etat de Yobe) et étaient repartis avec 110 jeunes filles âgées de 10 à 18 ans.

Réaction tardive de l'armée nigériane

Mardi, Amnesty International a accusé l'armée nigériane d'avoir été informée des déplacements de combattants dans la région de Dapchi juste avant ce kidnapping de masse, mais de n'avoir pas réagi à temps.
Ce drame s'est déroulé dans des circonstances quasi identiques au kidnapping de Chibok, en avril 2014, où plus de 200 lycéennes ont été enlevées déclenchant une vague d'émotion mondiale. Une centaine d'entre elles se sont échappées ou ont été libérées aux termes de négociations avec le gouvernement.

Selon les experts, les rançons versées et les prisonniers libérés, en échange de la libération d'une centaine de lycéennes de Chibok, ont pu motiver Boko Haram à commettre un nouveau enlèvement de masse.
Yan St-Pierre, expert en contre-terrorisme pour MOSECOM, note que les filles de Dapchi ne sont pas les premières otages a avoir été libérées cette année.

"Mais cette libération est assez étonnante pour ne pas soulever beaucoup de questions, notamment sur le paiement de rançons", soulève-t-il.
"Si c'est ce qu'il s'est passé, le gouvernement nigérian a dû payer une somme importante pour accélérer le processus et éviter un autre Chibok", analyse M. St-Pierre.

https://www.rtbf.be/info/monde/deta...ees-a-leurs-parents-par-boko-haram?id=9872594
 
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