Menu
Accueil
Forums
Liste des forums
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Liste des forums
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Actualités françaises
"DRAPEAU SATANISTE" ET IMAM EXPULSÉ : LE DESSOUS D'UNE FAKE NEWS SIGNÉE BFMTV ET DARMANIN
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="Quovadis, post: 18144782, member: 404518"] Ce qui se passe en France de la part du pouvoir dépasse le cas de cet imam. Non seulement le pouvoir ne fait rien contre les actes islamophobes qui se multiplient mais en plus il alimente l'islamophobie en la banalisant dans les discours politiques et les medias. ***************************************************************************************************************************************** Le gouvernement a déjà, pour les même motifs, dissous l’association humanitaire musulmane Baraka City, le Collectif Contre l’Islamophobie en France (CCIF) [B]qui selon l’Union Juive Française pour la Paix (UJFP) est « une organisation antiraciste efficace qui faisait appliquer la loi antiraciste française »[/B]. [B]En plus de ces associations, la Ligue de Défense Noire Africaine (LDNA). Jamais de condamnation Dans un communiqué publié le 22 octobre, l’UJFP explique que « le CCIF était son partenaire dans la Plateforme antiraciste luttant, avec la BAN, le CRAN et La Voix des Rroms, contre le racisme sous toutes ses formes ». Mais avant tout, ce qui préoccupe l’association juive c’est que « ces associations n’ont jamais donné lieu à une inculpation de leurs militants par la Justice ». D’ailleurs, « aucune de leurs actions n’a jamais fait l’objet d’une condamnation » Pour les activistes des Droits de l’Homme, toutes ces dissolutions font craindre une « dérive autoritaire ». Les mises en garde des organisation internationales comme Amnesty International, Human Rights Watch ou encore la Ligue des Droits de l’Homme n’y changent rien. Pire encore, « la France d’Emmanuel Macron présente toutes les caractéristiques d’un pays qui connaît une imprégnation néofasciste », selon Philippe Marlière, professeur de sciences politiques à la University College de Londres. « À la suite des attentats terroristes islamistes, le discours islamophobe et la répression antimusulmane ont été normalisés au sein même du gouvernement comme la dissolution du Collectif contre l’islamophobie en France sur des bases juridiques non établies. Le contrôle du corps des femmes racisées redouble, plus de 30 ans après les premières interdictions du port du hijab dans les écoles », observe encore le professeur. De plus, comme dans les cas précédents, le décret de la dissolution du CRI indique que la Coordination « œuvre à cultiver le soupçon de l’islamophobie au sein de la société française ». Ainsi, selon l’association juive, « exprimer l’opinion que notre système politique crée de l’islamophobie est considéré comme un appel à la haine raciste ». De facto, un délit d’opinion est alors créé tacitement. De même, le gouvernement avait accusé toutes ces associations musulmanes de « complicité de terrorisme ». Pourtant, lors d’un avis, le Conseil d’État a balayé la complicité inventée avec le terrorisme et rejeté le lien indiqué par Darmanin d’une implication dans l’assassinat de Samuel Paty. En revanche, comme le rappelle l’UJFP, « le Conseil a aussi repris cette antienne de « l’incitation à la haine ». En prenant acte de cette décision, l’association juive qui combat toutes les formes de racismes craint « que si dénoncer le racisme, c’est inciter à la haine alors tout le mouvement antiraciste est dans le collimateur ». Ce constat est partagé à peu près par une grande partie des mouvements antiracistes. [COLOR=rgb(184, 49, 47)]Mais l’UJFP va beaucoup plus dans son analyse et estime que « pour le pouvoir macronien, qui s’inspire largement des idéologies racistes de l’extrême droite, les musulmans seraient potentiellement en rupture avec l’ensemble de la société française ». [/COLOR] D’après l’association, le gouvernement a réussi « à inverser cause et conséquence ». Ainsi, l’association n’hésite pas à mettre le gouvernement face à ses contradictions « et son séparatisme qui met en danger le vivre-ensemble ».[/B] [B]A qui le tour ? Il faut dire que de plus en plus d’associations musulmanes, respectant scrupuleusement les lois, craignent d’être visées injustement. Car « l’argumentation pernicieuse utilisée, d’un « écosystème » du terrorisme [COLOR=rgb(184, 49, 47)]permet, par amalgame, de considérer que tout ce qui en appelle aux musulmans pour lutter contre les discriminations fait le lit du terrorisme », estime l’UJFP. [/COLOR] « Ces amalgames sont redoutables et peuvent viser toutes les organisations progressistes, et vise déjà à travers de nombreuses mosquées, la liberté de culte », estime d’ailleurs l’association. .[/B] [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Actualités françaises
"DRAPEAU SATANISTE" ET IMAM EXPULSÉ : LE DESSOUS D'UNE FAKE NEWS SIGNÉE BFMTV ET DARMANIN
Haut