Selon la parole d'Allah Azawajel, celui qui contracte un crédit avec intêrét (Riba) déclare la GUERRE A ALLAH !
Cependant, Al Qaradawi (Très apprécié de beaucoup de Coranistes) a decrété que le crédit immobilier avec intêrét était licite !
A vos claviers !
J'ai mis en majuscule ce passage car ce sont des paroles très forte ! Quoi de pire que cela?
Ah bon ! Miracle nous sommes d'accord
Vous croyez vraiment que Al Qaradawi ne connait pas ce verset, soyez logiques 2 secondes. Si vous voulez en savoir plus, lisez plutôt les arguments et les raisons qu'il donne dans son livre. Après, ne soyez pas d'accord si vous voulez. Mais lisez d'abord.
Vous croyez vraiment que Al Qaradawi ne connait pas ce verset, soyez logiques 2 secondes. Si vous voulez en savoir plus, lisez plutôt les arguments et les raisons qu'il donne dans son livre. Après, ne soyez pas d'accord si vous voulez. Mais lisez d'abord.
Il dit que cela est vital donc l'achat avec intêret est permis...
Selon la parole d'Allah Azawajel, celui qui contracte un crédit avec intêrét (Riba) déclare la GUERRE A ALLAH !
Cependant, Al Qaradawi (Très apprécié de beaucoup de Coranistes) a decrété que le crédit immobilier avec intêrét était licite !
A vos claviers !
Tu crois vraiment qu'il base toute sa thèse sur une ligne
Conseil, va t'acheter son livre et lis le, tu comprendras mieux.
@dajjal: Al Qaradawi est "réputé" ne pas suivre la "sunna authentique" des salaf. Beaucoup de sites salafi le traitent d'innovateur, mais ca n'en reste pas moins un savant sage et très cultivé en science de religion.
Donc si un grand savant comme Qardaoui a pu se tromper, d'autres savants dans le temps ont pu le faire non?
Tu n'a toujours pas compris. Al Qaradawi parle de cas spéciaux de musulmans vivant en terre non-Islamique et ne parle que d'extrême nécessite (genre sois je prend le crédit sois je dors avec les chiens )
Concernant les savants: Ce sont des hommes, donc faillible (comme toi et moi). Offre toi la collection complète des ouvrages de l'imam malik, des 3 autres imams et de quelques grand savants contemporains, étudie les. Et si tu trouves des erreurs, parle en avec des ahl al 3ilm.
Donc, les savants peuvent (comme tout être humains) se tromper. Je suis d'accord avec ça.
Donc, si une traduction du Coran ou une explication du Coran est fausse car un savant s'est honnêtement trompé, on peut le signaler sans se faire traiter de tous les noms?
Donc, les savants peuvent (comme tout être humains) se tromper. Je suis d'accord avec ça.
Donc, si une traduction du Coran ou une explication du Coran est fausse car un savant s'est honnêtement trompé, on peut le signaler sans se faire traiter de tous les noms?
Il faut d'abord prouver que ce savant s'est honnêtement trompé, par des preuves plus que solides car il s'agit d'une accusation gravissime si elle s'avère fausse (je te rappelle ce que la calomnie et le faux témoignage ont comme taille devant Dieu: c'est un énorme pêché)
Quand tu as auras trouvé toutes les preuves solides, il te faudra étudier le reste des livres dudit savant pour cerner les raisons de son mensonges: Si son "mensonge" ne tient pas face à ses autres livres (exemple: contradictions) alors il y a de forte chance que le savant se soit simplement trompé.
Dans ce cas, encore une fois, il faut en parler avec d'autres hommes de religion, expliquer, dialoguer, débattre, et peut-être arriver à une conclusion.
Mais se baser sur 2 lignes lues sur Internet et clamer haut et fort "Untel est un apostat! Il a déclaré la guerre à Dieu et à son Messager!" .... faudra après assumer ses responsabilités le jour du Jugement.
Ce n'est pas le seul qui autorise le crédit. D'autres penseurs le font aussi. Cfr le lien posté plus haut.
Il faut d'abord prouver que ce savant s'est honnêtement trompé, par des preuves plus que solides car il s'agit d'une accusation gravissime si elle s'avère fausse (je te rappelle ce que la calomnie et le faux témoignage ont comme taille devant Dieu: c'est un énorme pêché)
Quand tu as auras trouvé toutes les preuves solides, il te faudra étudier le reste des livres dudit savant pour cerner les raisons de son mensonges: Si son "mensonge" ne tient pas face à ses autres livres (exemple: contradictions) alors il y a de forte chance que le savant se soit simplement trompé.
Dans ce cas, encore une fois, il faut en parler avec d'autres hommes de religion, expliquer, dialoguer, débattre, et peut-être arriver à une conclusion.
Mais se baser sur 2 lignes lues sur Internet et clamer haut et fort "Untel est un apostat! Il a déclaré la guerre à Dieu et à son Messager!" .... faudra après assumer ses responsabilités le jour du Jugement.
Pour Qardaoui, c'est très simple.
Soit l'intérêt est haram est donc, il déclare la guerre à Dieu.
Soit l'intérêt est hallal et donc, il s'est trompé pendant tant d'années.
Soit, on peut se nourrir de l'intérêt dans des conditions extrêmes mais à ce moment, en période de crise, on est tous dans des conditions extrêmes.
Il n'y a pas que ca.
Beaucoup pensant que ribâ et intérêt ne sont pas la même chose.. leur argumentation s'appuie même sur ce point.
En effet.
c'est même le cur du débat. Le riba désigne l'usure, qui fonctionnait à l'époque de la révélation selon des critères totalement différents du crédit actuel.
On ne parle donc guère de la même chose à la base. Peu d'intellectuels musulmans l'ont compris ou reconnu, mais leur nombre grandit.
Personnellement je tend à croire que ribâ et intérêt sont confondus.
Confondus par les savants ou pour ce qu'ils sont en eux-memes ?
Pour ce qu'ils sont en eux même.
L'usure est souvent désignée comme un "intérêt abusif".
On pourrait croire que "l'intérêt restreint" n'est pas haram.
Mais quand je vois des versets comme "Mais Dieu a rendu le commerce licite et l'usure illicite", je me dis que l'intérêt "normal" est aussi de l'usure, vu que le contre-exemple a été quelque chose de très éloigné de l'intérêt: le commerce. Comme contre-exemple, il n'y a rien de plus flagrant.
Aussi, je me base aussi sur de nombreux hadith... me prouvant finalement que si je prêt 1 dirham à quelqu'un, c'est riba de lui demander de me rendre 1.2 dirham ou 1.1 dirham.
Il n'y a pas que ca.
Beaucoup pensant que ribâ et intérêt ne sont pas la même chose.. leur argumentation s'appuie même sur ce point.
Je ne suis pas trop d'accord.
Pour moi justement les deux sont très différents. L'usure à l'époque du Prophète revenait à devoir rembourser souvent le double de l'emprunt, puis le quadruple en cas d'incapacité, et ainsi de suite, et pouvait se terminer par la mise en esclavage du débiteur.
C'est d'ailleurs dans un souci de justice sociale que l'usure a été condamnée.
Le taux de l'usure était de surcroit arbitraire.
Rien de cela ne se retrouve dans les caractéristiques du crédit bancaire contemporain. Il n'y a ni arbitraire du taux, ni volonté de nuire, ni perte de liberté de l'emprunteur.
Pour ce qu'ils sont en eux même.
L'usure est souvent désignée comme un "intérêt abusif".
On pourrait croire que "l'intérêt restreint" n'est pas haram.
Mais quand je vois des versets comme "Mais Dieu a rendu le commerce licite et l'usure illicite", je me dis que l'intérêt "normal" est aussi de l'usure, vu que le contre-exemple a été quelque chose de très éloigné de l'intérêt: le commerce. Comme contre-exemple, il n'y a rien de plus flagrant.
Aussi, je me base aussi sur de nombreux hadith... me prouvant finalement que si je prêt 1 dirham à quelqu'un, c'est riba de lui demander de me rendre 1.2 dirham ou 1.1 dirham.
Je vous donne mon avis sur ce point et je m'y connais.
Qu'est-ce que c'est que l'Usure. L'usure c'est le taux d'intérêt ABUSIF!!!
Il faut savoir que dans l'histoire de l'économie occidentale et même orientale, les seigneurs (le roi, les commerçants,...) faisaient des prêts aux paysans à un taux d'intérêt ABUSIF pour que ce dernier ne puisse pas rembourser et donc était obligé de céder sa terre aux seigneurs qui les réembaucher en tant que "salarié" mais avec un salaire minable.
C'est ce qu'on appelle Al riba = l'usure.
Aujourd'hui, l'usure n'est plus pratiquée. En effet, les taux d'intérêts à la banque sont formés en fonction du marché mais contrôlés par des institutions européennes.
Par exemple: Une banque ne peut dépasser un certain taux et ne peut aller en dessous d'un autre taux.
Cet outil sert à contrôler l'économie puisqu'il permet des politiques monétaires qui permettent de lutter contre l'inflation par la demande.
Voilà la différence entre l'usure (al ribba) et le taux d'intérêt (al faaida).
Si Al qardaoui a raisonné comme cela, il devrait autoriser tous les taux d'intérêts puisqu'ils ne sont pas des ribbas.
Je ne suis pas trop d'accord.
Pour moi justement les deux sont très différents. L'usure à l'époque du Prophète revenait à devoir rembourser souvent le double de l'emprunt, puis le quadruple en cas d'incapacité, et ainsi de suite, et pouvait se terminer par la mise en esclavage du débiteur.
C'est d'ailleurs dans un souci de justice sociale que l'usure a été condamnée.
Le taux de l'usure était de surcroit arbitraire.
Rien de cela ne se retrouve dans les caractéristiques du crédit bancaire contemporain. Il n'y a ni arbitraire du taux, ni volonté de nuire, ni perte de liberté de l'emprunteur.
Je vous donne mon avis sur ce point et je m'y connais.
Qu'est-ce que c'est que l'Usure. L'usure c'est le taux d'intérêt ABUSIF!!!
Il faut savoir que dans l'histoire de l'économie occidentale et même orientale, les seigneurs (le roi, les commerçants,...) faisaient des prêts aux paysans à un taux d'intérêt ABUSIF pour que ce dernier ne puisse pas rembourser et donc était obligé de céder sa terre aux seigneurs qui les réembaucher en tant que "salarié" mais avec un salaire minable.
C'est ce qu'on appelle Al riba = l'usure.
Aujourd'hui, l'usure n'est plus pratiquée. En effet, les taux d'intérêts à la banque sont formés en fonction du marché mais contrôlés par des institutions européennes.
Par exemple: Une banque ne peut dépasser un certain taux et ne peut aller en dessous d'un autre taux.
Cet outil sert à contrôler l'économie puisqu'il permet des politiques monétaires qui permettent de lutter contre l'inflation par la demande.
Voilà la différence entre l'usure (al ribba) et le taux d'intérêt (al faaida).
Si Al qardaoui a raisonné comme cela, il devrait autoriser tous les taux d'intérêts puisqu'ils ne sont pas des ribbas.