Elle refuse de « condamner » la persécution des musulmans de Birmanie: François Hollande lui déclare « toute l’admiration du peuple français »
Droit-de-l'hommisme à géométrie variable. Le chef de L'État a déroulé aujourd'hui le tapis rouge à la parlementaire birmane Aung San Suu Kyi sans un mot sur sa passivité notoire à propos des exactions commises contre la minorité musulmane.
Le 15.04.2014 à 15h22
250 morts et plus de 140 000 déplacés: aucune allusion au drame qui se déroule depuis deux ans en Birmanie. Ce mardi matin, à l'Élysée, François Hollande n'a pas évoqué la persécution des musulmans de Birmanie en présence de son illustre invitée, venue en Europe consolider ses réseaux de soutien : Aung San Suu Kyi. Pour cause: cette dernière continue d'adopter la discrétion sur le sujet.
Comme en témoigne la vidéo officielle ci-dessous, le président de la République n'a pas hésité à déclarer "toute l'admiration du peuple français" à celle qui continue pourtant de "ne pas condamner" les massacres et autres formes de violences exercées à l'encontre de la minorité musulmane des Rohingyas. Pourquoi ce refus? "Je ne trouve pas que la condamnation apporte de bons résultats", déclarait-elle laconiquement en novembre dernier.
La suite :
http://www.panamza.com/150414-birmanie-france
Droit-de-l'hommisme à géométrie variable. Le chef de L'État a déroulé aujourd'hui le tapis rouge à la parlementaire birmane Aung San Suu Kyi sans un mot sur sa passivité notoire à propos des exactions commises contre la minorité musulmane.
Le 15.04.2014 à 15h22
250 morts et plus de 140 000 déplacés: aucune allusion au drame qui se déroule depuis deux ans en Birmanie. Ce mardi matin, à l'Élysée, François Hollande n'a pas évoqué la persécution des musulmans de Birmanie en présence de son illustre invitée, venue en Europe consolider ses réseaux de soutien : Aung San Suu Kyi. Pour cause: cette dernière continue d'adopter la discrétion sur le sujet.
Comme en témoigne la vidéo officielle ci-dessous, le président de la République n'a pas hésité à déclarer "toute l'admiration du peuple français" à celle qui continue pourtant de "ne pas condamner" les massacres et autres formes de violences exercées à l'encontre de la minorité musulmane des Rohingyas. Pourquoi ce refus? "Je ne trouve pas que la condamnation apporte de bons résultats", déclarait-elle laconiquement en novembre dernier.
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