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AnvienMembre
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L'épouse du journaliste Michel Renaud, assassiné lors de l'attentat du 7 janvier 2015, accuse la direction de "Charlie Hebdo" de s'approprier les fonds destinés à l'indemnisation des familles de victimes.
La direction de "Charlie Hebdo" a-t-elle "trahi les familles de victimes et les Français" ? C'est ce qu'affirme la veuve de Michel Renaud, l'un des journalistes tués pendant l'attentat du 7 janvier 2015. Elle accuse le journal de "détourner" des millions destinés aux survivants et aux familles des victimes, révèle RTL sur son site le 18 juin.
Selon Gala Renaud, "les acheteurs du journal comme les victimes de l'attentat et les ayants droit ont été dupés par la direction [...], qui est délibérément et unilatéralement revenue sur ses engagements [...]. Ce revirement démontre en réalité une intention de détourner les fonds promis initialement aux familles."
La veuve de Michel Renaud a décidé de poursuivre en justice l'hebdomadaire satirique pour abus de confiance. Elle assure entamer cette démarche au nom de "la mémoire de son mari" et non "pour l'argent" :
"Avant la tuerie, Charlie était dans une situation financière catastrophique. C’est désormais le journal le plus riche de France, constate-t-elle. Je ressens ce déséquilibre comme une injustice profonde. Michel n’est pas mort pour ça."
La direction de "Charlie Hebdo" a-t-elle "trahi les familles de victimes et les Français" ? C'est ce qu'affirme la veuve de Michel Renaud, l'un des journalistes tués pendant l'attentat du 7 janvier 2015. Elle accuse le journal de "détourner" des millions destinés aux survivants et aux familles des victimes, révèle RTL sur son site le 18 juin.
Selon Gala Renaud, "les acheteurs du journal comme les victimes de l'attentat et les ayants droit ont été dupés par la direction [...], qui est délibérément et unilatéralement revenue sur ses engagements [...]. Ce revirement démontre en réalité une intention de détourner les fonds promis initialement aux familles."
La veuve de Michel Renaud a décidé de poursuivre en justice l'hebdomadaire satirique pour abus de confiance. Elle assure entamer cette démarche au nom de "la mémoire de son mari" et non "pour l'argent" :
"Avant la tuerie, Charlie était dans une situation financière catastrophique. C’est désormais le journal le plus riche de France, constate-t-elle. Je ressens ce déséquilibre comme une injustice profonde. Michel n’est pas mort pour ça."