SAHARA: BAN KI-MOON AFFIRME NE PAS MAÎTRISER LE DOSSIER ET LE PERSONNEL DE LA MINURSO VIT MAL LA FIN DES VACANCES
Ban Ki-moon a avoué sa méconnaissance du dossier du Sahara, affirmant s’en remettre à l’expertise de ses collaborateurs. Lundi, il engage une ultime action auprès des membres du Conseil de sécurité pour plaider le maintien du personnel de la Minurso qui vit des vacances dorées, payées par le Maroc.
Ban Ki-moon ne s’attendait certainement pas au retentissement planétaire de ses écarts de conduite sur le dossier du Sahara. Il est très surpris par l’ampleur médiatique au sujet d’un conflit qu’il considérait comme mineur dans l’ordre hiérarchique des dossiers dont il a la charge. Le360 a appris de sources sûres que le secrétaire général de l’ONU a confié que le conflit du Sahara n’a jamais été un dossier prioritaire à ses yeux et qu’il se consacrait à des affaires autrement plus importantes. Ban Ki-moon a ajouté que ce sont ses collaborateurs qui maîtrisent ce dossier et qu’il n’a fait que suivre les recommandations de son staff quand il s’est rendu aux camps de Tindouf en Algérie.
Le premier responsable de l’ONU avoue donc sa méconnaissance du dossier du Sahara. Il ne fait qu’exécuter ce que ses collaborateurs lui susurrent à l’oreille. Etonnante confession qui s’explique, sans doute dans l’esprit de son auteur, par l’espoir de trouver des circonstances atténuantes à la crise qu’il a provoquée. Pourtant, l’aveu d’ignorance de Ban Ki-moon peut surprendre partout, sauf au Maroc.
Depuis des années, les responsables marocains n’ont cessé de répéter que le SG de l’ONU n’a jamais pris le temps de se pencher sur le dossier du Sahara et qu’il prête une écoute exclusive à ce que lui rapportent ses collaborateurs. «Ses collaborateurs lui ont toujours fait faire ce qu’ils veulent», nous précise une source proche du dossier.
Ban Ki-moon a avoué sa méconnaissance du dossier du Sahara, affirmant s’en remettre à l’expertise de ses collaborateurs. Lundi, il engage une ultime action auprès des membres du Conseil de sécurité pour plaider le maintien du personnel de la Minurso qui vit des vacances dorées, payées par le Maroc.
Ban Ki-moon ne s’attendait certainement pas au retentissement planétaire de ses écarts de conduite sur le dossier du Sahara. Il est très surpris par l’ampleur médiatique au sujet d’un conflit qu’il considérait comme mineur dans l’ordre hiérarchique des dossiers dont il a la charge. Le360 a appris de sources sûres que le secrétaire général de l’ONU a confié que le conflit du Sahara n’a jamais été un dossier prioritaire à ses yeux et qu’il se consacrait à des affaires autrement plus importantes. Ban Ki-moon a ajouté que ce sont ses collaborateurs qui maîtrisent ce dossier et qu’il n’a fait que suivre les recommandations de son staff quand il s’est rendu aux camps de Tindouf en Algérie.
Le premier responsable de l’ONU avoue donc sa méconnaissance du dossier du Sahara. Il ne fait qu’exécuter ce que ses collaborateurs lui susurrent à l’oreille. Etonnante confession qui s’explique, sans doute dans l’esprit de son auteur, par l’espoir de trouver des circonstances atténuantes à la crise qu’il a provoquée. Pourtant, l’aveu d’ignorance de Ban Ki-moon peut surprendre partout, sauf au Maroc.
Depuis des années, les responsables marocains n’ont cessé de répéter que le SG de l’ONU n’a jamais pris le temps de se pencher sur le dossier du Sahara et qu’il prête une écoute exclusive à ce que lui rapportent ses collaborateurs. «Ses collaborateurs lui ont toujours fait faire ce qu’ils veulent», nous précise une source proche du dossier.