Rassemblements, supports de communication, tournée dans les quartiers..., les partis politiques favorables au «oui» ne lésinent pas sur les moyens pour faire la campagne pour le référendum.
Seulement, cela nécessite des moyens financiers. Selon le quotidien Assabah, du mercredi 22 juin, le ministère de lintérieur aurait accordé quelque 70 MDH aux formations politiques les plus représentatives au Parlement.
Pour le moment, et selon un dirigeant du PPS, les partis «nont, à ce jour, reçu aucun centime du ministère». Le responsable du parti nécarte toutefois pas une éventuelle contribution de lIntérieur, dans le cadre de la loi sur les partis. «La question a été abordée bien avant le début de la campagne référendaire, mais les deux parties ne se sont pas attardées sur les détails», affirme ce responsable partisan. Ainsi, et si subvention il y a, le mode de sa répartition na pas encore été défini, assure la même source.
Quant au ministère de lintérieur, son numéro deux, Saâd Hassar, avait laissé entendre, il y a une dizaine de jours, que lEtat mettra les moyens quil faut pour mener à bon port un chantier aussi important que ladoption du projet de nouvelle Constitution. «On veut que les choses se passent bien. Lavenir du pays na pas de prix», a-t-il confié.
Bref, les partis se verront très probablement accorder des subventions. A préciser toutefois quils ne pourront pas disposer à leur guise de cette cagnotte électorale. Le projet de Constitution pour lequel ils font campagne prévoit, en effet, que la Cour des comptes audite les comptes des partis et vérifie les dépenses des opérations électorales.
La Vie economique
Seulement, cela nécessite des moyens financiers. Selon le quotidien Assabah, du mercredi 22 juin, le ministère de lintérieur aurait accordé quelque 70 MDH aux formations politiques les plus représentatives au Parlement.
Pour le moment, et selon un dirigeant du PPS, les partis «nont, à ce jour, reçu aucun centime du ministère». Le responsable du parti nécarte toutefois pas une éventuelle contribution de lIntérieur, dans le cadre de la loi sur les partis. «La question a été abordée bien avant le début de la campagne référendaire, mais les deux parties ne se sont pas attardées sur les détails», affirme ce responsable partisan. Ainsi, et si subvention il y a, le mode de sa répartition na pas encore été défini, assure la même source.
Quant au ministère de lintérieur, son numéro deux, Saâd Hassar, avait laissé entendre, il y a une dizaine de jours, que lEtat mettra les moyens quil faut pour mener à bon port un chantier aussi important que ladoption du projet de nouvelle Constitution. «On veut que les choses se passent bien. Lavenir du pays na pas de prix», a-t-il confié.
Bref, les partis se verront très probablement accorder des subventions. A préciser toutefois quils ne pourront pas disposer à leur guise de cette cagnotte électorale. Le projet de Constitution pour lequel ils font campagne prévoit, en effet, que la Cour des comptes audite les comptes des partis et vérifie les dépenses des opérations électorales.
La Vie economique