Et devenez des Kerviels...
Jongler avec des milliards de dollars et d'euros, faut le faire!
oui, dommage qu'il soit déjà condamné il eut été le bouc émissaire parfait
par contre , voici que l'état français qui clame haut et fort séparer et bloquer les pouvoirs des banques
veut
parlementer en mettant sur la balance : le TRAITE TRANSATLANTIQUE
un des plus dangereux qui soit
une hérésie, une honte, une décadence, une incompréhension, une stupéfaction, une trahison
<Pour défendre la première banque française, Laurent Fabius met dans la balance les négociations sur le traité transatlantique et conteste la place du dollar dans l'économie mondiale.
Barack Obama n'interviendra pas auprès des procureurs en charge de l'affaire BNP Paribas pour plaider la clémence. L'affaire est désormais entendue, comme l'a clairement exprimé le président américain. L'affirmation a provoqué un regain de tension entre les deux côtés de l'Atlantique.
Alors qu'à Caen, les célébrations du Débarquement rassemblaient les chefs d'État des grandes puissances occidentales, le gouvernement français a poursuivi son offensive contre Washington auquel il reproche de chercher à affaiblir la première banque française.
Accusée d'avoir enfreint les embargos américains sur l'Iran, le Soudan et Cuba, BNP Paribas est menacée d'une amende pouvant aller jusqu'à 10 milliards de dollars et d'une interdiction temporaire d'accéder au dollar.
La banque ne joue certes pas sa survie avec les sanctions américaines, mais le coup serait dur à encaisser, pour elle-même et au-delà, compte tenu de sa taille.
Selon Montebourg, «une peine de mort»
Si la BNP Paribas sort trop affaiblie du bras de fer qui l'oppose aux cinq administrations américaines en charge de son dossier, c'est l'économie française dans son ensemble qui pourrait en pâtir. Le ministre de l'Économie, Arnaud Montebourg, a vivement réagi à cette menace: «Quelles que soient les fautes, la peine de mort n'est pas acceptable sur aucune entreprise, quelle qu'elle soit», a-t-il martelé, sans souci excessif de la nuance, vendredi sur Europe 1, quitte à alimenter l'inquiétude des clients de la banque.
Sur ce dossier délicat, c'est en fait le Quai d'Orsay qui a pris les choses en main.
Laurent Fabius, le ministre des Affaires étrangères, met en avant deux éléments pour tenter de ramener Washington à la raison: la remise en cause des négociations sur le traité transatlantique mais aussi la question de l'hégémonie du dollar, fondement de l'extraterritorialité du droit américain.
«Les Américains ne se rendent pas compte que le risque systémique est pour eux. Beaucoup de Chinois et de Russes ne passeront plus par le dollar s'ils ne se sentent plus en sécurité. Les Américains se tirent une balle dans le pied», abonde un observateur.
Derrière l'offensive diplomatique, plus discrètement, les négociations se poursuivent entre les dirigeants de BNP Paribas, leurs avocats et l'Administration américaine. Le montant de l'amende n'a toujours pas été arrêté.
Après avoir été menacée d'une sanction supérieure à 10 milliards de dollars, la banque pourrait espérer la ramener à 8 milliards de dollars. En contrepartie, elle devra accepter de plaider coupable.
D'ores et déjà, il apparaît que Washington refuse que le groupe laisse la filiale de Genève porter toute la responsabilité de l'affaire.
Le régulateur de New York réclamerait une douzaine de départs. Georges Chodron de Courcelles, directeur général délégué de la banque, mais aussi président de BNP Paribas Genève, se trouve notamment dans son collimateur.
Les propos de ces deux têtes politiques sont elles acceptables ?
Où est la démocratie ?
Les banques ont les "moyens".............
Les médias rapportent ce qui "arrangent" QUI ?
Le journalisme est pourri
Que ces banques n'aient plus accès au "dollar" évitera sans doute la nouvelle crise, genre "subprimes", qui
ne manquera pas de nous tomber dessus dans les mois qui viennent
un mal pour un bien
mam