Je viens de parcourir le document, assez vite ta question, est posée dans le second chapitre avec une bonne dose de mauvaise foi, et une analogie comme quoi les athées veulent déplacer le soleil et la lune, tien donc !
En résumé la réponse du musulman est Dieu sait mais ne force pas la production de tes actions. (ensuite il se lance dans un texte ni queue ni tête sur le soleil qui le crée comment il se lève à l'est, un petit rappel moral etc...)
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La question est légitime malgré la caricature qui en est faite à dessein. Il y a un point que le musulman (dans ce texte) omet, c'est que à la question, ai-je le choix de mon milieu social ? ai-je le choix de ma condition physique ? ai-je le choix de ma psychologie ? ....etc. Pour que je sois châtié pour mes actions de la même manière que les autres.
Exemple simple (extrême aussi), une personne handicapée, avec un physique disgracieux, des difficultés à communiquer et des problèmes de motricité, cette personne est musulmane accessoirement puceau (pucelle) à 30 ans (par conviction religieuse), arrive un point où elle cède à ses envies va voir une catin ou un gigolo et passe une bonne nuit à l'hôtel. Pourquoi le châtiment que "recevra" cette personne est similaire à celui que d'autres personnes plus privilégié que lui (elle).
ça veut dire que fondamentalement le châtiment est inique puisque qu'il est totalitaire et s'applique à tous de la même manière, alors même que tous nous ne sommes dans les mêmes conditions de vies.
une personne avec un million d'euros en vertu d'un héritage, qui fait des actions caritatives avec et de la zakat, relativement agréable physiquement marié depuis ses 25 ans, et qui n'a jamais eu de rapport hors mariage. puisque le péché traité ici est la fornication.
Celle-ci est théoriquement acceptable au paradis. Alors que la première est théoriquement une fornicatrice (fornicateur) qui si elle reproduit son acte n'est pas acceptable au paradis. (sauf ceci et cela....etc)
Il y a une injustice manifeste ici dans les principes édictés par le surnommé "JUSTE", que le musulman (dans le texte) fait mine de ne pas comprendre.