Reuters
John Adams, président des Etats Unis il y a très longtemps, n'était pas prévu dans le castin, mais c'est lui à travers une citation qui a été la vedette surprise de la 'Nuit de l'horreur' bruxelloise' sur Twitter: "Il y a deux façons de conquérir une nation et de la réduire en esclavage. Une façon est par l'épée, l'autre est par la dette".
Marc Mentre sur Mediatrend a réalisé une compilation des caricatures à l'humour "très très noir" qui ont déferlé sur Twitter. Nous ne verrons plus jamais le côté Maman de Mme Merkel. Elle est définitivement passée du côté des sorcières. Le blogueur français est lui-même sombre: "Bon ce soir on peut dire que Varoufakis a - avait - raison : l'euro est une prison (un système de taux de change fixe) dont il n'est pas possible de s'évader, à moins d'en payer un prix exorbitant (exemple grec). Bienheureux ceux qui ne sont pas dans l'euro. (et donc malheur à nous)"
A qui le tour ?
L'Italie qui tweete, en particulier, est consternée. Parce qu'elle croule elle aussi sous les dettes. Alessandro Rossanio fait un bilan très pessimiste. Pour lui, la Grèce est 'un rat de laboratoire" sur lequel seront testées les futures amputations et tortures économiques qui peuvent s'abattre sur son pays, et d'autres. La fracture Nord-Sud de l'Europe s'est visiblement creusée, cette nuit-là. La passivité de certains membres européens d'Europe du Nord, ou leur 'sauvagerie' financière, les Sudistes n'en peuvent plus.
John Adams, président des Etats Unis il y a très longtemps, n'était pas prévu dans le castin, mais c'est lui à travers une citation qui a été la vedette surprise de la 'Nuit de l'horreur' bruxelloise' sur Twitter: "Il y a deux façons de conquérir une nation et de la réduire en esclavage. Une façon est par l'épée, l'autre est par la dette".
Marc Mentre sur Mediatrend a réalisé une compilation des caricatures à l'humour "très très noir" qui ont déferlé sur Twitter. Nous ne verrons plus jamais le côté Maman de Mme Merkel. Elle est définitivement passée du côté des sorcières. Le blogueur français est lui-même sombre: "Bon ce soir on peut dire que Varoufakis a - avait - raison : l'euro est une prison (un système de taux de change fixe) dont il n'est pas possible de s'évader, à moins d'en payer un prix exorbitant (exemple grec). Bienheureux ceux qui ne sont pas dans l'euro. (et donc malheur à nous)"
A qui le tour ?
L'Italie qui tweete, en particulier, est consternée. Parce qu'elle croule elle aussi sous les dettes. Alessandro Rossanio fait un bilan très pessimiste. Pour lui, la Grèce est 'un rat de laboratoire" sur lequel seront testées les futures amputations et tortures économiques qui peuvent s'abattre sur son pays, et d'autres. La fracture Nord-Sud de l'Europe s'est visiblement creusée, cette nuit-là. La passivité de certains membres européens d'Europe du Nord, ou leur 'sauvagerie' financière, les Sudistes n'en peuvent plus.