Détrônement et exécution d’une fausse reine

Après six mois de réflexion intense, je pris ma décision.

Je me mis sérieusement en question. Chaque jour, j’analysais mes choix et mes actions du passé. Je me soumettais à des introspections profondes, je menais des investigations internes et je listais les faits, les preuves et les motifs. Déductions par-ci, abductions par-là, je fixais ce que je connaissais de moi et ce que j’ignorais de moi, je fixais ce que je pouvais encore connaitre de moi et ce que j’allais toujours ignorer. A travers des rêves lucides je parlais à des projections de mes amis et de mes ennemis, je discutais avec des projections de ma propre personne. A travers la méditation j’appréhendais ou non, mon insignifiance absolue dans cet univers gigantesque, j’appris par conséquent de trouver le calme intérieur, le calme de la sagesse. A travers de l’autohypnose, je réconciliais entre les couches de ma conscience et subconscience, je réduisis par conséquent le nombre de voix tumultueuses dans ma tête. A travers l’émulation psychologique je me préparais au pire et diminuais mes craintes. Et les arts martiaux me permirent de dégager le surplus d’énergie, et d’harmoniser corps et esprit pour ériger en définitif une personnalité qui résonnait avec sincérité et dévouement avec le chant des instruments, pas nécessairement musicaux, entre ses mains et sous ses doigts. Je devins très stable, très heureux, très robuste et je hissais sur mes épaules avec toute fierté le drapeau de l’intégrité. Après six mois de devenir et de réflexion intense, j’aboutis à un jugement de moi, et des autres, j’aboutis à des leçons et un nouveau système de pensée. Alors, je pris ma décision.

Le 19 mars 2013, dans une conversation vidéo-phonique sur Skype, j’expliquais à la chevelure noire que je ne pensait définitivement plus à revenir à elle. Notre passé étant assez corrompue et ambigüe, je ne voyais pas comment il pouvait encore y rester place pour de la transparence et de la pureté. Je lui expliquais que ce n’est pas à cause de sa maladie, ni à cause de sa stérilité. Après un petit échange de questions et d’idées, elle accepta ma décision sans tergiversation. Elle voulait néanmoins me dire encore trois choses :

1 – Pour que je ne doute plus jamais d’elle, elle me donna l’accès total à son système d’information personnelle. Autrement dit, j’avais la possibilité de me connecter à tout instant aux ordinateurs et aux autres appareils électroniques, caméras, micros, téléphones et portables, chez elle au Canada. J’avais aussi accès aux historiques ! Eh oui, quand je le voulais, je l’observais chez elle, comment elle dort, se réveille, se prépare quoi à manger, rencontre ses médecins, fait du sport, de la musique ! Elle faisait tout cela chez elle et quittait rarement la maison. Même chose pour ses négociations, elle faisait venir les gens concernés chez elle. Elle me prit seulement de ne plus se reparler. Voilà ! J’étais sûr qu’elle n’allait plus s’ingérer dans ma vie.
2 – Le 19 mars 2012, alors que j’étais en Chine, elle fit de sorte que mon portable de num marocain soit piqué de la maison de mes parents, et elle l’utilisa pour envoyer un sms à une certaine personne, Meryem, la reine noire, pour lui envoyer un simple joyeux anniversaire.
3 – Le 19 mars 2013, c’est-à-dire ce jour même de la conversation, elle pria un de mes amis à l’internat, de refaire la même chose, en lui envoyant joyeux anniversaire de mon num à mon insu. Je vérifiai rapidement et je ne trouvai pas mon portable ! Effectivement, au moment même de la conversation, le message « Joyeux anniversaire Meryem » fut envoyé. Comme si elle savait que je n’allais pas vouloir revenir à elle ! Elle me conseilla alors de redonner une chance à la reine noire, et se congédia de moi.

Ce qui allait se passer par la suite est simple et court à raconter. Après quelques mois de conversations avec la reine noire, nous devinrent à nouveau un couple, après presque 3 ans de séparation. Nous réfléchissions alors à un futur commun. Au début je ne l’aimais pas, elle était trop arrogante et trop ennuyante. Elle était aussi faiblement capable d’apprendre de nouvelles leçons de vie, ni de changer et d’améliorer sa personnalité en reconnaissant ses vices et les combattants. Je cédais toujours à cette faiblesse de sa part. Elle n’était même capable d’avouer qu’elle devenait jalouse. Finalement, elle ne me plaisait même pas physiquement, moi qui étais habitué aux filles avec une figure sportive et athlétique. Néanmoins je réussi de vaincre ma superficialité pour admettre qu’elle avait un côté royal que j’adorais, j’étais convaincu par sa rectitude et fidélité. Je réussi à l’aimer malgré tout, même si ce n’était pas le grand amour. Je réussi aussi de la faire sentir importante et convoitée, et pour prouver la pureté de mes intentions, je ne la touchais jamais, pas de bisous, pas de caresses, rien. Elle était musulmane et voulait un musulman, je fis alors un grand effort pour regagner ma foi, j’ai même jeuné Ramadan. Je l’appelais ma Reine.

Mais de temps en temps, des gens qui la connaissaient venaient la dénigrer, en l’accusant d’être une Jeloua9a, c’est-à-dire une fille qui cherche excessivement de la compagnie masculine en vue d’assouvir des besoins particuliers. J’ignorais ces accusations et j’allais directement ouvrir mes logiciels VPN, pour voir ce que faisait la chevelure noire à Ottawa. Mais elle ne faisait rien. Sport, musique, lecture, méditation, consultation des méds, mais rien d’autres. Elle respectait un emploi de temps à la milliseconde près et ceci depuis des mois. Même une consultation de ses historiques me montrait qu’elle était totalement innocente.

Mais ces accusations augmentaient et s’aggravaient de jour en jour. Et lorsque je sentis qu’elle me mentit au sujet d’un ou deux trucs, je lançai alors un petit jeu d’échecs.
Je m’approchais de sa grande sœur qui ne me connaissait pas de vue, j’enlevai mes lentilles de contact et en se mettant en face du soleil, je la laissais se perdre dans la verdure de mes yeux du Rif. Il était facile de la manipuler, pour avoir un court accès à l’ordinateur de Meryem, ma Reine. Et boum oui elle me trompait et me mentait. Il semblait qu’à chaque fois elle me disait « je t’aime » elle tenait une bite différente dans sa main. Ni sa sœur, ni elle, ne s’en doutaient de quoi que ça soit. Après, c’était trop facile. Je fis de sorte que la relation se termine en faisant croire que c’est elle qui l’avait terminée. Il faut avouer que je n’étais pas très sincère avec elle encore une fois, elle ne savait pas que mes yeux sont verts, ne savait pas que je maitrisais plusieurs instruments de musique (je lui ai joué une seule fois Natalia sur la guitare en ayant lu les notes une fois, donc plein d’erreurs (3), je ne voulais pas l’impressionner et éveiller sa superficialité). Mais d’autre part, je ne l’avais jamais trompé avec d’autres filles, même si j’avais plein d’occasion.
Je me retirais pour presque trois mois. Il fallait se calmer et retrouver ma puissance intérieure car je me sentais transpercé par mon dos. C’est là que je contactai après presque 1 ans de silence radio, la chevelure noire. Je lui racontai tout. Elle m’aida avec grand plaisir à me venger. Je ne vais pas détailler la vengeance ici, mais imaginez les filles d’avoir été en couple avec quelqu’un qui s’adressait à vous toujours avec ma Reine dans la phrase, qu’il vous montrait ses écrits et ses articles féministes, où il essayait de valoriser les femmes plus que les hommes. Imaginez les filles, qu’il écrivait des poèmes pour vous et vous montrait le plus grand respect, imaginez que ce copain vienne un jour à vous, et vous dit tout soudainement : T’es une sale ****. Je ne pourrais prévoir vos réactions, car déjà je n’ai point, ne serait-ce que la moindre intention, d’insinuer que l’une de mes lectrices soit une ****. Cependant la réaction de celle qui est vraiment une, était très amusante. Amusante car elle réagit comme si elle savait déjà qu’elle en est une. Je vous le dis, c’est une ****** de première classe qui donnait l’apparence d’une reine. Mon œil.

Aujourd’hui, je vis à Freiburg. J’ai loué avec Faty un appartement de deux chambres. Elle est encore cancéreuse, et j’appris il y a quelques mois, juste après avoir quitté Meryem, que je suis aussi malade. Nous combattons cette mort précoce avec toute notre force et amour. Car oui, je l’aime beaucoup et ceci est réciproque, et je suis sûr: Nous allons guérir.

Ceci est la fin de l’histoire de 3ajjaj. Après tout, je ne regrette rien.

Dans la prochaine partie, l'avant-dernière partie: Le Paradoxe, ma profession d’amour et de haine, un traité de l’amour et de la haine, une réflexion sur cette flamme qui quand elle nous n’échauffe pas le cœur, le brûle.
 

Chmicha31

Modérateur
Modérateur
@3ajjaj, sérieusement tu devrais sérieusement penser a faire publier tout ça, je serais la première a l'acheter :rouge: :cool:

Par contre les 2\3 mots vulgaires sur la fin m'ont choqué:D
C'est tellement bien écrit que d'un coup ça nous pète a la gueule :D
( sur le coup j'ai même cru que tu voulais écrire site au lieu de *ite :D )
 
Dernière édition:
je crois que certains sujets auraient beaucoup de plus succès s'il n'étaient pas aussi long
quand on aime poster des pavés on va sur actualités internationales
 
je crois que certains sujets auraient beaucoup de plus succès s'il n'étaient pas aussi long
quand on aime poster des pavés on va sur actualités internationales
Salut!
Merci pour ton message.
Je t'invite à consulter les précédents chapitres http://www.bladi.info/threads/carte-sd.376678/#post-12716346 et tu verras que ces pavés ont bel un bien du succès, du moins celui que j'escomptais, bien qu'ils ne soient pas sur actualités internationales, bien qu'ils soient aussi longs.
Un pavé n'est plus pavé quand il porte du sens.
 
Salut!
Merci pour ton message.
Je t'invite à consulter les précédents chapitres http://www.bladi.info/threads/carte-sd.376678/#post-12716346 et tu verras que ces pavés ont bel un bien du succès, du moins celui que j'escomptais, bien qu'ils ne soient pas sur actualités internationales, bien qu'ils soient aussi longs.
Un pavé n'est plus pavé quand il porte du sens.

tu a dédié ton sujet à misschemsy c'est d'un mauvais gout
faut pas ça, déjà que son mari se plains qu'elle s'occupe pas assez de lui :D
 

popeys

VIB
loin de juger la qualité de cet écrit @3ajjaj vu que je suis un simple amateur, tout ce que je px te dire c'est que j'aime bcp ! d'après moi si ça ne s'est pas passé entre toi et ta reine de la manière que tu t'y attendais, c'est parce que le Ramadan tu dois le faire pour Allah , et non pas pour une reine. Elle ne méritait peut être pas tous ce que tu as fait pour elle :)
 
loin de juger la qualité de cet écrit @3ajjaj vu que je suis un simple amateur, tout ce que je px te dire c'est que j'aime bcp ! d'après moi si ça ne s'est pas passé entre toi et ta reine de la manière que tu t'y attendais, c'est parce que le Ramadan tu dois le faire pour Allah , et non pas pour une reine. Elle ne méritait peut être pas tous ce que tu as fait pour elle :)
Tu as totalement raison.
J'expliquerais ce choix dans le prochain chapitre.
 
Après six mois de réflexion intense, je pris ma décision.

Je me mis sérieusement en question. Chaque jour, j’analysais mes choix et mes actions du passé. Je me soumettais à des introspections profondes, je menais des investigations internes et je listais les faits, les preuves et les motifs. Déductions par-ci, abductions par-là, je fixais ce que je connaissais de moi et ce que j’ignorais de moi, je fixais ce que je pouvais encore connaitre de moi et ce que j’allais toujours ignorer. A travers des rêves lucides je parlais à des projections de mes amis et de mes ennemis, je discutais avec des projections de ma propre personne. A travers la méditation j’appréhendais ou non, mon insignifiance absolue dans cet univers gigantesque, j’appris par conséquent de trouver le calme intérieur, le calme de la sagesse. A travers de l’autohypnose, je réconciliais entre les couches de ma conscience et subconscience, je réduisis par conséquent le nombre de voix tumultueuses dans ma tête. A travers l’émulation psychologique je me préparais au pire et diminuais mes craintes. Et les arts martiaux me permirent de dégager le surplus d’énergie, et d’harmoniser corps et esprit pour ériger en définitif une personnalité qui résonnait avec sincérité et dévouement avec le chant des instruments, pas nécessairement musicaux, entre ses mains et sous ses doigts. Je devins très stable, très heureux, très robuste et je hissais sur mes épaules avec toute fierté le drapeau de l’intégrité. Après six mois de devenir et de réflexion intense, j’aboutis à un jugement de moi, et des autres, j’aboutis à des leçons et un nouveau système de pensée. Alors, je pris ma décision.

Le 19 mars 2013, dans une conversation vidéo-phonique sur Skype, j’expliquais à la chevelure noire que je ne pensait définitivement plus à revenir à elle. Notre passé étant assez corrompue et ambigüe, je ne voyais pas comment il pouvait encore y rester place pour de la transparence et de la pureté. Je lui expliquais que ce n’est pas à cause de sa maladie, ni à cause de sa stérilité. Après un petit échange de questions et d’idées, elle accepta ma décision sans tergiversation. Elle voulait néanmoins me dire encore trois choses :

1 – Pour que je ne doute plus jamais d’elle, elle me donna l’accès total à son système d’information personnelle. Autrement dit, j’avais la possibilité de me connecter à tout instant aux ordinateurs et aux autres appareils électroniques, caméras, micros, téléphones et portables, chez elle au Canada. J’avais aussi accès aux historiques ! Eh oui, quand je le voulais, je l’observais chez elle, comment elle dort, se réveille, se prépare quoi à manger, rencontre ses médecins, fait du sport, de la musique ! Elle faisait tout cela chez elle et quittait rarement la maison. Même chose pour ses négociations, elle faisait venir les gens concernés chez elle. Elle me prit seulement de ne plus se reparler. Voilà ! J’étais sûr qu’elle n’allait plus s’ingérer dans ma vie.
2 – Le 19 mars 2012, alors que j’étais en Chine, elle fit de sorte que mon portable de num marocain soit piqué de la maison de mes parents, et elle l’utilisa pour envoyer un sms à une certaine personne, Meryem, la reine noire, pour lui envoyer un simple joyeux anniversaire.
3 – Le 19 mars 2013, c’est-à-dire ce jour même de la conversation, elle pria un de mes amis à l’internat, de refaire la même chose, en lui envoyant joyeux anniversaire de mon num à mon insu. Je vérifiai rapidement et je ne trouvai pas mon portable ! Effectivement, au moment même de la conversation, le message « Joyeux anniversaire Meryem » fut envoyé. Comme si elle savait que je n’allais pas vouloir revenir à elle ! Elle me conseilla alors de redonner une chance à la reine noire, et se congédia de moi.

Ce qui allait se passer par la suite est simple et court à raconter. Après quelques mois de conversations avec la reine noire, nous devinrent à nouveau un couple, après presque 3 ans de séparation. Nous réfléchissions alors à un futur commun. Au début je ne l’aimais pas, elle était trop arrogante et trop ennuyante. Elle était aussi faiblement capable d’apprendre de nouvelles leçons de vie, ni de changer et d’améliorer sa personnalité en reconnaissant ses vices et les combattants. Je cédais toujours à cette faiblesse de sa part. Elle n’était même capable d’avouer qu’elle devenait jalouse. Finalement, elle ne me plaisait même pas physiquement, moi qui étais habitué aux filles avec une figure sportive et athlétique. Néanmoins je réussi de vaincre ma superficialité pour admettre qu’elle avait un côté royal que j’adorais, j’étais convaincu par sa rectitude et fidélité. Je réussi à l’aimer malgré tout, même si ce n’était pas le grand amour. Je réussi aussi de la faire sentir importante et convoitée, et pour prouver la pureté de mes intentions, je ne la touchais jamais, pas de bisous, pas de caresses, rien. Elle était musulmane et voulait un musulman, je fis alors un grand effort pour regagner ma foi, j’ai même jeuné Ramadan. Je l’appelais ma Reine.

Mais de temps en temps, des gens qui la connaissaient venaient la dénigrer, en l’accusant d’être une Jeloua9a, c’est-à-dire une fille qui cherche excessivement de la compagnie masculine en vue d’assouvir des besoins particuliers. J’ignorais ces accusations et j’allais directement ouvrir mes logiciels VPN, pour voir ce que faisait la chevelure noire à Ottawa. Mais elle ne faisait rien. Sport, musique, lecture, méditation, consultation des méds, mais rien d’autres. Elle respectait un emploi de temps à la milliseconde près et ceci depuis des mois. Même une consultation de ses historiques me montrait qu’elle était totalement innocente.

Mais ces accusations augmentaient et s’aggravaient de jour en jour. Et lorsque je sentis qu’elle me mentit au sujet d’un ou deux trucs, je lançai alors un petit jeu d’échecs.
Je m’approchais de sa grande sœur qui ne me connaissait pas de vue, j’enlevai mes lentilles de contact et en se mettant en face du soleil, je la laissais se perdre dans la verdure de mes yeux du Rif. Il était facile de la manipuler, pour avoir un court accès à l’ordinateur de Meryem, ma Reine. Et boum oui elle me trompait et me mentait. Il semblait qu’à chaque fois elle me disait « je t’aime » elle tenait une bite différente dans sa main. Ni sa sœur, ni elle, ne s’en doutaient de quoi que ça soit. Après, c’était trop facile. Je fis de sorte que la relation se termine en faisant croire que c’est elle qui l’avait terminée. Il faut avouer que je n’étais pas très sincère avec elle encore une fois, elle ne savait pas que mes yeux sont verts, ne savait pas que je maitrisais plusieurs instruments de musique (je lui ai joué une seule fois Natalia sur la guitare en ayant lu les notes une fois, donc plein d’erreurs (3), je ne voulais pas l’impressionner et éveiller sa superficialité). Mais d’autre part, je ne l’avais jamais trompé avec d’autres filles, même si j’avais plein d’occasion.
Je me retirais pour presque trois mois. Il fallait se calmer et retrouver ma puissance intérieure car je me sentais transpercé par mon dos. C’est là que je contactai après presque 1 ans de silence radio, la chevelure noire. Je lui racontai tout. Elle m’aida avec grand plaisir à me venger. Je ne vais pas détailler la vengeance ici, mais imaginez les filles d’avoir été en couple avec quelqu’un qui s’adressait à vous toujours avec ma Reine dans la phrase, qu’il vous montrait ses écrits et ses articles féministes, où il essayait de valoriser les femmes plus que les hommes. Imaginez les filles, qu’il écrivait des poèmes pour vous et vous montrait le plus grand respect, imaginez que ce copain vienne un jour à vous, et vous dit tout soudainement : T’es une sale ****. Je ne pourrais prévoir vos réactions, car déjà je n’ai point, ne serait-ce que la moindre intention, d’insinuer que l’une de mes lectrices soit une ****. Cependant la réaction de celle qui est vraiment une, était très amusante. Amusante car elle réagit comme si elle savait déjà qu’elle en est une. Je vous le dis, c’est une ****** de première classe qui donnait l’apparence d’une reine. Mon œil.

Aujourd’hui, je vis à Freiburg. J’ai loué avec Faty un appartement de deux chambres. Elle est encore cancéreuse, et j’appris il y a quelques mois, juste après avoir quitté Meryem, que je suis aussi malade. Nous combattons cette mort précoce avec toute notre force et amour. Car oui, je l’aime beaucoup et ceci est réciproque, et je suis sûr: Nous allons guérir.

Ceci est la fin de l’histoire de 3ajjaj. Après tout, je ne regrette rien.

Dans la prochaine partie, l'avant-dernière partie: Le Paradoxe, ma profession d’amour et de haine, un traité de l’amour et de la haine, une réflexion sur cette flamme qui quand elle nous n’échauffe pas le cœur, le brûle.


Très bien commencé @3ajjaj !!!! J'adore c'est de mieux en mieux
mais la fin est pas contrôlée ..... attention aux émotions ....ça sent le vécu!!!
 

Sora

Life is full of beauty
VIB
j’ai même jeuné Ramadan.
:eek: choquée !! Tu ne jeunais pas Ramadan :claque:

Aujourd’hui, je vis à Freiburg. J’ai loué avec Faty un appartement de deux chambres. Elle est encore cancéreuse, et j’appris il y a quelques mois, juste après avoir quitté Meryem, que je suis aussi malade. Nous combattons cette mort précoce avec toute notre force et amour. Car oui, je l’aime beaucoup et ceci est réciproque, et je suis sûr: Nous allons guérir.

Serait ce la même maladie que ta dulcinée ?
Il a fallu toutes ces aventures pour reconnaitre que c elle et pas une autre? :intello:
Toutes les filles ne sont pas comme Meryem ou de ce que t'as pu comprendre qu'elle est car mm si la chevelure noire parait innocente, il se peut bien qu'elle soit derrière un dernier manège :p

Ceci est la fin de l’histoire de 3ajjaj. Après tout, je ne regrette rien.
.
Donc quoi tu vas t'éteindre dans si peu? :pleurs: Il faut s'inventer une autre histoire, il y a de lecteurs de plus en plus :cool:
 
:eek: choquée !! Tu ne jeunais pas Ramadan :claque:
Oui: :( Ma foi était à zéro. Il fallait faire un moratoire épistémologique, J'ai donc décidé de me concentrer sur les autres choses bien que le choix religieux est basique. Car ce n'est pas très juste de jeuner et de ne pas être capable de faire la Chahada avec conviction et sincérité. Cette Meryem qui se dit musulmane et qui aime les sucettes :npq:(if you know what I mean :sournois:) a accéléré le processus. Toutes les filles ne sont pas comme elle, tu as raison. Mes choix théologiques ne sont cependant pas influencés par les décéptions de ma vie personnelle.
Serait ce la même maladie que ta dulcinée ?
Non j'ai un simple cancer de l'os. J'ai de bonnes chances de guérison. Je suis déjà en rémission et je vais me soumettre à une deuxième chimio dans deux semaines. Je mange bien et le sport et la musique font le reste.
si la chevelure noire parait innocente, il se peut bien qu'elle soit derrière un dernier manège
C'est impossible. Je me suis vraiment pris le temps pour vérifier. Faty m'a avoué d'autres petits mensonges mais tout comme moi, nous étions tout les deux obligés par les conditions de la vie. Sais-tu que je voulais toujours me préserver pour la femme que je vais marier. Les résultat: J'ai couché avec plus que 7 filles. C'est honteux mais quand j'y repense, je ne regrette rien. Je suis plein de gratitude que Faty m'accepte malgré cela.
Donc quoi tu vas t'éteindre dans si peu? :pleurs: Il faut s'inventer une autre histoire, il y a de lecteurs de plus en plus :cool:
Je vais penser à une série complétement fictif.
Merci beaucoup pour ta lecture et pour tes encouragements. :D
 

Sora

Life is full of beauty
VIB
Oui: :( Ma foi était à zéro. Il fallait faire un moratoire épistémologique, J'ai donc décidé de me concentrer sur les autres choses bien que le choix religieux est basique. Car ce n'est pas très juste de jeuner et de ne pas être capable de faire la Chahada avec conviction et sincérité. Cette Meryem qui se dit musulmane et qui aime les sucettes :npq:(if you know what I mean :sournois:) a accéléré le processus. Toutes les filles ne sont pas comme elle, tu as raison. Mes choix théologiques ne sont cependant pas influencés par les décéptions de ma vie personnelle.

Non j'ai un simple cancer de l'os. J'ai de bonnes chances de guérison. Je suis déjà en rémission et je vais me soumettre à une deuxième chimio dans deux semaines. Je mange bien et le sport et la musique font le reste.

C'est impossible. Je me suis vraiment pris le temps pour vérifier. Faty m'a avoué d'autres petits mensonges mais tout comme moi, nous étions tout les deux obligés par les conditions de la vie. Sais-tu que je voulais toujours me préserver pour la femme que je vais marier. Les résultat: J'ai couché avec plus que 7 filles. C'est honteux mais quand j'y repense, je ne regrette rien. Je suis plein de gratitude que Faty m'accepte malgré cela.

Je vais penser à une série complétement fictif.
Merci beaucoup pour ta lecture et pour tes encouragements. :D

Un rapide rétablissement et plein de santé tels sont mes vœux pour toi !!Allah ychafik o y3afik ! (si ta réalité est telle:p)

Essaye de revoir ta foi et de la consolider, ça te ferait le plus grand bien ! Tu pourrais mm voir la vie différemment :)

Pour un conte purement imaginaire, tu pourrais tjrs t'inspirer des histoires de ceux que tu connaisse ;)
Je te lirai volontiers, et j'aimerai bien voir ce que ça pourrait donner :D

Bon courage pour tout :cool:
 
Après six mois de réflexion intense, je pris ma décision.

Je me mis sérieusement en question. Chaque jour, j’analysais mes choix et mes actions du passé. Je me soumettais à des introspections profondes, je menais des investigations internes et je listais les faits, les preuves et les motifs. Déductions par-ci, abductions par-là, je fixais ce que je connaissais de moi et ce que j’ignorais de moi, je fixais ce que je pouvais encore connaitre de moi et ce que j’allais toujours ignorer. A travers des rêves lucides je parlais à des projections de mes amis et de mes ennemis, je discutais avec des projections de ma propre personne. A travers la méditation j’appréhendais ou non, mon insignifiance absolue dans cet univers gigantesque, j’appris par conséquent de trouver le calme intérieur, le calme de la sagesse. A travers de l’autohypnose, je réconciliais entre les couches de ma conscience et subconscience, je réduisis par conséquent le nombre de voix tumultueuses dans ma tête. A travers l’émulation psychologique je me préparais au pire et diminuais mes craintes. Et les arts martiaux me permirent de dégager le surplus d’énergie, et d’harmoniser corps et esprit pour ériger en définitif une personnalité qui résonnait avec sincérité et dévouement avec le chant des instruments, pas nécessairement musicaux, entre ses mains et sous ses doigts. Je devins très stable, très heureux, très robuste et je hissais sur mes épaules avec toute fierté le drapeau de l’intégrité. Après six mois de devenir et de réflexion intense, j’aboutis à un jugement de moi, et des autres, j’aboutis à des leçons et un nouveau système de pensée. Alors, je pris ma décision.

Le 19 mars 2013, dans une conversation vidéo-phonique sur Skype, j’expliquais à la chevelure noire que je ne pensait définitivement plus à revenir à elle. Notre passé étant assez corrompue et ambigüe, je ne voyais pas comment il pouvait encore y rester place pour de la transparence et de la pureté. Je lui expliquais que ce n’est pas à cause de sa maladie, ni à cause de sa stérilité. Après un petit échange de questions et d’idées, elle accepta ma décision sans tergiversation. Elle voulait néanmoins me dire encore trois choses :

1 – Pour que je ne doute plus jamais d’elle, elle me donna l’accès total à son système d’information personnelle. Autrement dit, j’avais la possibilité de me connecter à tout instant aux ordinateurs et aux autres appareils électroniques, caméras, micros, téléphones et portables, chez elle au Canada. J’avais aussi accès aux historiques ! Eh oui, quand je le voulais, je l’observais chez elle, comment elle dort, se réveille, se prépare quoi à manger, rencontre ses médecins, fait du sport, de la musique ! Elle faisait tout cela chez elle et quittait rarement la maison. Même chose pour ses négociations, elle faisait venir les gens concernés chez elle. Elle me prit seulement de ne plus se reparler. Voilà ! J’étais sûr qu’elle n’allait plus s’ingérer dans ma vie.
2 – Le 19 mars 2012, alors que j’étais en Chine, elle fit de sorte que mon portable de num marocain soit piqué de la maison de mes parents, et elle l’utilisa pour envoyer un sms à une certaine personne, Meryem, la reine noire, pour lui envoyer un simple joyeux anniversaire.
3 – Le 19 mars 2013, c’est-à-dire ce jour même de la conversation, elle pria un de mes amis à l’internat, de refaire la même chose, en lui envoyant joyeux anniversaire de mon num à mon insu. Je vérifiai rapidement et je ne trouvai pas mon portable ! Effectivement, au moment même de la conversation, le message « Joyeux anniversaire Meryem » fut envoyé. Comme si elle savait que je n’allais pas vouloir revenir à elle ! Elle me conseilla alors de redonner une chance à la reine noire, et se congédia de moi.

Ce qui allait se passer par la suite est simple et court à raconter. Après quelques mois de conversations avec la reine noire, nous devinrent à nouveau un couple, après presque 3 ans de séparation. Nous réfléchissions alors à un futur commun. Au début je ne l’aimais pas, elle était trop arrogante et trop ennuyante. Elle était aussi faiblement capable d’apprendre de nouvelles leçons de vie, ni de changer et d’améliorer sa personnalité en reconnaissant ses vices et les combattants. Je cédais toujours à cette faiblesse de sa part. Elle n’était même capable d’avouer qu’elle devenait jalouse. Finalement, elle ne me plaisait même pas physiquement, moi qui étais habitué aux filles avec une figure sportive et athlétique. Néanmoins je réussi de vaincre ma superficialité pour admettre qu’elle avait un côté royal que j’adorais, j’étais convaincu par sa rectitude et fidélité. Je réussi à l’aimer malgré tout, même si ce n’était pas le grand amour. Je réussi aussi de la faire sentir importante et convoitée, et pour prouver la pureté de mes intentions, je ne la touchais jamais, pas de bisous, pas de caresses, rien. Elle était musulmane et voulait un musulman, je fis alors un grand effort pour regagner ma foi, j’ai même jeuné Ramadan. Je l’appelais ma Reine.

Mais de temps en temps, des gens qui la connaissaient venaient la dénigrer, en l’accusant d’être une Jeloua9a, c’est-à-dire une fille qui cherche excessivement de la compagnie masculine en vue d’assouvir des besoins particuliers. J’ignorais ces accusations et j’allais directement ouvrir mes logiciels VPN, pour voir ce que faisait la chevelure noire à Ottawa. Mais elle ne faisait rien. Sport, musique, lecture, méditation, consultation des méds, mais rien d’autres. Elle respectait un emploi de temps à la milliseconde près et ceci depuis des mois. Même une consultation de ses historiques me montrait qu’elle était totalement innocente.

Mais ces accusations augmentaient et s’aggravaient de jour en jour. Et lorsque je sentis qu’elle me mentit au sujet d’un ou deux trucs, je lançai alors un petit jeu d’échecs.
Je m’approchais de sa grande sœur qui ne me connaissait pas de vue, j’enlevai mes lentilles de contact et en se mettant en face du soleil, je la laissais se perdre dans la verdure de mes yeux du Rif. Il était facile de la manipuler, pour avoir un court accès à l’ordinateur de Meryem, ma Reine. Et boum oui elle me trompait et me mentait. Il semblait qu’à chaque fois elle me disait « je t’aime » elle tenait une bite différente dans sa main. Ni sa sœur, ni elle, ne s’en doutaient de quoi que ça soit. Après, c’était trop facile. Je fis de sorte que la relation se termine en faisant croire que c’est elle qui l’avait terminée. Il faut avouer que je n’étais pas très sincère avec elle encore une fois, elle ne savait pas que mes yeux sont verts, ne savait pas que je maitrisais plusieurs instruments de musique (je lui ai joué une seule fois Natalia sur la guitare en ayant lu les notes une fois, donc plein d’erreurs (3), je ne voulais pas l’impressionner et éveiller sa superficialité). Mais d’autre part, je ne l’avais jamais trompé avec d’autres filles, même si j’avais plein d’occasion.
Je me retirais pour presque trois mois. Il fallait se calmer et retrouver ma puissance intérieure car je me sentais transpercé par mon dos. C’est là que je contactai après presque 1 ans de silence radio, la chevelure noire. Je lui racontai tout. Elle m’aida avec grand plaisir à me venger. Je ne vais pas détailler la vengeance ici, mais imaginez les filles d’avoir été en couple avec quelqu’un qui s’adressait à vous toujours avec ma Reine dans la phrase, qu’il vous montrait ses écrits et ses articles féministes, où il essayait de valoriser les femmes plus que les hommes. Imaginez les filles, qu’il écrivait des poèmes pour vous et vous montrait le plus grand respect, imaginez que ce copain vienne un jour à vous, et vous dit tout soudainement : T’es une sale ****. Je ne pourrais prévoir vos réactions, car déjà je n’ai point, ne serait-ce que la moindre intention, d’insinuer que l’une de mes lectrices soit une ****. Cependant la réaction de celle qui est vraiment une, était très amusante. Amusante car elle réagit comme si elle savait déjà qu’elle en est une. Je vous le dis, c’est une ****** de première classe qui donnait l’apparence d’une reine. Mon œil.

Aujourd’hui, je vis à Freiburg. J’ai loué avec Faty un appartement de deux chambres. Elle est encore cancéreuse, et j’appris il y a quelques mois, juste après avoir quitté Meryem, que je suis aussi malade. Nous combattons cette mort précoce avec toute notre force et amour. Car oui, je l’aime beaucoup et ceci est réciproque, et je suis sûr: Nous allons guérir.

Ceci est la fin de l’histoire de 3ajjaj. Après tout, je ne regrette rien.

Dans la prochaine partie, l'avant-dernière partie: Le Paradoxe, ma profession d’amour et de haine, un traité de l’amour et de la haine, une réflexion sur cette flamme qui quand elle nous n’échauffe pas le cœur, le brûle.


Je trouve ton récit trés léger!!!
à la fois tu veux mettre l accent sur quelque chose au détriment de quelque chose de plus sérieux et plus important à mes yeux.
Sauf si le cancer n est autre qu une métaphore pour parler d une chose qui te tien à coeur???
On sens une part de vérité...
Mais es tu au moins coscient de par quoi tu es passé??? et ce que tu as fait????
 
Je trouve ton récit trés léger!!!
Bonjour!
Merci pour ta lecture et ta compassion.
As-tu lu toute l'histoire? http://www.bladi.info/threads/carte-sd.376678/#post-12716346
à la fois tu veux mettre l accent sur quelque chose au détriment de quelque chose de plus sérieux et plus important à mes yeux.
Tu veux dire que dans toute cette histoire le cancer l'emporte en terme d'importance? Behn sache que du moment où tu fais du cancer un élèment de ta vie, il sera un élèment de ta mort. Je ne l'ignore pas, je ne le refoule pas, j'admets son existence, sans le laisser prendre le dessus de mon moral.
J'ai aimé ton message, n'hésite pas de préciser tes prochaines critiques et questions.
 
Bonjour!
Merci pour ta lecture et ta compassion.
As-tu lu toute l'histoire? http://www.bladi.info/threads/carte-sd.376678/#post-12716346

Tu veux dire que dans toute cette histoire le cancer l'emporte en terme d'importance? Behn sache que du moment où tu fais du cancer un élèment de ta vie, il sera un élèment de ta mort. Je ne l'ignore pas, je ne le refoule pas, j'admets son existence, sans le laisser prendre le dessus de mon moral.
J'ai aimé ton message, n'hésite pas de préciser tes prochaines critiques et questions.
Justement c est la ou ça coince.
J ai ce sentiment , sans lire toute ton histoire, que voilà tu voudrais nous faire croire que oui il ne fait pas partie de ta vie, chose que les gens de l extérieur font.
Mais la force du récit serait de mettre juste un terme une métaphore la oui tel que " Ce maudit fléau" et tes fervents lecteurs sauront qu il s agit à la fois de ta maladie et à la fois que tu mets l accent sur ton détachement de celle ci. ...vois tu? Juste une allusion sans prononcer mm la dite maladie......
 
Justement c est la ou ça coince.
J ai ce sentiment , sans lire toute ton histoire, que voilà tu voudrais nous faire croire que oui il ne fait pas partie de ta vie, chose que les gens de l extérieur font.
Mais la force du récit serait de mettre juste un terme une métaphore la oui tel que " Ce maudit fléau" et tes fervents lecteurs sauront qu il s agit à la fois de ta maladie et à la fois que tu mets l accent sur ton détachement de celle ci. ...vois tu? Juste une allusion sans prononcer mm la dite maladie......
Je vois où est-ce que tu en veux venir :cool:
Mais le récit a en fait un happy end, le mec et la nana sont enfin ensemble. J'aurais pu éviter de mentionner que je suis malade, mais je voulais seulement mettre l'accent sur le fait que je partage la gravité de la situation de Faty bien que mon cas n'est pas si grave. Tu comprendras inch'allah en lisant la dernière partie ;)
 
A

AnvienMembre

Non connecté
Bonjour,

Je trouve la première partie introspection, trop longue, ça ne me semble pas assez sincère trop travaillé sans doute :rouge:.


J'aime bien le reste, tu nuancesdéjà plus que certaines parties om je trouvais justement que ça devenait plus une suite d'actions sans réel lien.
Là, on comprend un peula psychologie.

Après,je trouve ton histoire d'amour nouvelle un peu alambiquée, elle sort de nul art. Enfin, il manque une évocatin de tes sentiments etc. Je pense quetu as doutéavant d dire oui à Faty non ?


Mais, une bonne amélioration niveau concordance des temps, etc c'est beaucoup plus plaisant à lire.
C'est plus la trame de ton histoire qui me semble confuse.
 
Bonjour,

Je trouve la première partie introspection, trop longue, ça ne me semble pas assez sincère trop travaillé sans doute :rouge:.


J'aime bien le reste, tu nuancesdéjà plus que certaines parties om je trouvais justement que ça devenait plus une suite d'actions sans réel lien.
Là, on comprend un peula psychologie.

Après,je trouve ton histoire d'amour nouvelle un peu alambiquée, elle sort de nul art. Enfin, il manque une évocatin de tes sentiments etc. Je pense quetu as doutéavant d dire oui à Faty non ?


Mais, une bonne amélioration niveau concordance des temps, etc c'est beaucoup plus plaisant à lire.
C'est plus la trame de ton histoire qui me semble confuse.
Hey merci de m'avoir lu en tout cas je croyais que tu m'avais oublié. ;)
Je comprends très bien ta critique, j'en étais même conscient du possible manque du je-ne-sais-quoi qu'un lecteur attentif pourrait éprouver. J'étais néanmoins obligé de ne publier que le stricte mimum pour ne pas produire des textes de 10 pages. Je peux certainement faire mieux, à en croire que j'ai écrit chacun de ses textes en moins d'une heure et parfois dans la toilette.
Je n'ai pas douté de dire oui à Faty, j'ai été sûr de non. Sans aucun doute et regret. J'expliquerais mon choix après, dans la 13ème partie.
 
Hey merci de m'avoir lu en tout cas je croyais que tu m'avais oublié. ;)
Je comprends très bien ta critique, j'en étais même conscient du possible manque du je-ne-sais-quoi qu'un lecteur attentif pourrait éprouver. J'étais néanmoins obligé de ne publier que le stricte mimum pour ne pas produire des textes de 10 pages. Je peux certainement faire mieux, à en croire que j'ai écrit chacun de ses textes en moins d'une heure et parfois dans la toilette.
Je n'ai pas douté de dire oui à Faty, j'ai été sûr de non. Sans aucun doute et regret. J'expliquerais mon choix après, dans la 13ème partie.

Tu aime écrire pourquoi ne pas suivre des cours intensifs ?
 
A

AnvienMembre

Non connecté
Hey merci de m'avoir lu en tout cas je croyais que tu m'avais oublié. ;)
Je comprends très bien ta critique, j'en étais même conscient du possible manque du je-ne-sais-quoi qu'un lecteur attentif pourrait éprouver. J'étais néanmoins obligé de ne publier que le stricte mimum pour ne pas produire des textes de 10 pages. Je peux certainement faire mieux, à en croire que j'ai écrit chacun de ses textes en moins d'une heure et parfois dans la toilette.
Je n'ai pas douté de dire oui à Faty, j'ai été sûr de non. Sans aucun doute et regret. J'expliquerais mon choix après, dans la 13ème partie.
Non, non je lis de loin.

Mais du coup, tu vois, l'histoire manque de nuances.

C'est dommage^^.
 
Ben pas l'écriture tu as certain niveau qu'il faut perfectionner ....
Hmm je vois! En fait, en ce qui concernce le français. j'en lis plus qu'en j'écris. En plus, c'est l'allemand et l'arabe mes langues maternelles, et je m'en sors beaucoup mieux. Pour être franc, je ne poursuis pas de rêves de publication. Je veux écrire c'est tout. Plus que la moitié de mes écrits, n'a jamais été lue par une deuxième personne, et pourcentage augmente. Ce sont surtout mes textes de très bonne qualité à mon avis, que je garde à l'abri des regards. L'important c'est d'être capable après l'écriture d'un texte quelconque, de savoir s'autoévaluer objectivement. J'ai encore une liste de critiques et de remarques possible pour cette histoire de 3ajjaj, que les lecteurs n'ont pas su ou voulu relever, par gentillesse peut-être. Mes parents sont tout les deux des auteurs publiés et lus, et leur critique est très dure. Et quand je dis très dur, c'est que j'en pleurais parfois même pendant l'adolescence. Cependant, parfois, quand tout les facteurs se réunissent: une inspiration abondante, une idée géniale, de la volonté sous tension, du temps fléxible, et un mélange parfait entre solitude et compagnie, alors je pose mon *** pour quelques heures (minimum 4), et je produis un texte, allemand, arabe ou français, dont je suis plus que satisfait, ma critique et celle des autres est alors très positive, et quand je dis très positive, c'est que j'en pleure même après l'adolescence, non je blague là :D. C'est pour cela que je ne vois pas l'intérêt de suivre de cours intensifs (mon oncle en donne), car je vais perdre la liberté et l'intimité que je cherche avant tout, en endoctrinant mon style.
Et quand j'ai remarqué que je fais de mieux en mieux quand personne ne me lise, j'ai orienté toute mon énergie pour ce loisir personnelle, car l'intention compte aussi.
J'espère que j'aurais vaincu cette pusillanimité un jour, pour partager avec vous de meilleures productions. Mais je mens là je ne l'espère pas.
 
Dernière édition:
Hmm je vois! En fait, en ce qui concernce le français. j'en lis plus qu'en j'écris. En plus, c'est l'allemand et l'arabe mes langues maternelles, et je m'en sors beaucoup mieux. Pour être franc, je ne poursuis pas de rêves de publication. Je veux écrire c'est tout. Plus que la moitié de mes écrits, n'a jamais été lue par une deuxième personne, et pourcentage augmente. Ce sont surtout mes textes de très bonne qualité à mon avis, que je garde à l'abri des regards. L'important c'est d'être capable après l'écriture d'un texte quelconque, de savoir s'autoévaluer objectivement. J'ai encore une liste de critiques et de remarques possible pour cette histoire de 3ajjaj, que les lecteurs n'ont pas su ou voulu relever, par gentillesse peut-être. Mes parents sont tout les deux des auteurs publiés et lus, et leur critique est très dure. Et quand je dis très dur, c'est que j'en pleurais parfois même pendant l'adolescence. Cependant, parfois, quand tout les facteurs se réunissent: une inspiration abondante, une idée géniale, de la volonté sous tension, du temps fléxible, et un mélange parfait entre solitude et compagnie, alors je pose mon *** pour quelques heures (minimum 4), et je produis un texte, allemand, arabe ou français, dont je suis plus que satisfait, ma critique et celle des autres est alors très positive, et quand je dis très positive, c'est que j'en pleure même après l'adolescence, non je blague là :D. C'est pour cela que je ne vois pas l'intérêt de suivre de cours intensifs (mon oncle en donne), car je vais perdre la liberté et l'intimité que je cherche avant tout, en endoctrinant mon style.
Et quand j'ai remarqué que je fais de mieux en mieux quand personne ne me lise, j'ai orienté toute mon énergie pour ce loisir personnelle, car l'intention compte aussi.
J'espère que j'aurais vaincu cette pusillanimité un jour, pour partager avec vous de meilleures productions. Mais je mens là je ne l'espère pas.

c'est dommage pour nous ....:pleurs: tes textes sont très pertinents et ne manque pas d’intérêt pourtant....:cool:
je me souviens avoir pris quelques cours de littérature appliquée et j'ai adoré ça!
j'avais un professeur exceptionnel ....ça y fait aussi ...:love:
 
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