midalli
VIB
Je comprends pas mais y'a un probléme...Renault éclaircit sa politique en Algérie à propos son de implatation. Il semblerait que les négociations se sont déroulé en anglais ! Zayyar m3aya, comme on dit...
<<Renault corrige le chiffre avancé par l'Algérie
La future usine de Renault en Algérie, située près d'Oran et dont le démarrage est prévu au 2ème semestre 2014, sera... une simple unité d'assemblage de kits importés de Roumanie ou de Turquie, tandis que les moteurs viendront de France, a fait savoir aujourd'hui le directeur pour la zone Euromed-Afrique du constructeur, Jean-Christophe Kugler. Les cadences seront de 25 000 unités par an au début. Le constructeur automobile français compte ensuite accroître sa cadence pour atteindre 75 000 unités par an. Ce schéma explique la faiblesse de l'investissement initial, de 50 millions d'euros seulement avec les partenaires algériens dans le cadre de leur coentreprise à 49% (Renault)-51% (Etat algérien). C'est donc beaucoup, beaucoup moins que le chiffre faramineux avancé hier par les autorités algériennes. Le ministre algérien de l'Industrie, Chérif Rahmani, avait chiffré alors à environ 1 milliard d'euros l'investissement total nécessaire au démarrage de cette usine automobile. Soit autant que l'usine géante de Tanger destinée à produire, elle, 400 000 unités par an ! "Le ministre a dû faire une estimation de l'ensemble des travaux qui vont au-delà du périmètre de l'usine", souligne laconiquement Jean-Christophe Kugler. "Il y a des modifications assez importantes à faire du port d'Oran, au niveau de l'infrastructure routière, d'approvisionnement en eau et en électricité", a-t-il expliqué.>>
Infomédiaire
<<Renault corrige le chiffre avancé par l'Algérie
La future usine de Renault en Algérie, située près d'Oran et dont le démarrage est prévu au 2ème semestre 2014, sera... une simple unité d'assemblage de kits importés de Roumanie ou de Turquie, tandis que les moteurs viendront de France, a fait savoir aujourd'hui le directeur pour la zone Euromed-Afrique du constructeur, Jean-Christophe Kugler. Les cadences seront de 25 000 unités par an au début. Le constructeur automobile français compte ensuite accroître sa cadence pour atteindre 75 000 unités par an. Ce schéma explique la faiblesse de l'investissement initial, de 50 millions d'euros seulement avec les partenaires algériens dans le cadre de leur coentreprise à 49% (Renault)-51% (Etat algérien). C'est donc beaucoup, beaucoup moins que le chiffre faramineux avancé hier par les autorités algériennes. Le ministre algérien de l'Industrie, Chérif Rahmani, avait chiffré alors à environ 1 milliard d'euros l'investissement total nécessaire au démarrage de cette usine automobile. Soit autant que l'usine géante de Tanger destinée à produire, elle, 400 000 unités par an ! "Le ministre a dû faire une estimation de l'ensemble des travaux qui vont au-delà du périmètre de l'usine", souligne laconiquement Jean-Christophe Kugler. "Il y a des modifications assez importantes à faire du port d'Oran, au niveau de l'infrastructure routière, d'approvisionnement en eau et en électricité", a-t-il expliqué.>>
Infomédiaire