«en classe, on voudrait des petits blonds avec nos enfants»

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Je suis d'accord en partie mais les écoles restent pourries a cause du programme, je regarde certains programmes c'est hallucinant, ils ne font plus de grammaire juste des textes pour soi-disant découvrir par eux-memes, du coup ils n'ont même plus de raisonnement structuré j'ai l'impression, ils ont que des exemples en tête, aucune théorie générale, le privé est préserve de cette dérive. , […]
Parfois je me demande à quoi ressemble les cours maintenant. Il y a le réflexe « c’était mieux avant », mais je lis tellement souvent qu’il y a un problème avec les programmes, que je me demande à quoi ils ressemblent maintenant.

En tous cas ce qui est sûr, c’est qu’une catastrophe nommée « Méthode Globale » s’est produite. Pour le reste, je n’ai pas d’idées de ce qu’il en est.
 
Wé, et le chômage, c’est la faute aux fainéants, parce que c’est bien connu pourtant que quand tu travail bien à l’école, tu as une bonne place dans la société :rolleyes:.
Logiquement :
http://www.letudiant.fr/educpros/en...diplomes-d-universite-resiste-a-la-crise.html

Sinon dans les métiers techniques, tu as des belles opportunités d'emploi ..
les secteurs qui garantissent l'emploi :
http://www.france-examen.com/diplomes-emploi-orientation-2010-19919.html

En tant que personne d'origine étrangère, tu peux par contre être sujet à la discrimination à l'embauche. Je ne le nie pas.
 
A

AncienBladinaute

Non connecté
Mobilisées depuis trois mois à Montpellier, des mères d’élèves d’origine marocaine dénoncent une ghettoïsation scolaire. Et commencent à être entendues par les autorités.

«Non au ghetto, oui à la mixité.» Tracé sur un grand drap bleu accroché aux grilles de l’école élémentaire Joseph-Delteil, le message est immanquable. Le long de l’établissement s’étirent d’autres slogans : «L’avenir pour nos enfants», «Pas de fatalité». Les tissus se trouent, les lettres s’effacent, mais les revendications restent. Au Petit Bard, un quartier populaire d’environ 6 000 habitants situé dans le nord-ouest de Montpellier (Hérault), les mères d’enfants scolarisés dans deux maternelles et deux écoles primaires (classées en Réseau d’éducation prioritaire renforcé) se battent depuis trois mois pour obtenir davantage de mixité. «Ces quatre écoles réunissent environ 600 enfants, tous d’origine marocaine, à l’image de la population du Petit Bard, presque exclusivement originaire du Maroc, témoigne Safia, l’une des mères engagées dans ce combat. Valls avait dénoncé l’apartheid social : alors on a saisi cette perche et on ne la lâchera plus. On veut que nos enfants, citoyens français, soient considérés et éduqués comme les autres. Comment voulez-vous qu’ils se sentent Français alors qu’ils grandissent exclusivement entre eux ? On aimerait bien que, sur les photos de classe, il y ait des petits blonds ou des petits roux assis à côté d’eux.»

Safia, Fatima, Malika, Haïcha ou Khadéja parlent d’une seule voix. Aucune ne revendique de leadership. Engagées dans une même lutte, témoignant d’un parcours similaire : nées au Maroc, mariées, mères au foyer, musulmanes pratiquantes, voilées. Certaines ont travaillé avant de se consacrer à leurs enfants, comme Fatima, «quatorze ans d’expérience dans le ménage». D’autres ont suivi des études secondaires, à l’instar d’Haïcha : «J’étais en comptabilité. Quand mes deux enfants seront plus âgés, je chercherai du travail. Mais je n’ai pas trop envie qu’ils grandissent ici.» La plupart de ces femmes vivent depuis leur enfance au Petit Bard, arrivées gamines au bras de leurs parents. «Avant, c’était mieux, raconte Khadéja. Il y avait une église, un boulanger, un tabac-presse… Des Asiatiques, des Africains, des Français, d’autres gens vivaient ici. Les instituteurs habitaient le quartier. Et puis ces gens-là ont déménagé : on n’a pas fait attention mais, peu à peu, il n’y avait plus que des Marocains. Notre génération a connu la mixité à l’école, pas nos enfants.»

Terrain miné
http://www.liberation.fr/societe/20...it-des-petits-blonds-avec-nos-enfants_1322454
pour ensuite les traiter de racistes à la récré? ...
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Concentrer entre eux dans des classes spécialisées voir des petites structures à part, et oui entre eux... jusqu'à 16 ans, après ils se démerdent.
Au moins ils ne gêneront personne et n’entraîneront pas tout une classe dans leur échec.
Je serais plutôt favorable à une dispersion.

La concentration de gens qui ont des problèmes, ça cultive les problèmes. On le voit avec les prisons, qui sont devenue des centres d’affaires où se négocient les futurs contrats et accords entre voyous.

Après 16, c’est mieux qu’ils continuent un peu l’école encore quand‑même.
 
Tant que l'immigré sera pauvre,il peut toujours rêver d'avoir des petits blonds dans sa classe.Moi j'ai grandit avec des blonds,des kippas,quelques reubeus et quelques renois hyper friqués et on s'entendaient tous très bien pour une raison simple nous étions tous du meme moule social avec les memes codes etc (d'ailleurs je trouve les classes aisées bien plus tolérantes ,expérience vécue)

Moi meme tout bronzé que je suis ,je n'aurai jamais l'idée d'aller vivre dans un quartier populaire ,car tout simplement à quelques exceptions près (rap ,foot)ont aura rien à se raconter.Tout comme je n'ai rien à raconter à un white trash bien blond.

Moi je pense que cette question est plus sociale que raciale.
 
Bien entendu il ne faut pas compter sur les autorités, il n'ont aucun intérêt à voir des lycées qui forment des élites musulmanes,
ils ont un intérêt certains à ce que la communauté restent dans ses mosquées, dans ses quartiers enfermés et servir de bouc emissaire dés que l'occasion peut se présenter.

Je ne pense pas que les autorités aient intérêt à laisser les communautés dans leurs mosquées comme tu dis, à part quelques bas du front du FN et encore. Car bon, avoir un bouc émissaire sous la main, c'est pas pratique pour tout ni tout le temps. En revanche, avoir une population qui travaille, gagne de l'argent et donc consomme et paye taxes et impôts, ça c'est intéressant pour les autorités.

L'école n'est que l'un des maillons (mais essentiel), l'accès à l'emploi - et pas des emplois au rabais - est aussi un enjeu primordial. Mais là, j'ai pas trop de solutions, à part éventuellement améliorer la mixité sociale et professionnelle du Medef que le chômage endémique arrange bien et qui se félicite en ce moment de la limitation des indemnités aux Prud'hommes des petites gens quand chaque semaine, on apprend qu'un patron vient de toucher un nouveau bonus mirobolant, une retraite chapeau, une prime de départ alors qu'il a plombé sa boîte...

Ajoute à ça que l’école ne sert plus à rien (emploi au faciès, chômage systémique, etc).

Ce n'est pas que "au faciès". Dans ma boîte (2000 salariés), on est de toutes les couleurs et de toutes les origines possibles et imaginables. En revanche, quand j'ai commencé ma carrière en 2000, j'ai eu un salaire de 1700€ brut. Aujourd'hui, ceux qui arrivent avec les mêmes compétences et le même job sont à 1200€ max (edit : et deux ans de CDD^^)... La crise a bon dos : ces 8 dernières années, ma boîte a racheté tous ses concurrents (du coup, y'a plus de sous pour les augmentations, il paraît).
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Tant que l'immigré sera pauvre,il peut toujours rêver d'avoir des petits blonds dans sa classe.Moi j'ai grandit avec des blonds,des kippas,quelques reubeus et quelques renois hyper friqués et on s'entendaient tous très bien pour une raison simple nous étions tous du meme moule social avec les memes codes etc (d'ailleurs je trouve les classes aisées bien plus tolérantes ,expérience vécue)

[…]
« Des codes », comme tu dis. Autant parler de différence ethnique, c’est kifkif.

Tu les trouve plus tolérantes les classes sociales riches ? Qu’est‑ce qui te fais dire ça ?
 

ELMORITANI

Aka tonystark
VIB
Mobilisées depuis trois mois à Montpellier, des mères d’élèves d’origine marocaine dénoncent une ghettoïsation scolaire. Et commencent à être entendues par les autorités.

«Non au ghetto, oui à la mixité.» Tracé sur un grand drap bleu accroché aux grilles de l’école élémentaire Joseph-Delteil, le message est immanquable. Le long de l’établissement s’étirent d’autres slogans : «L’avenir pour nos enfants», «Pas de fatalité». Les tissus se trouent, les lettres s’effacent, mais les revendications restent. Au Petit Bard, un quartier populaire d’environ 6 000 habitants situé dans le nord-ouest de Montpellier (Hérault), les mères d’enfants scolarisés dans deux maternelles et deux écoles primaires (classées en Réseau d’éducation prioritaire renforcé) se battent depuis trois mois pour obtenir davantage de mixité. «Ces quatre écoles réunissent environ 600 enfants, tous d’origine marocaine, à l’image de la population du Petit Bard, presque exclusivement originaire du Maroc, témoigne Safia, l’une des mères engagées dans ce combat. Valls avait dénoncé l’apartheid social : alors on a saisi cette perche et on ne la lâchera plus. On veut que nos enfants, citoyens français, soient considérés et éduqués comme les autres. Comment voulez-vous qu’ils se sentent Français alors qu’ils grandissent exclusivement entre eux ? On aimerait bien que, sur les photos de classe, il y ait des petits blonds ou des petits roux assis à côté d’eux.»

Safia, Fatima, Malika, Haïcha ou Khadéja parlent d’une seule voix. Aucune ne revendique de leadership. Engagées dans une même lutte, témoignant d’un parcours similaire : nées au Maroc, mariées, mères au foyer, musulmanes pratiquantes, voilées. Certaines ont travaillé avant de se consacrer à leurs enfants, comme Fatima, «quatorze ans d’expérience dans le ménage». D’autres ont suivi des études secondaires, à l’instar d’Haïcha : «J’étais en comptabilité. Quand mes deux enfants seront plus âgés, je chercherai du travail. Mais je n’ai pas trop envie qu’ils grandissent ici.» La plupart de ces femmes vivent depuis leur enfance au Petit Bard, arrivées gamines au bras de leurs parents. «Avant, c’était mieux, raconte Khadéja. Il y avait une église, un boulanger, un tabac-presse… Des Asiatiques, des Africains, des Français, d’autres gens vivaient ici. Les instituteurs habitaient le quartier. Et puis ces gens-là ont déménagé : on n’a pas fait attention mais, peu à peu, il n’y avait plus que des Marocains. Notre génération a connu la mixité à l’école, pas nos enfants.»

Terrain miné
http://www.liberation.fr/societe/20...it-des-petits-blonds-avec-nos-enfants_1322454


C'est vrai que être qu'entre "bouffeurs de semoule" et. "Bouffeurs de maffé" Ca doit pas être folichon, mais pourquoi le " bouffeur de saucisson" s'est fait la malle?? Pourquoi il vous a laissé le quartier??
 
C'est marrant mais chassez le naturel , il reviendira au galop.

Votre culture, vos traditions et votre religion sont anti-civilisationnel !

Pour vivre en société avec des personnes civilisées faut être civilisé soi même et ne pas chercher comme dans le cas de ce quartier des personnes civilisées à placer en captivité comme des animaux exotique juste pour le décors.

Imaginer ce quartier à l'échelle d'un pays , en clair même civilisé, les pays arabe sont un enfer culturel .

Donc le problème est plus profond et demande un effort monstrueux à ces familles, celle de rejeter leur culture folklorique et entre une bonne fois pour toute dans la civilisation...
 
C'est marrant mais chassez le naturel , il reviendira au galop.

Votre culture, vos traditions et votre religion sont anti-civilisationnel !

Pour vivre en société avec des personnes civilisées faut être civilisé soi même et ne pas chercher comme dans le cas de ce quartier des personnes civilisées à placer en captivité comme des animaux exotique juste pour le décors.

Imaginer ce quartier à l'échelle d'un pays , en clair même civilisé, les pays arabe sont un enfer culturel .

Donc le problème est plus profond et demande un effort monstrueux à ces familles, celle de rejeter leur culture folklorique et entre une bonne fois pour toute dans la civilisation...
Un enfer culturel ?
 
C'est marrant mais chassez le naturel , il reviendira au galop.

Votre culture, vos traditions et votre religion sont anti-civilisationnel !

Pour vivre en société avec des personnes civilisées faut être civilisé soi même et ne pas chercher comme dans le cas de ce quartier des personnes civilisées à placer en captivité comme des animaux exotique juste pour le décors.

Imaginer ce quartier à l'échelle d'un pays , en clair même civilisé, les pays arabe sont un enfer culturel .

Donc le problème est plus profond et demande un effort monstrueux à ces familles, celle de rejeter leur culture folklorique et entre une bonne fois pour toute dans la civilisation...
J'aime bien quand tu te fais des amis sur Bladi :joueur:
 
Un enfer culturel ?

Ben oui, c'est le folklore et l'ignorance qui y sont majoritaire et qui remplace la vrai culture.

Sinon si la femme du quartier voulait un petit blanc ou un petit rouquin, elle n'avait qu'a se trouver un mari blond ou roux même s'il n'est pas marocain !
Mais ça implique aussi et surtout qu'elle ne veut surtout pas se mélanger et donc au final elle devrait être contente de se retrouver qu'avec des personnes mariable entre eux ...
 
Sinon si la femme du quartier voulait un petit blanc ou un petit rouquin, elle n'avait qu'a se trouver un mari blond ou roux même s'il n'est pas marocain !
Mais ça implique aussi et surtout qu'elle ne veut surtout pas se mélanger et donc au final elle devrait être contente de se retrouver qu'avec des personnes mariable entre eux ...
Elles se plaignent de classes ghettos comme certains quartiers qui sont devenus avec la complicité des gouv collabos comme
celui d'à présent . Rappelle moi en quelle année le dernier bidonville a fermé en France ?
Si tu mets trop de sel ou trop de sucre dans un verre disons rempli à moitié qu'est ce qui se passe ?
 
Elles se plaignent de classes ghettos comme certains quartiers qui sont devenus avec la complicité des gouv collabos comme
celui d'à présent . Rappelle moi en quelle année le dernier bidonville a fermé en France ?
Si tu mets trop de sel ou trop de sucre dans un verre disons rempli à moitié qu'est ce qui se passe ?

si leur enfants étaient bien éduqués, il n'y aurait pas de problème ... ils ont la chance de vivre en france, alors que leur parent fassent tout pour mettre la science au dessus de tout et faire de cette école une référence de brillance à l'étude !

ensuite tout le monde voudra passer par cette école ...

c'est comme ça que ça se passe, ils doivent faire leur preuve maintenant qu'ils n'ont plus où se cacher ...

une même cité habité par des personnes civilisé ou par des personnes non civilisé c'est 2 monde différent !

les civilisés chercheront à amélioré leur cadre de vie, les non civilisés chercheront à tout dégrader ...
 

fracasse

Vous êtes né un original Ne devenez pas une copie
On aimerait bien qu'il y ait des petits blonds ou des petits roux assis à côté d’eux.»

Safia, Fatima, Malika, Haïcha ou Khadéja parlent d’une seule voix. Aucune ne revendique de leadership. Engagées dans une même lutte, témoignant d’un parcours similaire : nées au Maroc, mariées, mères au foyer, musulmanes pratiquantes, voilées. Certaines ont travaillé avant de se consacrer à leurs enfants, comme Fatima, «quatorze ans d’expérience dans le ménage». D’autres ont suivi des études secondaires, à l’instar d’Haïcha : «J’étais en comptabilité. Quand mes deux enfants seront plus âgés, je chercherai du travail. Mais je n’ai pas trop envie qu’ils grandissent ici.» La plupart de ces femmes vivent depuis leur enfance au Petit Bard, arrivées gamines au bras de leurs parents. «Avant, c’était mieux, raconte Khadéja. Il y avait une église, un boulanger, un tabac-presse… Des Asiatiques, des Africains, des Français, d’autres gens vivaient ici. Les instituteurs habitaient le quartier. Et puis ces gens-là ont déménagé : on n’a pas fait attention mais, peu à peu, il n’y avait plus que des Marocains. Notre génération a connu la mixité à l’école, pas nos enfants.»

Terrain miné
http://www.liberation.fr/societe/20...it-des-petits-blonds-avec-nos-enfants_1322454

Moi aussi j'aimerais bien une petite blonde ou une petite rousse a mes côtés ,mais dans la vie on peut pas tout avoir :D
 
si leur enfants étaient bien éduqués, il n'y aurait pas de problème ... ils ont la chance de vivre en france, alors que leur parent fassent tout pour mettre la science au dessus de tout et faire de cette école une référence de brillance à l'étude !

ensuite tout le monde voudra passer par cette école ...

c'est comme ça que ça se passe, ils doivent faire leur preuve maintenant qu'ils n'ont plus où se cacher ...

une même cité habité par des personnes civilisé ou par des personnes non civilisé c'est 2 monde différent !

les civilisés chercheront à amélioré leur cadre de vie, les non civilisés chercheront à tout dégrader ...
C'est ce que certaines familles tentent de faire sois plus indulgent et ne regarde pas seulement l'instruction .
Le savoir n'entraine pas forcément une bonne tenue .
 
C'est ce que certaines familles tentent de faire sois plus indulgent et ne regarde pas seulement l'instruction .
Le savoir n'entraine pas forcément une bonne tenue .

ce qu'ils recherchent c'est justement le savoir vivre ! mais le soucis c'est qu'ils veulent garder leur folklore en pensant qu'il est possible d'avoir les deux en même temps ...

tant qu'ils ne comprennent pas ça, ils se stigmatiseront tout seuls en toute conscience ...
 
« Des codes », comme tu dis. Autant parler de différence ethnique, c’est kifkif.

Tu les trouve plus tolérantes les classes sociales riches ? Qu’est‑ce qui te fais dire ça ?
J'ai longtemps vécu dans ce genre environnement et je n'ai jamais été victime de racisme que du contraire.C'est aussi simple que ça ,quand tu décides d'aller vivre dans un endroit chic ,inconsciemment ils se disent que t'es comme eux et si en plus t'as les codes t'es directement accepté (le grossiste de tess aura beaucoup de mal à vivre à Neuilly malgré son oseille).A contrario quand j'ai commencé à vivre seul et donc ou dans la middle class ou dans les quartiers de babtous ,j'ai souvent eu le sentiment clair d'etre rejeté ou assimilé de facto à ce que je ne suis pas,uniquement parce que je ne suis pas tout à fait comme eux et que je ressemble beaucoup plus à l’infâme racaille/ daeshisé /rappeur qu'ils connaissent uniquement à travers Tf1 et ses émissions ciblées.

Je peux parle ici d’expérience perso,ce qui vaut ce que ça vaut...
 
c'est exactement une question de code, ou tu l'a ou tu ne l'a pas, c'est comme celui de la route , celui qui n'a pas son code , ça se voit direct et on lui interdit de rouler, tans qu'il ne passe pas son code !
 
Haut