salam
Un enfant dévalorisé par ses parents culpabilise
C’est un point important que nous devons prendre en compte. Un enfant n’a pas assez de maturité pour interpréter un jugement de ses parents en l’attribuant à une cause extérieure. De plus, il ne peut pas imaginer que ses parents ne soient pas capables de l’aimer.
Il a donc tendance à réagir à une insulte, humiliation, dévalorisation ou un manque d’attention en culpabilisant. Il arrive aux conclusions que c’est son comportement qui est la cause de cette humeur chez des parents en qui il a une confiance aveugle. Il se dit que s’il était meilleur, plus sage ou différent, ils l’aimeraient plus.
Restez attentif aux signes de retrait de votre enfant Lorsque un enfant semble se mettre soudain en retrait par rapport à une réaction de votre part, demandez-lui ce qui ne va pas. Aidez-le à poser des mots sur ses émotions et remettez-vous aussi en question. Les intentions que nous avons ne sont parfois pas celles qui sont perçues par nos enfants. C’est déjà le cas entre adultes alors entre un enfant et un adulte…
Quoi qu’il en soit, soyez attentif et n’hésitez pas à reformuler vos requêtes calmement en veillant à ce que vos mots ne dépassent pas vos pensées.
Prenez conscience qu’on peut toujours s’excuser et panser les blessures avant qu’elles ne deviennent profondes.
L’ennemi de la confiance en soi : le jugement personnel En tant qu’adultes, notre confiance vacille quand nous sommes l’objet de critiques personnelles. Pour les enfants, qui n’ont pas notre expérience et nos outils de défense, tout jugement d’un parent apparait comme une vérité qui heurte leur sensibilité et entame leur confiance. De plus, les émotions négatives générées ont tendance à s’ancrer dans la mémoire car le cerveau les range dans des catégories d’alertes à l’intégrité physique ou morale.
Elles représentent un danger.
Isabelle Filliozat conseille de bannir le « tu es… », synonyme de jugement personnel, et de le remplacer par une formulation commençant par « je… ».
Ainsi, « tu es idiot/maladroit/violent » deviendra « Je suis mécontent… » « Je ne veux pas… » « J’ai besoin… ».
Un enfant dévalorisé par ses parents culpabilise
C’est un point important que nous devons prendre en compte. Un enfant n’a pas assez de maturité pour interpréter un jugement de ses parents en l’attribuant à une cause extérieure. De plus, il ne peut pas imaginer que ses parents ne soient pas capables de l’aimer.
Il a donc tendance à réagir à une insulte, humiliation, dévalorisation ou un manque d’attention en culpabilisant. Il arrive aux conclusions que c’est son comportement qui est la cause de cette humeur chez des parents en qui il a une confiance aveugle. Il se dit que s’il était meilleur, plus sage ou différent, ils l’aimeraient plus.
Restez attentif aux signes de retrait de votre enfant Lorsque un enfant semble se mettre soudain en retrait par rapport à une réaction de votre part, demandez-lui ce qui ne va pas. Aidez-le à poser des mots sur ses émotions et remettez-vous aussi en question. Les intentions que nous avons ne sont parfois pas celles qui sont perçues par nos enfants. C’est déjà le cas entre adultes alors entre un enfant et un adulte…
Quoi qu’il en soit, soyez attentif et n’hésitez pas à reformuler vos requêtes calmement en veillant à ce que vos mots ne dépassent pas vos pensées.
Prenez conscience qu’on peut toujours s’excuser et panser les blessures avant qu’elles ne deviennent profondes.
L’ennemi de la confiance en soi : le jugement personnel En tant qu’adultes, notre confiance vacille quand nous sommes l’objet de critiques personnelles. Pour les enfants, qui n’ont pas notre expérience et nos outils de défense, tout jugement d’un parent apparait comme une vérité qui heurte leur sensibilité et entame leur confiance. De plus, les émotions négatives générées ont tendance à s’ancrer dans la mémoire car le cerveau les range dans des catégories d’alertes à l’intégrité physique ou morale.
Elles représentent un danger.
Isabelle Filliozat conseille de bannir le « tu es… », synonyme de jugement personnel, et de le remplacer par une formulation commençant par « je… ».
Ainsi, « tu es idiot/maladroit/violent » deviendra « Je suis mécontent… » « Je ne veux pas… » « J’ai besoin… ».