Une jeune femme, ancienne recruteuse pour Daesh, a raconté à la justice sa vie dans une ville contrôlée par l'État islamique.
Le cadre est presque déroutant. Des magasins pour faire les courses, des écoles et même un hôpital près d'Alep où tout est gratuit pour les patients. Mais là où la réalité rattrape le fantasme, c'est quand Maëva, 21 ans et ex-recruteuse pour Daesh, raconte que ses balades se faisaient une Kalashnikov en bandoulière, qu'elle ne sait pas utiliser. Revenue en France, elle a été arrêtée et a tout confié au juge.
Sa vie en Syrie a commencé après qu'elle a rejoint son mari, rencontré sur Facebook et qui est un soldat de Daesh. Parfois geôlier, parfois policier, il gagne un salaire de 100 dollars pour les deux, ce qui n'assure pas une vie aisée maintenant que le cours de la monnaie américaine a changé.
Mais cette vie régie par la Charia, à laquelle elle aspirait, s'est transformée en calvaire. Changements permanents de lieu de résidence, le ciel bleu duquel tombent des bombes... Maëva se rend compte que ce n'est pas ce à quoi elle rêvait. La jeune fille originaire de Draguignan, dans le Var, a avoué au juge ses regrets d'avoir fait ce choix de vie. Elle désire maintenant vivre normalement, comme une fille de 21 ans.
Source: http://www.rtl.fr/actu/societe-fait...-en-syrie-d-une-ancienne-jihadiste-7779882993
Le cadre est presque déroutant. Des magasins pour faire les courses, des écoles et même un hôpital près d'Alep où tout est gratuit pour les patients. Mais là où la réalité rattrape le fantasme, c'est quand Maëva, 21 ans et ex-recruteuse pour Daesh, raconte que ses balades se faisaient une Kalashnikov en bandoulière, qu'elle ne sait pas utiliser. Revenue en France, elle a été arrêtée et a tout confié au juge.
Sa vie en Syrie a commencé après qu'elle a rejoint son mari, rencontré sur Facebook et qui est un soldat de Daesh. Parfois geôlier, parfois policier, il gagne un salaire de 100 dollars pour les deux, ce qui n'assure pas une vie aisée maintenant que le cours de la monnaie américaine a changé.
Mais cette vie régie par la Charia, à laquelle elle aspirait, s'est transformée en calvaire. Changements permanents de lieu de résidence, le ciel bleu duquel tombent des bombes... Maëva se rend compte que ce n'est pas ce à quoi elle rêvait. La jeune fille originaire de Draguignan, dans le Var, a avoué au juge ses regrets d'avoir fait ce choix de vie. Elle désire maintenant vivre normalement, comme une fille de 21 ans.
Source: http://www.rtl.fr/actu/societe-fait...-en-syrie-d-une-ancienne-jihadiste-7779882993