Comment se porte la grève générale ? mal, merci

thitrite

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Aujourd’hui mercredi 29 octobre est jour de grève générale… non, c’est plutôt un jour pour lequel un appel à la grève générale a été lancé. Est-elle observée par les salariés ? Rien n’est moins sûr. Certaines villes sont plus frondeuses que d’autres et certains secteurs sont plus boudeurs que d’autres. On saura tout avec une plus ou moins bonne précision ce soir, et surtout demain.


L’enjeu de cet appel est, ne l’oublions pas, résolument politique, après avoir été vaguement social. Ainsi, la réussite, ou l’échec, du mouvement ne pourra se mesurer que par une adhésion, ou non, de masse. A la mi-journée, les informations qui arrivent des villes et des secteurs font état d’un mouvement moyennement suivi, pour diverses raisons, idéologiques (pour ou contre le gouvernement, pour ou contre les syndicats), financières (retenue à la source de la journée non travaillée) ou par prudence (crainte de débordements).


Ainsi, à Rabat, il semblerait que les administrations fonctionnement (presque) normalement et que le transport par tramway n’est pas perturbé, voire s’effectue normalement. Dans les administrations, il en va de même. Les personnes interrogées affirment n’avoir rien remarqué de particulier dans la capitale ; « on sent la grève générale, oui, mais dans les discussions dans les cafés et entre collègues au bureaula grève va finalement réussir car les gens ne cessent d’en parler et ne travaillent pas…A Casablanca, la grève est suivie. Les transports sont presque totalement à l’arrêt ; le tram ne tourne pas, et les bus ne tonnent pas plus. Les taxis blancs roulent plus ou moins et les taxis rouges travaillent presque normalement. Le port est paralysé, l’activité au sein des tribunaux et des collectivités locales est également bloquée, de même qu’une large partie du secteur bancaire. La question qui se pose est de savoir si les administrations publiques et privées ont respecté le mot d’ordre de grève ou si elles sont à l’arrêt pour manque de transport…


A Marrakech, comme dans les deux autres villes littorales, la grève ne touche que les collectivités locales et quelques transports. Renseignements pris, il s’avère que si les écoles sont fermées, seulement quelques hôpitaux et administrations suivent le mot d’ordre des syndicats. On estime à environ 40% le taux de participation dans la ville ocre.



Cela étant, les établissements d’enseignement aussi bien publics que privés ont demandé aux parents de garder leurs enfants chez eux, par crainte de débordement et aussi en prévision d’un débrayage des personnels pédagogiques, par nature grévistes. Et cette réaction semble se produire sur l’ensemble du territoire national. Par contre, les trains de l’ONCF effectuent normalement leurs liaisons ; selon le site Hespress, l’Office a eu recours à l’armée pour remplacer les éventuels grévistes.


Ainsi, à la moitié de cette journée, en dépit des cris de victoire prématurés des syndicats (certains syndicalistes ont annoncé le succès de leur appel hier !!), on ne peut encore être sûr de rien, sauf de la guerre des chiffres de participation qui s’annoncent. Mais ce qui est certain, en revanche, est qu’il y aura un grand perdant et un grand gagnant, et ce dernier devra alors se montrer conscient de sa nouvelle force en n’en tirant pas profit pour assommer définitivement le perdant. Le Maroc a besoin des deux, syndicats et gouvernement


http://www.panorapost.com/comment-se-porte-la-greve-generale-mal-merci/
 
@thitrite, :D glandeurs sans frontières
les établssements d’enseignement aussi bien publics que privés ont demandé aux parents de garder leurs enfants chez eux, par crainte de débordement et aussi en prévision d’un débrayage des personnels pédagogiques, par nature grévistes. Et cette réaction semble se produire sur l’ensemble du territoire national.
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
Aujourd'hui???? tiens j'avais pas remarqué!!!
Banques ouvertes, bisseries ouvertes, J'ai vu plein de taxis, effectivement pas de tramway j'en ai pas remarqué... mais c certainement pas la grève de juin 81:D
Quelle bande de charlots c syndicats!
arrête peut être qu'ils ont peur hein:D
 

firar

VIB
Aujourd’hui mercredi 29 octobre est jour de grève générale… non, c’est plutôt un jour pour lequel un appel à la grève générale a été lancé. Est-elle observée par les salariés ? Rien n’est moins sûr. Certaines villes sont plus frondeuses que d’autres et certains secteurs sont plus boudeurs que d’autres. On saura tout avec une plus ou moins bonne précision ce soir, et surtout demain.


L’enjeu de cet appel est, ne l’oublions pas, résolument politique, après avoir été vaguement social. Ainsi, la réussite, ou l’échec, du mouvement ne pourra se mesurer que par une adhésion, ou non, de masse. A la mi-journée, les informations qui arrivent des villes et des secteurs font état d’un mouvement moyennement suivi, pour diverses raisons, idéologiques (pour ou contre le gouvernement, pour ou contre les syndicats), financières (retenue à la source de la journée non travaillée) ou par prudence (crainte de débordements).


Ainsi, à Rabat, il semblerait que les administrations fonctionnement (presque) normalement et que le transport par tramway n’est pas perturbé, voire s’effectue normalement. Dans les administrations, il en va de même. Les personnes interrogées affirment n’avoir rien remarqué de particulier dans la capitale ; « on sent la grève générale, oui, mais dans les discussions dans les cafés et entre collègues au bureaula grève va finalement réussir car les gens ne cessent d’en parler et ne travaillent pas…A Casablanca, la grève est suivie. Les transports sont presque totalement à l’arrêt ; le tram ne tourne pas, et les bus ne tonnent pas plus. Les taxis blancs roulent plus ou moins et les taxis rouges travaillent presque normalement. Le port est paralysé, l’activité au sein des tribunaux et des collectivités locales est également bloquée, de même qu’une large partie du secteur bancaire. La question qui se pose est de savoir si les administrations publiques et privées ont respecté le mot d’ordre de grève ou si elles sont à l’arrêt pour manque de transport…


A Marrakech, comme dans les deux autres villes littorales, la grève ne touche que les collectivités locales et quelques transports. Renseignements pris, il s’avère que si les écoles sont fermées, seulement quelques hôpitaux et administrations suivent le mot d’ordre des syndicats. On estime à environ 40% le taux de participation dans la ville ocre.



Cela étant, les établissements d’enseignement aussi bien publics que privés ont demandé aux parents de garder leurs enfants chez eux, par crainte de débordement et aussi en prévision d’un débrayage des personnels pédagogiques, par nature grévistes. Et cette réaction semble se produire sur l’ensemble du territoire national. Par contre, les trains de l’ONCF effectuent normalement leurs liaisons ; selon le site Hespress, l’Office a eu recours à l’armée pour remplacer les éventuels grévistes.


Ainsi, à la moitié de cette journée, en dépit des cris de victoire prématurés des syndicats (certains syndicalistes ont annoncé le succès de leur appel hier !!), on ne peut encore être sûr de rien, sauf de la guerre des chiffres de participation qui s’annoncent. Mais ce qui est certain, en revanche, est qu’il y aura un grand perdant et un grand gagnant, et ce dernier devra alors se montrer conscient de sa nouvelle force en n’en tirant pas profit pour assommer définitivement le perdant. Le Maroc a besoin des deux, syndicats et gouvernement


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Normal qu'il n'y ai qu'a Casa que la grève soit suivi.
Il n'y a que là qu'il y ait des employés et des ouvriers.
Ailleurs question boulot c'est aussi désertique question emplois que la nature autour d' El Gouera l'est.
 
Aujourd’hui mercredi 29 octobre est jour de grève générale… non, c’est plutôt un jour pour lequel un appel à la grève générale a été lancé. Est-elle observée par les salariés ? Rien n’est moins sûr. Certaines villes sont plus frondeuses que d’autres et certains secteurs sont plus boudeurs que d’autres. On saura tout avec une plus ou moins bonne précision ce soir, et surtout demain.


L’enjeu de cet appel est, ne l’oublions pas, résolument politique, après avoir été vaguement social. Ainsi, la réussite, ou l’échec, du mouvement ne pourra se mesurer que par une adhésion, ou non, de masse. A la mi-journée, les informations qui arrivent des villes et des secteurs font état d’un mouvement moyennement suivi, pour diverses raisons, idéologiques (pour ou contre le gouvernement, pour ou contre les syndicats), financières (retenue à la source de la journée non travaillée) ou par prudence (crainte de débordements).


Ainsi, à Rabat, il semblerait que les administrations fonctionnement (presque) normalement et que le transport par tramway n’est pas perturbé, voire s’effectue normalement. Dans les administrations, il en va de même. Les personnes interrogées affirment n’avoir rien remarqué de particulier dans la capitale ; « on sent la grève générale, oui, mais dans les discussions dans les cafés et entre collègues au bureaula grève va finalement réussir car les gens ne cessent d’en parler et ne travaillent pas…A Casablanca, la grève est suivie. Les transports sont presque totalement à l’arrêt ; le tram ne tourne pas, et les bus ne tonnent pas plus. Les taxis blancs roulent plus ou moins et les taxis rouges travaillent presque normalement. Le port est paralysé, l’activité au sein des tribunaux et des collectivités locales est également bloquée, de même qu’une large partie du secteur bancaire. La question qui se pose est de savoir si les administrations publiques et privées ont respecté le mot d’ordre de grève ou si elles sont à l’arrêt pour manque de transport…


A Marrakech, comme dans les deux autres villes littorales, la grève ne touche que les collectivités locales et quelques transports. Renseignements pris, il s’avère que si les écoles sont fermées, seulement quelques hôpitaux et administrations suivent le mot d’ordre des syndicats. On estime à environ 40% le taux de participation dans la ville ocre.



Cela étant, les établissements d’enseignement aussi bien publics que privés ont demandé aux parents de garder leurs enfants chez eux, par crainte de débordement et aussi en prévision d’un débrayage des personnels pédagogiques, par nature grévistes. Et cette réaction semble se produire sur l’ensemble du territoire national. Par contre, les trains de l’ONCF effectuent normalement leurs liaisons ; selon le site Hespress, l’Office a eu recours à l’armée pour remplacer les éventuels grévistes.


Ainsi, à la moitié de cette journée, en dépit des cris de victoire prématurés des syndicats (certains syndicalistes ont annoncé le succès de leur appel hier !!), on ne peut encore être sûr de rien, sauf de la guerre des chiffres de participation qui s’annoncent. Mais ce qui est certain, en revanche, est qu’il y aura un grand perdant et un grand gagnant, et ce dernier devra alors se montrer conscient de sa nouvelle force en n’en tirant pas profit pour assommer définitivement le perdant. Le Maroc a besoin des deux, syndicats et gouvernement


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Les syndicats comme les partis politiques ont perdu leur valeur aux yeux des citoyens ,ils ne cherchent que leur profit .Qu ont ils fait lorsque les précédents gouvernements,qui se disaient maintenant défendeurs des travailleurs,ont rayé des listes de promotion et d avancement tous les professeurs de l éducation qui sont proche de la retraite ??? Ces politiciens ne cherchent que le gain de voix aux élections pour revenir au gouvernement pour s enrichir et à dieu aux travailleurs et à leur misère ...ان الله يمهل و لا يهمل!!!
 

thitrite

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la grève générale ? côté cour, le côté jardin

C’est un jour comme les autres, même si certains citoyens ont en profité pour programmer une sortie à la plage, fuyant une chaleur inhabituelle. Pourtant, c’est le jour tant attendu de la fameuse grève générale annoncée à grand renforts de communiqués rageurs par les syndicats.

A l’appel de trois centrales syndicales, rejointes en cours de route par d’autres syndicats, mouvements et partis politiques, les fonctionnaires de l’administration et des collectivités locales, des entreprises semi-publiques et les employés du secteur privé avaient été appelés à observer la grève générale ce 29 octobre.

On attendra la fin de la journée pour décrypter les chiffres de participation qui seront à non pas douter « excellents » selon que l’on se place du côté des syndicats ou « ridicules » du point de vue du gouvernement.

Officiellement, c’est la réforme du régime de la Caisse Marocaine des Retraites (CMR) gérant les pensions des militaires et des fonctionnaires qui a mis le feu aux poudres, les syndicats accusant le gouvernement de faire cavalier seul sur les retouches à apporter au texte initial.

L’alarme avait été donnée par un rapport de la Cour des comptes, publié en 2013, qui pointait la situation catastrophique de l’ensemble des caisses de retraites marocaines. Début août 2014, le gouvernement a soumis son projet de loi à l’avis du Conseil économique social et environnemental qui a émis le souhait de faire passer l’âge de départ en retraite de 62 à 65 ans, le taux de cotisation sur le revenu de 10 à 15%.

Les syndicats ajoutent à cela la baisse du pouvoir d’achat et les conditions de vie des fonctionnaires. Dans le collimateur également la baisse des subventions des produits de grande consommation inscrite dans la loi des finances de 2015. L’objectif étant de poursuivre la réduction du déficit public.

Cerise sur le gâteau, le gouvernement aurait rompu de manière unilatérale le dialogue avec les syndicats.

Voilà pour le côté cour, pour le côté jardin, il faut noter que l’appel à la grève générale, malgré le maquillage syndical et social, est une décision hautement politique. L’appel est d’abord lancé initialement par les syndicats des deux partis de l’opposition les plus virulents à l’encontre des islamistes au pouvoir, l’Usfp et l’Istiqlal.

Autre élément qui conforte cette analyse, c’est que de nouveaux acteurs, ennemis jurés du régime, islamistes d’Al Adl Wal Ihssane, militants du 20 février et diplômés chômeurs, pour ne citer que ceux là qui avaient annoncé leur décision de participer à la grève ont été accueillis à bras ouverts par les intéressés pour une alliance contre nature.

Maintenant on peut légitimement se poser la question : à qui profite la grève générale ?

Sachant tout d’abord que les syndicats sont morts, leur capacité de mobilisation est quasiment nulle, surtout ceux qui constituent le bras armé de partis de l’opposition moribonds. De plus, la plupart de ces formations politiques, les socialistes et l’Istiqlal en tête traînent des casseroles depuis qu’ils ont participé à divers gouvernements.

Ce sont ces formations qui ont été emportées à cause de leur manque de prise avec la réalité, à cause de leurs excès en tout genre qui se présentent aujourd’hui comme les Sauveurs providentiels face à un gouvernement qui n’en mène pas large sous les coups de boutoirs d’une crise économique sans précédent.

En attendant , Benkirane, le chef du gouvernement qui crie à qui veut bien l’entendre, qu’il va annoncer de grandes mesures révolutionnaires, semble particulièrement paumé, même si le gouvernement fait tout pour montrer qu’il n’y a pas d’inquiétude dans les rangs.

Si les bonnes nouvelles sont si rares, le gouvernement pourrait certainement agir contre le chômage et au moins arrêter la spirale inflationniste mais ses initiatives positives restent timides.

En tout cas l’hypothétique « grève générale » annonçant le Grand Soir, puisée dans les manuels poussiéreux de la lutte marxiste, par des syndicats en perte de vitesse aura au moins un mérite, celui de montrer que la pensée unique et le manque d’idées restent les principales qualités d’une classe politique moribonde.



Abdellatif El Azizi



- See more at: http://www.lecourrierdelatlas.com/8...e-generale.html#sthash.L2Hbwe9t.HVcn38ml.dpuf
 
T'es pas gentille.
Pense que ces personnes n'ont rien fait pour mériter une telle sentence.
Supporter nos enfants pendant 6 à 7 heures par jour.
L'enfer leurs paraitra doux surement.
Surtout pour ceux qui se coltinent les ados.
Je fais chaque jour des douas pour eux.
Ils le méritent réellement.
C'est ironique. J'ai bien lu qu'ils avaient peur des débordements ;)
 

firar

VIB
C'est ironique. J'ai bien lu qu'ils avaient peur des débordements ;)

Bien sur mes enfants sont des anges!
Les profs devraient payer pour avoir le droit de côtoyer 6 à 7 heures par jours de petits génies comme nos enfants.
Manque pas d'air de faire grève. Est ce que moi je fais grève qu'en ma femme nous fait couscous brochettes!
Connaissent pas leur bonheur ni leur chance.:wazaa:
 

infidel

PEACE & PORC !....
Si les bonnes nouvelles sont si rares, le gouvernement pourrait certainement agir contre le chômage et au moins arrêter la spirale inflationniste mais ses initiatives positives restent timides.



Finalement ils comme les nôtres en France et partout ailleurs vos politique dans votre pays.
 

thitrite

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GRÈVE: LES DÉCLARATIONS À LA MI-JOURNÉE

Alors que les syndicats se félicitent du taux de participation à la grève, le gouvernement déclare que le service public n’est pas affecté. Les principales déclarations à la mi-journée.

La grève nationale préventive décidée par l'UMT, la CDT et la FDT aurait été suivie à 83,7% à l'échelle nationale, selon un communiqué conjoint des trois centrales syndicales, qui évoque le “grand succès” de ce débrayage, qui s'est déroulé dans le calme dans les villes et les provinces du pays, touchant différents secteurs professionnels et des administrations publiques.

Devant le siège régional de l'UMT à Rabat, une centaine de syndicalistes ont calmement observé un sit-in, mercredi matin. Alors que la capitale semblait peu touchée par le mouvement de grève (taxis et bus en circulation, gare bondée), et que la liaison Rabat - Casablanca était assurée normalement par l'ONCF, la ville de Casablanca semblait un peu plus calme qu'à l'accoutumée, et le tram de la métropole ne circulait pas, ont constaté les journalistes de Le360.

Le ministre délégué chargé de la Fonction publique et de la Modernisation de l'administration, Mohamed Moubdie, a affirmé en fin de matinée à Le360 que "la grève générale préventive à laquelle ont appelé les centrales syndicales n'a pas affecté le service dans les collectivité locales et les administrations publiques". Il a ajouté que "la grève est un droit légitime, mais pas une solution aux problèmes soulevés par les syndicats".

Quant au ministre de l'Intérieur, Mohamed Hassad, il a déclaré pour sa part que le gouvernement "ne veut pas polémiquer sur la grève et son taux de participation", se montrant rassurant. "Jusqu'à présent, la situation est calme, aucun incident n'a été enregistré dans les villes du royaume. Nous avons demandé que la liberté de travail ne soit pas entravée", a conclu le ministre.

http://www.le360.ma/fr/politique/greve-les-declarations-a-la-mi-journee-24011


ps: pour Rabat/Salé,je confirme.tout est comme à l'ordinaire.
par thitrite en direct de Rabat:D
 

thitrite

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Selon 2m.

80% dans le secteur privé. et 85 à 90% de grévistes dans le secteur public et semi public.

Pour le privé, vraisemblablement uniquement les grandes entreprises et les grandes institutions qui sont touchées.

La quasi totalité des agences bancaires casablancaises étaient fermées.
 

infidel

PEACE & PORC !....
Selon 2m.

80% dans le secteur privé. et 85 à 90% de grévistes dans le secteur public et semi public.

Pour le privé, vraisemblablement uniquement les grandes entreprises et les grandes institutions qui sont touchées.

La quasi totalité des agences bancaires casablancaises étaient fermées.
Et pour l'artisanat la grève est suivie ou pas ?
 
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