Danielgate : le prince hicham réagit à la grâce royale du pédophile espagnol

Ludymilla

Chuut ! c'est un secret !
VIB
Près de deux semaines après le déclenchement de l’affaire DanielGate, le prince Hicham El Alaoui, cousin germain du roi Mohammed VI, également chercheur à l’Université de Stanford, aux Etats-Unis, réagit à son tour à la polémique. Dans une tribune publiée par le journal espagnol El Pais, celui que l’on surnomme le Prince rouge revient longuement sur le « pardon royal » accordé par erreur au pédophile espagnol Daniel Galvan.

Pour Moulay Hicham, cousin germain du roi Mohammed VI, mais aussi chercheur à l’Université de Stanford, la grâce royale accordée, par « erreur » selon le Palais, à Daniel Galvan, ressortissant espagnol condamné en 2011 à 30 ans de prison pour viol sur 11 enfants marocains, est révélatrice d’un système défaillant. « Cette décision a frappé de stupeur le peuple marocain et envoyé une onde de choc dans tout le pays. La colère populaire s’est immédiatement manifestée avec une force qui a surpris les pouvoirs publics », rappelle d’emblée Hicham Ben Abdallah El Alaoui, dans une tribune publiée ce mardi 13 août, par le site du journal espagnol El Pais.

« Ce qui s’en est suivi est à présent bien connu. Mais personne ne peut, pour l’instant, deviner la suite des évènements. Cependant ce qui est sûr, c’est que la répression sauvage de la première manifestation devant le Parlement n’a fait qu’aggraver la situation et augmenter le sentiment de révolte », souligne-t-il.

Système « makhzenien »

Le Prince rouge estime que, la répression policière enregistrée durant les premières manifestations de protestation contre la grâce royale de l’Espagnol, n’a fait que confirmer l’autoritarisme « makhzénien » du système. « La réaction du système politique à ces évènements illustre bien son mode de fonctionnement, qui reste autoritaire « makhzenien », sur le fond, en dépit des quelques reformes parcimonieuses introduites sous la pression du mouvement du 20 Février », estime-t-il.

Dans sa tribune, le cousin du roi s’est également intéressé à la gestion du DanielGate par le gouvernement Benkirane. Celui-ci était « paralysé », affirme-t-il. Dans cette affaire, le gouvernement et le PJD ont cherché « à dégager leur responsabilité en mettant le malheureux pardon sur le compte des intérêts « supérieurs » de la nation et des bonnes relations avec l’Espagne. Leurs déclarations sont contradictoires et mal ficelées », estime le prince. Et de poursuivre : « Tout indique que les principaux acteurs politiques ont retrouvé leur reflexe traditionnel : attendre que l’initiative vienne du Palais royal. Une attente qui montre bien que celui-ci concentre toujours l’essentiel des pouvoirs, malgré les derniers réaménagements de façade ».

Divinisation du roi

Moulay Hicham explique également cette « bourde » par l’attribution « excessive » des pouvoirs au Palais. « Cette procédure défectueuse et ses résultats désastreux découlent d’un fonctionnement déficient des institutions, de leur caractère inadéquat. Ces déficiences mettent en relief la concentration excessive des pouvoirs aux mains du palais ainsi que ses pratiques opaques quand il s’agit de gouverner », souligne-t-il. Mais ce n’est pas tout. Moulay Hicham n’en est pas resté là. Dans la deuxième partie de sa tribune, il pointe du doigt l’entourage direct du roi Mohammed VI, qui selon lui n’a pas fait son travail. Un « mutisme » dû, selon le prince, à la divinisation du roi.

« Comme on le voit après ce pardon royal, le mutisme et la prudence extrême des protagonistes montrent qu’on est plutôt passé de la sacralité du roi à sa divinisation. Personne n’a donc osé s’avancer. Personne ne s’est risqué à intervenir pour aider le souverain à s’informer correctement : ni quelque conseiller honnête et compétent (s’il s’en trouve), ni le gouvernement, ni le Parlement, ni les administrations n’ont pu jouer leur rôle d’intermédiation. Ceci sans parler de la presse aux ordres laquelle n’a pas manqué d’étaler ses flagorneries quand elle ne jugule pas les voix discordantes », déplore-t-il.

Et d’ajouter : « Les rouages qui semblent protéger le roi ont dans les faits plutôt abouti à l’isoler et à l’exposer dangereusement. Si bien qu’une liste et un geste de pardon qui auraient dû le grandir lui ont, au contraire, porté un préjudice qui laissera des traces durables ». « Il faut incriminer les manipulations de l’entourage royal », affirme-t-il.

Besoin de réformes

Pour remédier à ces défaillances, le prince estime urgent d’apporter des réformes à la monarchie marocaine, entre autres. « Les mesures prises (Ndlr : durant le DanielGate) révèlent une fois de plus les limites d’un système habitué à lâcher un peu de lest pour donner le change ».

« La nouvelle donne, tant sur le plan intérieur qu’extérieur, impose la nécessité d’une réforme d’ensemble de la monarchie comme des autres institutions de gouvernement. Cela passe par l’installation de contre-pouvoirs institutionnalisés, démocratiquement élus : cela passe aussi par la réorganisation des services du Palais et de ses prérogatives dans le cadre de la transparence ; cela passe, enfin, par l’attribution de pouvoirs réels de contrôle et de supervision à un Parlement digne de ce nom », explique le prince.

Et de conclure : « L’affaire Galván n’est que la dernière d’une série. On peut citer, entre autres, les grâces indues accordées à d’autres criminels, les honneurs octroyées à un vice-président de l’AIPAC [lobby pro israélien aux États-Unis], ainsi que la conduite illégale et immorale de l’appareil sécuritaire dans « la guerre contre le terrorisme ». Toutes ces décisions montrent que nous courbons l’échine devant des intérêts étrangers au nom d’une conception erronée de l’intérêt national. Cela met à nu nos défaillances criantes et montre que nous restons prisonniers de structures institutionnelles dépassées. Il est à prévoir que les mouvements de colère du peuple marocain seront plus forts et décisifs à l’encontre de ce système de faveurs qui porte atteinte à son intégrité, et fait bon marche de son honneur dans des transactions internationales. Elles l’humilient et le souillent ».

http://www.yabiladi.com/articles/details/18972/danielgate-prince-hicham-reagit-grace.html
 
Très bon surtout le

...ainsi que la conduite illégale et immorale de l’appareil sécuritaire dans « la guerre contre le terrorisme »
Nombreux sont les innocents maltraités dans les geôles marocaines
 

ould khadija

fédalien
Contributeur
j'ai pas beaucoup de sympathie pour ce prince "opportuniste", mais je dois reconnaitre que son analyse ci dessus est pertinente et pleine de "vérité" !
 

insatis

insatise
le langage , le style mais le fond est totalement infondé
le peuple marocain lui manque
des cadres supérieurs digne de ce nom
des hommes politiques digne de ce nom
le jour où la société marocaine saura faire la différence entre opportunisme comme ce prince , et l'anarchisme comme le mouvement 20/2
quant aux tortures portés aux islamistes terroristes c'est inutile d'en développer, (eux même sont des tortionnaires ) donc à barbare , parbare et demi non?
toutes les sociétés, tous les peuples dirigés par des islamistes sont
miséreux et pauvres, et instables que quelque exemples
(L'Irak 50 morts / mois en moyenne
Syrie
Egypte ,
Tunisie,
Soudan ,
Yémène
Somalie
et la liste est longue
il nous dira quoi le Prince sur cette évidence ?
 
Dernière édition:

Bladi

Webmaster
Administrateur
Très bon surtout le

...ainsi que la conduite illégale et immorale de l’appareil sécuritaire dans « la guerre contre le terrorisme »
Nombreux sont les innocents maltraités dans les geôles marocaines


Bonjour,

Ce serait une très bonne analyse si cette personne, que l'on appelle le prince, n'avait pas d'arrières pensées. Pour avoir lu pas mal de choses sur lui, je pense que cette personne là se voie en sauveur du Maroc, en alternative. Il suffit de lire son dernier article sur la revue Pouvoirs ou un dossier fait il y a quelques années par Tel Quel, qui, si on regarde bien, fait référence à lui.
 

Scoco

Mrdi Mémtou Amro Maytkhes
Modérateur
Bonjour,

Ce serait une très bonne analyse si cette personne, que l'on appelle le prince, n'avait pas d'arrières pensées. Pour avoir lu pas mal de choses sur lui, je pense que cette personne là se voie en sauveur du Maroc, en alternative. Il suffit de lire son dernier article sur la revue Pouvoirs ou un dossier fait il y a quelques années par Tel Quel, qui, si on regarde bien, fait référence à lui.
Il plaide pour une monarchie parlementaire, dans ce genre de régime, on s'en fout un peu de la personne du monarque, c'est le chef de la primature qui devient l'homme fort de l'état.

Donc lui ou M6 ou le petit prince, ça changera rien dans la .. monarchie parlementaire qu'il prône !
 

Bladi

Webmaster
Administrateur
Il plaide pour une monarchie parlementaire, dans ce genre de régime, on s'en fout un peu de la personne du monarque, c'est le chef de la primature qui devient l'homme fort de l'état.

Donc lui ou M6 ou le petit prince, ça changera rien dans la .. monarchie parlementaire qu'il prône !


Je ne remet pas en cause ce qu'il a dit. Je dis bien qu'il se voit avec un rôle au Maroc, et pas forcément comme observateur de la scène politique.
 

Scoco

Mrdi Mémtou Amro Maytkhes
Modérateur
Je ne remet pas en cause ce qu'il a dit. Je dis bien qu'il se voit avec un rôle au Maroc, et pas forcément comme observateur de la scène politique.
A propos, quand il y a eu la rumeur que M6 était hospitalisé et gravement malade, l'affaire qui a couté à "Akhbar Al youm" une amende, les mauvaises langues disaient qu'en cas de décès la 9adara lah, c'est le prince Hicham qui doit gérer l'état au lieu du prince Rachid et qu'il doit assurer la transformation du régime en monarchie parlementaire ou le vrai chef est l'élu à la tète de la primature.

Fin la parenthèse. :)
 

Bladi

Webmaster
Administrateur
A propos, quand il y a eu la rumeur que M6 était hospitalisé et gravement malade, l'affaire qui a couté à "Akhbar Al youm" une amende, les mauvaises langues disaient qu'en cas de décès la 9adara lah, c'est le prince Hicham qui doit gérer l'état au lieu du prince Rachid et qu'il doit assurer la transformation du régime en monarchie parlementaire ou le vrai chef est l'élu à la tète de la primature.

Fin la parenthèse. :)


On s'est donc compris. Il ne se verrait pas comme un simple observateur ou chercheur à Stanford...
 

ould khadija

fédalien
Contributeur
J'aurai bien aime savoir en quoi c'est un opportuniste ?

Lorsqu'on est déterminé à se battre sincèrement pour "réformer le système" surtout quand on est dans sa "position de prince très médiatisé" , on le fait courageusement à l'intérieur du pays comme l'on fait des milliers de militants "anonymes" dont certains l'ont payé de leurs vies notamment du temps de hassan II ......et non en courant derrière "la notoriété" sur des plateaux de TV étrangères ou en "pondant " des articles soit disant critiques envers le régime "makhzénien" mais en réalité à la limite du "dénigrement" contre son cousin Med 6, des articles "règlements de compte" contre ce même cousin (med 6) ....sous entendant "clairement" que lui, Hicham Alaoui,....serait une meilleure alternative pour le Maroc !

Mais bon n'est pas ....Aung San Suu Kyi qui veut !

Maintenant chacun est libre de penser ce qu'il veut du prince Hicham !
 
Près de deux semaines après le déclenchement de l’affaire DanielGate, le prince Hicham El Alaoui, cousin germain du roi Mohammed VI, également chercheur à l’Université de Stanford, aux Etats-Unis, réagit à son tour à la polémique. Dans une tribune publiée par le journal espagnol El Pais, celui que l’on surnomme le Prince rouge revient longuement sur le « pardon royal » accordé par erreur au pédophile espagnol Daniel Galvan.

Pour Moulay Hicham, cousin germain du roi Mohammed VI, mais aussi chercheur à l’Université de Stanford, la grâce royale accordée, par « erreur » selon le Palais, à Daniel Galvan, ressortissant espagnol condamné en 2011 à 30 ans de prison pour viol sur 11 enfants marocains, est révélatrice d’un système défaillant. « Cette décision a frappé de stupeur le peuple marocain et envoyé une onde de choc dans tout le pays. La colère populaire s’est immédiatement manifestée avec une force qui a surpris les pouvoirs publics », rappelle d’emblée Hicham Ben Abdallah El Alaoui, dans une tribune publiée ce mardi 13 août, par le site du journal espagnol El Pais.

« Ce qui s’en est suivi est à présent bien connu. Mais personne ne peut, pour l’instant, deviner la suite des évènements. Cependant ce qui est sûr, c’est que la répression sauvage de la première manifestation devant le Parlement n’a fait qu’aggraver la situation et augmenter le sentiment de révolte », souligne-t-il.

Système « makhzenien »

Le Prince rouge estime que, la répression policière enregistrée durant les premières manifestations de protestation contre la grâce royale de l’Espagnol, n’a fait que confirmer l’autoritarisme « makhzénien » du système. « La réaction du système politique à ces évènements illustre bien son mode de fonctionnement, qui reste autoritaire « makhzenien », sur le fond, en dépit des quelques reformes parcimonieuses introduites sous la pression du mouvement du 20 Février », estime-t-il.

Dans sa tribune, le cousin du roi s’est également intéressé à la gestion du DanielGate par le gouvernement Benkirane. Celui-ci était « paralysé », affirme-t-il. Dans cette affaire, le gouvernement et le PJD ont cherché « à dégager leur responsabilité en mettant le malheureux pardon sur le compte des intérêts « supérieurs » de la nation et des bonnes relations avec l’Espagne. Leurs déclarations sont contradictoires et mal ficelées », estime le prince. Et de poursuivre : « Tout indique que les principaux acteurs politiques ont retrouvé leur reflexe traditionnel : attendre que l’initiative vienne du Palais royal. Une attente qui montre bien que celui-ci concentre toujours l’essentiel des pouvoirs, malgré les derniers réaménagements de façade ».

Divinisation du roi

Moulay Hicham explique également cette « bourde » par l’attribution « excessive » des pouvoirs au Palais. « Cette procédure défectueuse et ses résultats désastreux découlent d’un fonctionnement déficient des institutions, de leur caractère inadéquat. Ces déficiences mettent en relief la concentration excessive des pouvoirs aux mains du palais ainsi que ses pratiques opaques quand il s’agit de gouverner », souligne-t-il. Mais ce n’est pas tout. Moulay Hicham n’en est pas resté là. Dans la deuxième partie de sa tribune, il pointe du doigt l’entourage direct du roi Mohammed VI, qui selon lui n’a pas fait son travail. Un « mutisme » dû, selon le prince, à la divinisation du roi.

« Comme on le voit après ce pardon royal, le mutisme et la prudence extrême des protagonistes montrent qu’on est plutôt passé de la sacralité du roi à sa divinisation. Personne n’a donc osé s’avancer. Personne ne s’est risqué à intervenir pour aider le souverain à s’informer correctement : ni quelque conseiller honnête et compétent (s’il s’en trouve), ni le gouvernement, ni le Parlement, ni les administrations n’ont pu jouer leur rôle d’intermédiation. Ceci sans parler de la presse aux ordres laquelle n’a pas manqué d’étaler ses flagorneries quand elle ne jugule pas les voix discordantes », déplore-t-il.

Et d’ajouter : « Les rouages qui semblent protéger le roi ont dans les faits plutôt abouti à l’isoler et à l’exposer dangereusement. Si bien qu’une liste et un geste de pardon qui auraient dû le grandir lui ont, au contraire, porté un préjudice qui laissera des traces durables ». « Il faut incriminer les manipulations de l’entourage royal », affirme-t-il.

Besoin de réformes

Pour remédier à ces défaillances, le prince estime urgent d’apporter des réformes à la monarchie marocaine, entre autres. « Les mesures prises (Ndlr : durant le DanielGate) révèlent une fois de plus les limites d’un système habitué à lâcher un peu de lest pour donner le change ».

« La nouvelle donne, tant sur le plan intérieur qu’extérieur, impose la nécessité d’une réforme d’ensemble de la monarchie comme des autres institutions de gouvernement. Cela passe par l’installation de contre-pouvoirs institutionnalisés, démocratiquement élus : cela passe aussi par la réorganisation des services du Palais et de ses prérogatives dans le cadre de la transparence ; cela passe, enfin, par l’attribution de pouvoirs réels de contrôle et de supervision à un Parlement digne de ce nom », explique le prince.

Et de conclure : « L’affaire Galván n’est que la dernière d’une série. On peut citer, entre autres, les grâces indues accordées à d’autres criminels, les honneurs octroyées à un vice-président de l’AIPAC [lobby pro israélien aux États-Unis], ainsi que la conduite illégale et immorale de l’appareil sécuritaire dans « la guerre contre le terrorisme ». Toutes ces décisions montrent que nous courbons l’échine devant des intérêts étrangers au nom d’une conception erronée de l’intérêt national. Cela met à nu nos défaillances criantes et montre que nous restons prisonniers de structures institutionnelles dépassées. Il est à prévoir que les mouvements de colère du peuple marocain seront plus forts et décisifs à l’encontre de ce système de faveurs qui porte atteinte à son intégrité, et fait bon marche de son honneur dans des transactions internationales. Elles l’humilient et le souillent ».

http://www.yabiladi.com/articles/details/18972/danielgate-prince-hicham-reagit-grace.html
Il réagit tout le temps ce cousin de notre roi ,un cousin unique en son genre.Aucun roi ,aucun président, aucun chef de gouvernement ,n'a un cousin comme ce cousin de notre roi ,il est unique il ne ressemble pas à son frère cadet non plus.
 
Bonjour,

Ce serait une très bonne analyse si cette personne, que l'on appelle le prince, n'avait pas d'arrières pensées. Pour avoir lu pas mal de choses sur lui, je pense que cette personne là se voie en sauveur du Maroc, en alternative. Il suffit de lire son dernier article sur la revue Pouvoirs ou un dossier fait il y a quelques années par Tel Quel, qui, si on regarde bien, fait référence à lui.
Avec ce type de réflexion qu'il a,je lui souhaite tout le bien pour qu'il arrive à son objectif si il y a,le Maroc ne s'en porterait que meilleur,j'aimerais un discours pareil pour le roi m6 ou il pointe du doigt de grosses pointures du Maroc,ce n'est qu'à ce moment qu'on peut espérer un changement.
 

tizniti

Soyons sérieux .
.............tous les peuples dirigés par des islamistes sont miséreux , pauvres et instables
L'Irak 50 morts / mois en moyenne
Syrie
Égypte ,
Tunisie,
Soudan ,
Yémen
Somalie
et la liste est longue
il nous dira quoi le Prince sur cette évidence ?

insatis, avec ta permission, je retire de ta liste le Soudan et la Somalie qui font preuve de changements significatifs assez satisfaisants qu'il faut encourager et soutenir:cool:
 
Monarchie. Moulay Hicham veut la tête d’El Himma
Goud.ma
Mardi 13 Août 2013 - 19:55

Moulay Hicham a appelé à une refonte globale de la monarchie et des institutions du Maroc. Cette réforme, selon le cousin de Mohammed VI qui vient de signer un article dans le quotidien espagnol « El Pais », passe par la création de contre-pouvoirs institutionnels élus démocratiquement. Mais passe aussi, selon le « Prince rouge », par une restructuration des services du Palais et de ses pouvoirs dans une totale transparence et donner au Parlement de réels pouvoirs de contrôles.
Moulay Hicham n’a pas été tendre avec Fouad Ali El Himma. Il a appelé au départ de ce dernier au cas où il serait avéré qu’il avait une quelconque responsabilité à assumer dans le scandale de la grâce royale accordée au pédophile espagnol.
Les critiques de Hicham El Alaoui n’ont pas épargné non plus l’entourage du roi, le Parlement, le gouvernement et l’Administration, qui, selon lui, ont isolé le roi et l’ont mis, de manière dangereuse, au devant de la scène.
 

insatis

insatise
insatis, avec ta permission, je retire de ta liste le Soudan et la Somalie qui font preuve de changements significatifs assez satisfaisants qu'il faut encourager et soutenir:cool:
3idouki mourake Lalla
j'adore ton style et ta politesse qui font fondre les coeur ! sans exagération
oui accordé avec mes hommage pour toi
 

insatis

insatise
Il réagit tout le temps ce cousin de notre roi ,un cousin unique en son genre.Aucun roi ,aucun président, aucun chef de gouvernement ,n'a un cousin comme ce cousin de notre roi ,il est unique il ne ressemble pas à son frère cadet non plus.
3idouka moubarake sa3id
hier je n'ai pas eu le temps de tout dire
ces islamistes qui sont arrivés au pouvoir , ils étaient dans l'opposition portant SUR LES AFFICHE (ALLAHOU AKBAR :
pendant les élection , ces islamistes ont planqués les slogans de ALLAHOU AKBAR pour les remplacer par :
la démocratie chérie
la fraternité
et la tolérance
et une fois ils ont gagné les élections ils ont Re sorti leur slogan ALLAHOU OUAKBAR
Morssi ET SES CO acolytes
BEN KIRANE ety son ami RAMIDE
ANNAHDA
ALAMALIKI
ABBASI MADANI
BELHAJ
pour ne citer que ces gens là
on sait notre frère de l'est combien il a eu des morts
on sait en Irak aussi
au Yèmene
la Tunisie est sur la voie
donc:
tous les gouvernements islamistes reculeront leur pays de 10 siècles en arrières
et causeront des massacres d'une guerre mondiale
et l'histoire nous le dira
 
Ces dites révolutions arabes sont des canulars ,sans les ricains l'armée tunisienne serait intervenue pour mater les rebelles ,le pentagone entretient des relations étroites avec les chefs des armées de beaucoup de pays arabes.
Quant au cousin du roi je lui dis On ne peut prétendre à une démocratie à l'image de celle de la grande bretagne quand une bonne franche de la population a une mentalité du moyen âge.Il faut d'abord commencer par inculquer à ces populations les valeurs d'ouverture et de tolérance ,après on pourra parler de démocratie.Je lui demande aussi de laisser le roi tranquille ,ses sorties médiatiques inappropriées font le bonheur des plateaux en mal d'audience quand dans les coulisses on chuchote qu'il est jaloux du roi.:D
 
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insatis

insatise
Ces dites révolutions arabes sont des canulars ,sans les ricains l'armée tunisienne serait intervenue pour mater les rebelles ,le pentagone entretient des relations étroites avec les chefs des armées de beaucoup de pays arabes.
Quant au cousin du roi je lui dis On ne peut prétendre à une démocratie à l'image de celle de la grande bretagne quand une bonne franche de la population a une mentalité du moyen âge.Il faut d'abord commencer par inculquer à ces populations les valeurs d'ouverture et de tolérance ,après on pourra parler de démocratie.Je lui demande aussi de laisser le roi tranquille ,ses sorties médiatiques inappropriées font le bonheur des plateaux en mal d'audience quand dans les coulisses on chuchote qu'il est jaloux du roi.:D
vrai il cherche comme toute personne ambitieuse , rentrer au palais et occuper un rôle important seulement , c'est impossible vu le protocole , et la complication de ses liens douteux inter mondialistes
 
vrai il cherche comme toute personne ambitieuse , rentrer au palais et occuper un rôle important seulement , c'est impossible vu le protocole , et la complication de ses liens douteux inter mondialistes
Il compte peut être commencer par se faire remarquer par les puissances de ce monde ,leur inspirer l'idée d'une probable alternative le cas de manifestations anti pouvoir ,chkoune 3aref ach dayer lou f rassou.bezzaf 8ad chi 7na ykhallina tranquille yemchi ye9di 7aja l rassou il a l'argent et la notoriété il cherche quoi de plus? on n'a pas besoin d'instabilité chez nous.Il rêve trop ce cousin du roi.
 
Pédophile Espagnol d'origine Irakienne, qui a obtenu la nationalité Espagnole mais pas de longue date.
ceci étant précisé il n'aurait pas dû être libéré.
 

Espiegle69

Evil Halouf
Ces dites révolutions arabes sont des canulars ,sans les ricains l'armée tunisienne serait intervenue pour mater les rebelles ,le pentagone entretient des relations étroites avec les chefs des armées de beaucoup de pays arabes.

L'armée tunisienne n'est pas intervenue car elle avait intéret à ne pas le faire. Ben Ali se méfiait tellement des coup d'état qu'il a volontairement sous-financé l'armée au profit de la police. L'armée tunisienne contrairement à l'armée égyptienne profiterait d'un changement de régime.

Quant aux USA, ils ont été complètement dépassé par ce qui s'est passé en Tunisie. Qu'ils aient soutenus ou non Ben Ali, il aurait finis par être renversé car les tunisiens étaient au bout du rouleau avec ce régime mafieux.
 
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