FPP75
VIB
Pour rester dans le thème des posts de Soufetma, je me posais des questions sur le terme "intégration" et sur la réaction épidermique des français d'origine étrangère à l'énoncé de ce terme !!
Par rapport à la description de l'intégration ci-dessous, je comprends pas en quoi c'est négatif ?? Mais vous allez certainement éclairer ma lanterne :
A vous !
L'intégration, en sociologie, est un processus de rapprochement entre une personne, ou un groupe de personnes, et un autre groupe de personnes plus vastes.
Ce terme fait souvent référence à l'intégration des personnes immigrées ou issues de l'immigration.
L'intégration peut concerner des personnes immigrées non pourvues de la nationalité du pays d'accueil, ou bien des personnes qui ont acquis cette nationalité, voire sont nés avec, mais qui ne seraient pas encore pleinement insérées dans la société.
Le processus d'intégration est asymétrique parce qu'interviennent des rapports de forces et des rapports d'intérêt très différents selon les parties qui s'intègrent. Par exemple, dans le débat public certains diront des immigrés qu'ils doivent s'intégrer. Dans le débat politique public, l'intégration est souvent assimilée à un modèle social et politique de gestion des immigrés dans une nation ou un pays. Ce modèle est basé sur l'idée que les immigrés font partie, de manière provisoire ou définitive, de la communauté nationale, et donc possèdent les mêmes droits et sont assujettis aux mêmes devoirs (excepté ceux étroitement liés à la nationalité, pour ceux qui n'ont pas la nationalité du pays d'accueil). Ainsi, dans l'idéal, l'immigré bénéficie du même système social, d'éducation et de santé, parfois même du droit de vote aux élections locales, mais il doit accepter en public une neutralité de comportement (tout en conservant ses pratiques coutumières et ses croyances dans le cadre privé). Ceci passe notamment par l'apprentissage de la langue nationale et, en fonction du pays, le respect de la laïcité ou le respect dune loi religieuse.
Ce modèle est différent de l'assimilation puisqu'il ne s'agit pas de « mouler » l'individu dans un modèle social unique, mais de trouver dans le cadre public un consensus entre les différentes cultures.
Ce modèle est différent du communautarisme, modèle dans lequel le respect des traditions ethniques, la liberté individuelle de choisir son mode de vie et ses valeurs, prime devant la mixité des ethnies.
Par rapport à la description de l'intégration ci-dessous, je comprends pas en quoi c'est négatif ?? Mais vous allez certainement éclairer ma lanterne :
A vous !
L'intégration, en sociologie, est un processus de rapprochement entre une personne, ou un groupe de personnes, et un autre groupe de personnes plus vastes.
Ce terme fait souvent référence à l'intégration des personnes immigrées ou issues de l'immigration.
L'intégration peut concerner des personnes immigrées non pourvues de la nationalité du pays d'accueil, ou bien des personnes qui ont acquis cette nationalité, voire sont nés avec, mais qui ne seraient pas encore pleinement insérées dans la société.
Le processus d'intégration est asymétrique parce qu'interviennent des rapports de forces et des rapports d'intérêt très différents selon les parties qui s'intègrent. Par exemple, dans le débat public certains diront des immigrés qu'ils doivent s'intégrer. Dans le débat politique public, l'intégration est souvent assimilée à un modèle social et politique de gestion des immigrés dans une nation ou un pays. Ce modèle est basé sur l'idée que les immigrés font partie, de manière provisoire ou définitive, de la communauté nationale, et donc possèdent les mêmes droits et sont assujettis aux mêmes devoirs (excepté ceux étroitement liés à la nationalité, pour ceux qui n'ont pas la nationalité du pays d'accueil). Ainsi, dans l'idéal, l'immigré bénéficie du même système social, d'éducation et de santé, parfois même du droit de vote aux élections locales, mais il doit accepter en public une neutralité de comportement (tout en conservant ses pratiques coutumières et ses croyances dans le cadre privé). Ceci passe notamment par l'apprentissage de la langue nationale et, en fonction du pays, le respect de la laïcité ou le respect dune loi religieuse.
Ce modèle est différent de l'assimilation puisqu'il ne s'agit pas de « mouler » l'individu dans un modèle social unique, mais de trouver dans le cadre public un consensus entre les différentes cultures.
Ce modèle est différent du communautarisme, modèle dans lequel le respect des traditions ethniques, la liberté individuelle de choisir son mode de vie et ses valeurs, prime devant la mixité des ethnies.