Faire le bien n'est pas relatif pareil,le mal non plus.faire le mal c'est faire du tort à autrui voir à soi même et le bien c'est l'inverse.trahir son ami en lui piquant sa meuf,tu pourra le tourner comme tu veux et cela restera une mauvaise action...pour la méditation que tu a estimé suffisante,je te dirais que non,pour mon cas en tout cas,dans la mesure ou je n'avais à ce moment de ma vie aucune notion ni besoin de religion.je cherchais la paix intérieur.j'etais donc investi à fond dedans et j'étais convaincu que c'était" la" bonne voie.seulement voilà,en moi même il y avait un fond d'insatisfaction que le bouddhisme ne pouvait pas combler.
Maintenant parlons des croyant qui vivent leur religion comme un poids que l'apostasie fini par libérer.ceux la suivent en faite un courant religieux qui leur ai impersonnel.il font des chose et adopte une manière de pensé qui ne leur parle pas.comment avoir du courage et de la satisfaction dans un domaine qui nous ai inconnu,que nous ne comprenons pas...évidemment il finissent par lâcher prise ou pire être hypocrite avec eux même pour ne pas décevoir la communauté...c'est dommage...
Faire le bien ou le mal, ce que tu décris, n'est que TA conception du bien et du mal.
Pour certains, y compris des musulmans, tuer les apostats une une bonne chose car, selon eux, ça ferait plaisir à dieu.
Tu me dirais, c'est complètement taré ?
Mais pourtant, cela n'empêche qu'ils ont l'impression de faire le bien. Tout ça parce que la notion de bien et de mal sont des notions relatives.
C'est bien ce que je disais: tu ressentais un manque, et ça empêchait la méditation d'être utile. Un autre bouddhiste n'ayant pas ressenti ce manque, la méditation aurait idéale pour lui alors que la pratique de la prière n'aurait pas été possible pour lui.
L'hypocrisie que tu trouves pire peut aussi, selon les endroits et l'entourage, être une question de survie sociale, et parfois même physique.