Etterbeek: un collègue du papa activement recherché
Un homme suspecté du massacre de la famille indienne à Etterbeek serait activement recherché par les enquêteurs, selon Het Laatste Nieuws. Cette personne, un collègue du restaurant où travaille le papa (Ndlr. le "Shake Hands" à Woluwe-Saint-Pierre) aurait pu agir par jalousie. Un couteau, qui pourrait être l'arme du crime, a disparu de l'établissement.
Le suspect, un demandeur d'asile bangladais, aurait eu un différend avec Jasbir Singh, le père de famille qui a découvert le carnage de ses trois enfants et de sa femme. "Il était jaloux parce que j'étais le bras droit du chef cuisinier", aurait-il déclaré.
Une famille "sans histoire"
Le parquet de Bruxelles se refuse toujours à tout commentaire. Quant au papa, qui disposerait d'un alibi en béton, il aurait été aperçu à son boulot jusqu'au soir du drame.
Le collègue suspecté par la police est toujours introuvable pour l'instant. Son appartement aurait été fouillé, sans résultat. Cette affaire reste entourée de multiples zones d'ombre. La famille indienne massacrée est décrite comme "sans histoire".
Un homme suspecté du massacre de la famille indienne à Etterbeek serait activement recherché par les enquêteurs, selon Het Laatste Nieuws. Cette personne, un collègue du restaurant où travaille le papa (Ndlr. le "Shake Hands" à Woluwe-Saint-Pierre) aurait pu agir par jalousie. Un couteau, qui pourrait être l'arme du crime, a disparu de l'établissement.
Le suspect, un demandeur d'asile bangladais, aurait eu un différend avec Jasbir Singh, le père de famille qui a découvert le carnage de ses trois enfants et de sa femme. "Il était jaloux parce que j'étais le bras droit du chef cuisinier", aurait-il déclaré.
Une famille "sans histoire"
Le parquet de Bruxelles se refuse toujours à tout commentaire. Quant au papa, qui disposerait d'un alibi en béton, il aurait été aperçu à son boulot jusqu'au soir du drame.
Le collègue suspecté par la police est toujours introuvable pour l'instant. Son appartement aurait été fouillé, sans résultat. Cette affaire reste entourée de multiples zones d'ombre. La famille indienne massacrée est décrite comme "sans histoire".