Après les attaques enregistrées dans la nuit de dimanche à lundi dans les communes de Yopougon, Bonoua, Samo et Abobo, le ministre ivoirien de la Défense, Paul Koffi Koffi, a décidé de renforcer le dispositif de sécurité à Bonoua et Abidjan, la capitale de la Côte dIvoire. Selon les autorités ivoiriennes, des membres des Forces républicaines de Côte dIvoire (FRCI), des policiers et gendarmes seraient impliqués.
Sécurité renforcée à Bonoua et Abidjan. Les communes de Yopougon, Bonoua, Samo et Abobo ont été, dans la nuit de dimanche à lundi, la cible dattaques perpétrées par des hommes armés. Ce qui pousse Paul Koffi Koffi à renforcer les mesures de sécurité à Bonoua et Abidjan, la capitale de la Côte dIvoire. Selon les autorités ivoiriennes, des membres des Forces républicaines de Côte dIvoire (FRCI), des policiers et gendarmes seraient impliqués.
« Nous étions sur le point dalléger le dispositif mais après ce quil sest passé, nous allons maintenir le niveau de renforcement des contrôles », a déclaré le ministre ivoirien de la défense, rapporte le site Abidjan.net. A entendre Paul Koffi Koffi, le renforcement du dispositif de sécurité est « nécessaire pour la sécurité de tous ».
Une nuit mouvementée
Le commissariat de Bonoua a été attaqué dimanche soir par des assaillants. Des armes, des munitions et des téléphones portables ont été emportés après que les policiers de garde aient été enfermés. Le camp des Forces républicaines de Côte dIvoire (FRCI) a également été attaqué. Au total, deux morts du côté des assaillants et plusieurs blessés. Dans la commune de Yopougon, la centrale thermique dAzito a été prise pour cible à laide de grenades selon LIntelligent. Une des deux turbines à gaz a été perdue. Trois marins, deux policiers et deux gendarmes ont été interpellés.
Des « scènes de guerre » ont eu lieu à Abobo explique Le Nouveau Courrier qui affirme que 400 éléments des FRCI y ont été déployés. Des tirs à balles réelles et de lacrymogènes ont été entendus. Ces affrontements, qui selon Nord-Sud Quotidien font le bonheur de certains chefs militaires, sonnent, pour le quotidien Aujourdhui, comme « lheure du chaos du régime Ouattara ».
Daprès le ministre délégué auprès du ministre ivoirien de la Défense, Paul Koffi Koffi, « il y avait de vrais militaires, cest cela le drame quil faut indiquer, à savoir quil y a des infiltrations et des implications ». Suite à ces attaques, le commandant descadron de Yopougon a été relevé de ses fonctions, car « il y a eu manquement ». Le Soir Info raconte que plusieurs assaillants munis de kalachnikovs, de RPG7 et de grenades avaient pris quartier, dès leur arrivée, dans un centre de formation où lensemble du personnel a été retenu en otage.
Selon les autorités ivoiriennes, des membres des FRCI, des policiers et gendarmes seraient impliqués. Depuis son arrivée au pouvoir, Alassane Ouattara, en coopération avec la police ivoirienne, fait la chasse aux responsables de crimes de guerre. Ce qui ne plaît pas aux pro-Gbagbo. Ces derniers contestent le rapport denquête sur les violences post-électorales, publié le mercredi 8 août, les tenant pour responsables de la mort de 1 452 personnes contre 727 pour les pro-Ouattara. ils dénoncent « la justice des vainqueurs ». Doù lembrasement de lOuest du pays depuis le mois daoût
Afrik.com
Sécurité renforcée à Bonoua et Abidjan. Les communes de Yopougon, Bonoua, Samo et Abobo ont été, dans la nuit de dimanche à lundi, la cible dattaques perpétrées par des hommes armés. Ce qui pousse Paul Koffi Koffi à renforcer les mesures de sécurité à Bonoua et Abidjan, la capitale de la Côte dIvoire. Selon les autorités ivoiriennes, des membres des Forces républicaines de Côte dIvoire (FRCI), des policiers et gendarmes seraient impliqués.
« Nous étions sur le point dalléger le dispositif mais après ce quil sest passé, nous allons maintenir le niveau de renforcement des contrôles », a déclaré le ministre ivoirien de la défense, rapporte le site Abidjan.net. A entendre Paul Koffi Koffi, le renforcement du dispositif de sécurité est « nécessaire pour la sécurité de tous ».
Une nuit mouvementée
Le commissariat de Bonoua a été attaqué dimanche soir par des assaillants. Des armes, des munitions et des téléphones portables ont été emportés après que les policiers de garde aient été enfermés. Le camp des Forces républicaines de Côte dIvoire (FRCI) a également été attaqué. Au total, deux morts du côté des assaillants et plusieurs blessés. Dans la commune de Yopougon, la centrale thermique dAzito a été prise pour cible à laide de grenades selon LIntelligent. Une des deux turbines à gaz a été perdue. Trois marins, deux policiers et deux gendarmes ont été interpellés.
Des « scènes de guerre » ont eu lieu à Abobo explique Le Nouveau Courrier qui affirme que 400 éléments des FRCI y ont été déployés. Des tirs à balles réelles et de lacrymogènes ont été entendus. Ces affrontements, qui selon Nord-Sud Quotidien font le bonheur de certains chefs militaires, sonnent, pour le quotidien Aujourdhui, comme « lheure du chaos du régime Ouattara ».
Daprès le ministre délégué auprès du ministre ivoirien de la Défense, Paul Koffi Koffi, « il y avait de vrais militaires, cest cela le drame quil faut indiquer, à savoir quil y a des infiltrations et des implications ». Suite à ces attaques, le commandant descadron de Yopougon a été relevé de ses fonctions, car « il y a eu manquement ». Le Soir Info raconte que plusieurs assaillants munis de kalachnikovs, de RPG7 et de grenades avaient pris quartier, dès leur arrivée, dans un centre de formation où lensemble du personnel a été retenu en otage.
Selon les autorités ivoiriennes, des membres des FRCI, des policiers et gendarmes seraient impliqués. Depuis son arrivée au pouvoir, Alassane Ouattara, en coopération avec la police ivoirienne, fait la chasse aux responsables de crimes de guerre. Ce qui ne plaît pas aux pro-Gbagbo. Ces derniers contestent le rapport denquête sur les violences post-électorales, publié le mercredi 8 août, les tenant pour responsables de la mort de 1 452 personnes contre 727 pour les pro-Ouattara. ils dénoncent « la justice des vainqueurs ». Doù lembrasement de lOuest du pays depuis le mois daoût
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