Cette semaine, nos médias tristement soumis nous ont, une fois de plus, masqué une information, préférant pousser des cris d’orfraie sur la visite du président Erdoğan en Russie.
Bien sûr, le cas du gazoduc Turkish Stream a été évoqué et ce projet va être relancé. La Turquie ne va pas cracher sur une rente en matière de transit.
Ce gazoduc à destination de l’Europe du Sud doit passer par la Grèce et la Macédoine pour leur malheur.
La Grèce va finir de se faire piller par l’Allemagne, la Macédoine continuera d’être déstabilisée par les USA tant qu’un gouvernement aux ordres ne sera pas en place.
La Bulgarie a fait une ouverture pour relancer le projet South Stream. Un changement de régime est en vue, les USA ne laisseront jamais se développer un projet de gazoduc qui transiterait par la Serbie et la Hongrie, ces mauvais élèves de l’atlantisme.
Pour le North Stream 2, l’Allemagne est assez forte pour imposer son projet finissant de ruiner l’Ukraine et contraignant la Pologne à payer la dîme germanique.
L’épisode majeur de la guerre énergétique et économique, sciemment occulté, se trouve entre la mer Caspienne et la mer d’Oman. Le 8 août se sont réunis à Bakou les présidents de l’Azerbaïdjan, de l’Iran et de la Russie pour discuter d’un corridor international de transport de marchandises.
Ce corridor permettra de relier la mer d’Oman à la Russie via l’Iran pour alimenter le nord de l’Europe.
L’Inde coopère déjà à la mutation du port iranien de Chabahar, qui sera le terminal du canal Caspienne-Oman.
Passé inaperçu, un accord a été signé en avril entre la Russie, la Géorgie, l’Arménie et l’Iran sur un corridor électrique passant par ces pays pour permettre les échanges d’énergie électrique afin de faciliter l’exploitation du futur canal. Ce projet va permettre à tous les riverains d’avoir un débouché pour leurs productions ou leurs ressources.
Ce qui prévaut dans ce projet est l’intérêt commun et non la soumission à la puissance américaine.
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Bien sûr, le cas du gazoduc Turkish Stream a été évoqué et ce projet va être relancé. La Turquie ne va pas cracher sur une rente en matière de transit.
Ce gazoduc à destination de l’Europe du Sud doit passer par la Grèce et la Macédoine pour leur malheur.
La Grèce va finir de se faire piller par l’Allemagne, la Macédoine continuera d’être déstabilisée par les USA tant qu’un gouvernement aux ordres ne sera pas en place.
La Bulgarie a fait une ouverture pour relancer le projet South Stream. Un changement de régime est en vue, les USA ne laisseront jamais se développer un projet de gazoduc qui transiterait par la Serbie et la Hongrie, ces mauvais élèves de l’atlantisme.
Pour le North Stream 2, l’Allemagne est assez forte pour imposer son projet finissant de ruiner l’Ukraine et contraignant la Pologne à payer la dîme germanique.
L’épisode majeur de la guerre énergétique et économique, sciemment occulté, se trouve entre la mer Caspienne et la mer d’Oman. Le 8 août se sont réunis à Bakou les présidents de l’Azerbaïdjan, de l’Iran et de la Russie pour discuter d’un corridor international de transport de marchandises.
Ce corridor permettra de relier la mer d’Oman à la Russie via l’Iran pour alimenter le nord de l’Europe.
L’Inde coopère déjà à la mutation du port iranien de Chabahar, qui sera le terminal du canal Caspienne-Oman.
Passé inaperçu, un accord a été signé en avril entre la Russie, la Géorgie, l’Arménie et l’Iran sur un corridor électrique passant par ces pays pour permettre les échanges d’énergie électrique afin de faciliter l’exploitation du futur canal. Ce projet va permettre à tous les riverains d’avoir un débouché pour leurs productions ou leurs ressources.
Ce qui prévaut dans ce projet est l’intérêt commun et non la soumission à la puissance américaine.
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