Une femme parmi les ministres les plus populaires… voilà une bonne nouvelle qui devrait rassurer les femmes de notre pays. L’enquête menée par le cabinet TIZI/AVERTY octroie à Mbarka Bouaida, ministre déléguée aux Affaires étrangères, l’honorable note de 6,7/10, lui conférant la troisième place parmi les ministres les plus populaires, après Akhannouch et Louardi.
Il faut dire que Bouaida se fait remarquer par son dynamisme, son omniprésence grâce aux pouvoirs délégués par Mezouar et sa maîtrise des langues. De quoi occuper le terrain et être très médiatisée.
Cette jeune ministre est l’exemple des politiques qui savent «marketer» leur image, qui calculent leurs sorties médiatiques et qui s’éloignent des polémiques politiciennes. Elle a aussi été aidée par ses multiples sorties à l’étranger où elle a brillamment représenté le Maroc.
C’est dire que, dans notre pays, la femme sait se faire valoir dans tous les domaine et faire montre de ses compétences, n'ayant strictement rien à envier aux hommes. Elle n’a ni besoin d’une journée, célébrée chaque année, ni de bénéficier d’un quota pour se faire entendre.
La femme marocaine s'approprie le sol, le ciel et la mer avec autant d’abnégation, et parfois plus de technicité que les hommes. Le cas de Bouaida nous renseigne sur la valeur travail qui reste le seul critère d’appréciation à prendre en considération. Il renvoie également aux hommes qui se reposent sur leurs lauriers, rappelant au passage que ce classement devrait les inciter à faire en sorte de mériter leurs salaires.
Bouaida sur le podium
Il faut dire que Bouaida se fait remarquer par son dynamisme, son omniprésence grâce aux pouvoirs délégués par Mezouar et sa maîtrise des langues. De quoi occuper le terrain et être très médiatisée.
Cette jeune ministre est l’exemple des politiques qui savent «marketer» leur image, qui calculent leurs sorties médiatiques et qui s’éloignent des polémiques politiciennes. Elle a aussi été aidée par ses multiples sorties à l’étranger où elle a brillamment représenté le Maroc.
C’est dire que, dans notre pays, la femme sait se faire valoir dans tous les domaine et faire montre de ses compétences, n'ayant strictement rien à envier aux hommes. Elle n’a ni besoin d’une journée, célébrée chaque année, ni de bénéficier d’un quota pour se faire entendre.
La femme marocaine s'approprie le sol, le ciel et la mer avec autant d’abnégation, et parfois plus de technicité que les hommes. Le cas de Bouaida nous renseigne sur la valeur travail qui reste le seul critère d’appréciation à prendre en considération. Il renvoie également aux hommes qui se reposent sur leurs lauriers, rappelant au passage que ce classement devrait les inciter à faire en sorte de mériter leurs salaires.
Bouaida sur le podium