Tu le dis bien, Le Coran parle de ce que l'on voit; le on, c'est les hommes.
Où peut-on lire dans le Coran que les hommes habitent un tapis de fleur et que la Voûte Céleste qui y est décrite surplombe un escalier?
Comme tu semble avoir des difficultés à comprendre mes posts, je vais essayer avec un dictionnaire, prenons le Larousse : ok ?
Terre :
1. Planète du système solaire habitée par l'homme (avec une majuscule).
2.
Surface de cette planète ; ensemble des lieux habités, le monde : Parcourir la terre.
3.Ensemble des hommes, de l'humanité : Des conflits qui bouleversent la terre entière.
3. Lieu où l'homme passe sa vie, par opposition à l'au- delà, au ciel ou à la mort : Ne pas croire au bonheur sur cette terre. Partie solide et émergée du globe, par opposition à la mer, aux eaux, à l'air : Être en vue de la terre. (On dit aussi terre ferme.)
4.
La surface solide où l'homme marche, se déplace, vit, construit, etc. : Tomber la face contre terre.
5.
Étendue de la surface solide du globe, considérée d'un point de vue géographique, national, régional, etc. : Les terres arctiques. Étendue de terrain qui est la propriété de quelqu'un, d'une commune, etc. : Un propriétaire vivant sur ses terres.
6.
Matière constituant la couche superficielle du globe où croissent les végétaux : Creuser la terre.
7.
Sol cultivable : Une terre à blé. Sol considéré comme l'élément de base de la vie et des activités rurales ; ces activités elles-mêmes (au singulier) : Les produits de la terre.
Si tu ne comprend toujours pas la différence entre le mot arabe al-Ard et la notion de planète, alors c'est cause perdue pour l'issue de cette discussion. Le Coran ne parle pas de planète, mais de la terre, la partie visible qui est habitée. Sur laquelle nous marchons, construisons et nous déplaçons. Et, à titre d'information, le Coran utilise le terme tapis, mais ne parle pas de platitude : ça s'est un ajout dans le texte d'une notion absente. N'importe quel idiot voit bien que la Terre n'est pas un verre poli sans relief. C'est malsain comme type d'approche et ça marque un manque de neutralité flagrant de la part de ceux qui véhiculent ce type d'argument.