Espiegle69
Evil Halouf
Le travail est un droit garanti par l'Etat et non pas un privilège octroyé par les voies du favoritisme ou du clientélisme. Ce principe constitutionnel assure donc un accès égal à la fonction publique.
Dans notre pays, le marché du travail n'a pas connu un changement radical. Un énorme déséquilibre entre l'offre et la demande persiste encore, créant un chômage de masse marqué par une oisiveté importante parmi les jeunes. Malgré ces problèmes, des déviations et des dérogations à la loi contribuent à approfondir cette crise.
A cause de certaines mauvaises "traditions" de recrutement, certaines personnes ne sont pas obligées de se plonger jusqu'au nez dans leurs bouquins, de vivre des jours fiévreux passés dans l'attente d'un pseudo-concours et de ses résultats. Elles ne sont pas, non plus, forcées de prendre des moyens de transport obsolètes, de dormir n'importe où et de manger n'importe quoi, dans l'espoir de rejoindre les salles de l'examen. Pour ces "fils de l'Etat", l'accès au travail pourrait se réaliser par simple coup de téléphone, par l'intermédiaire d'une personne influente ou d'un président de commune.
Un autre mode étrange d'emploi qui semble s'ériger en loi secrète dans certaines administrations, consiste à occuper, ou tout simplement hériter du poste d'un père mort ou retraité, directement et sans concours. Et cette voie illégale est devenue par le fil du temps une coutume quasi-reconnue par certains responsables administratifs.
Selon des chiffres officiels, 26% des affectations et postes sont offerts à des personnes incompétentes et sans diplômes. Résultat: les jeunes sont massivement, aujourd'hui, parmi les plus exposés au chômage. Le taux de chômage parmi les 15-24 ans est deux fois plus élevé au niveau national.
Il est de 25% parmi les jeunes diplômés de niveau moyen et de 60% parmi les diplômés de niveau supérieur.
Mais on n'a pas parlé du nombre de fonctionnaires, qui sont au contraire compétents, ayant des diplômes universitaires et qui ont été affectés par la voie du clientélisme. Ces fantômes sont peut être indéchiffrables pour des raisons inexplicables.
Dans notre pays, le marché du travail n'a pas connu un changement radical. Un énorme déséquilibre entre l'offre et la demande persiste encore, créant un chômage de masse marqué par une oisiveté importante parmi les jeunes. Malgré ces problèmes, des déviations et des dérogations à la loi contribuent à approfondir cette crise.
A cause de certaines mauvaises "traditions" de recrutement, certaines personnes ne sont pas obligées de se plonger jusqu'au nez dans leurs bouquins, de vivre des jours fiévreux passés dans l'attente d'un pseudo-concours et de ses résultats. Elles ne sont pas, non plus, forcées de prendre des moyens de transport obsolètes, de dormir n'importe où et de manger n'importe quoi, dans l'espoir de rejoindre les salles de l'examen. Pour ces "fils de l'Etat", l'accès au travail pourrait se réaliser par simple coup de téléphone, par l'intermédiaire d'une personne influente ou d'un président de commune.
Un autre mode étrange d'emploi qui semble s'ériger en loi secrète dans certaines administrations, consiste à occuper, ou tout simplement hériter du poste d'un père mort ou retraité, directement et sans concours. Et cette voie illégale est devenue par le fil du temps une coutume quasi-reconnue par certains responsables administratifs.
Selon des chiffres officiels, 26% des affectations et postes sont offerts à des personnes incompétentes et sans diplômes. Résultat: les jeunes sont massivement, aujourd'hui, parmi les plus exposés au chômage. Le taux de chômage parmi les 15-24 ans est deux fois plus élevé au niveau national.
Il est de 25% parmi les jeunes diplômés de niveau moyen et de 60% parmi les diplômés de niveau supérieur.
Mais on n'a pas parlé du nombre de fonctionnaires, qui sont au contraire compétents, ayant des diplômes universitaires et qui ont été affectés par la voie du clientélisme. Ces fantômes sont peut être indéchiffrables pour des raisons inexplicables.