Et pourquoi ne pas supprimer les syndicats en france

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
tiens un petit message pour dire que mes prud'hommes ont eu lieu aujourd'hui , deux salarié ont concilié a 2500 € par tète net d'impots, et le troisième ira en jugement ...

inutile les syndicats ?

surement pas.............................;)
les 2500 € sont des dommages et intérêts donc ?

mais comme dit plus haut, le % de syndiqués en france est bas
alors que ce serait le moment de leur donner + de poids
à condition de les restructurer .......................

mam
 
A

AncienMembre

Non connecté
Les syndicats sont à l'image de nos politiques...une partie d'entre eux sabrent l'image et le travail de tant d'autres. Je déteste les dogmatiques, ceux qui quel que ce soit le sujet sont contre...et je rends hommage à celles et ceux qui exercent leur(s) mandat(s) avec conviction et volonté de faire avancer les choses ..la présence du syndicalisme, du contre pouvoir est saine même pour l'entreprise - aucune entreprise quelle qu'elle soit ne peut fédérer ses ressources humaines autour d'un projet sans que ces salariés ne soient associés à travers leurs IRP à la réflexion et au déploiement des grands projets..
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
tiens un petit message pour dire que mes prud'hommes ont eu lieu aujourd'hui , deux salarié ont concilié a 2500 € par tète net d'impots, et le troisième ira en jugement ...

inutile les syndicats ?
Les prud’homme et les syndicats, sont deux choses différentes.

Tiens, comme tu introduit les prud’homme, on pourrait d’ailleurs aussi parler des avocats douteux (ceux qui « défendent » les employés).
 

Hibou57

Comme-même (tm)
VIB
Les syndicats sont à l'image de nos politiques...une partie d'entre eux sabrent l'image et le travail de tant d'autres.
Comme toujours, il y a le phénomène et il y a la mesure du phénomène : quelle est la mesure de ceux qui sabrent et quelle est la mesure de ceux qui sont dignes de confiance (et pas seulement pour l’image) ?
 
A

AncienMembre

Non connecté
Comme toujours, il y a le phénomène et il y a la mesure du phénomène : quelle est la mesure de ceux qui sabrent et quelle est la mesure de ceux qui sont dignes de confiance (et pas seulement pour l’image) ?
Peu importe de savoir dans quelle proportion on retrouve l'une ou l'autre des parties. On ne peut pas mesurer ce phénomène, aucun indicateur ne le permet. C'est un peu comme si on te demandait de donner le taux de fainéants ds la la masse des fonctionnaires. Le fait est que le syndicalisme est une forme de contre-pouvoir saine et indispensable dans une société évoluée. Si les salariés s'intéressaient de plus près aux instances mises en place par le législateur dans l'entreprise, s'ils avaient un degré d'exigence, ils seraient bien ou mieux représentés.
 

ghost99

la totalité du temps se situe dans le présent
en 2019 la France va devoir ouvrir le transport voyageur sur rail à la concurence des entreprises privée, françaises ou autre.
la SNCF s'est faite atomisée par l'ouverture à la concurence du fret, alors le resultat pour le transport voyageur est couru d'avance, surtout avec les syndicat qui ne veulent faire aucun changement


elle garde quand même un gros avantage par rapport aux autres , les sillons appartiennent à RFF et il faut vraiment transpirer pour avoir le droit d'utiliser leur réseau

http://www.rff.fr/fr/services-et-produits/notre-produit-le-sillon/les-sillons
 

farid_h

<defunct>
Contributeur
La France reste un des pays les moins syndiqué !

En Allemagne, les syndicats ont beaucoup plus d'influence que les syndicats en France. Mais ils ont une culture de greve differente: ils sont beaucoup plus disciplines que leurs collegues francais qui eux sont reputes pour leurs "greves folles" (wilde Streiks) qui destabilisent l'economie.

Mais en general, les syndicats sont importants pour une economie balancee. Regardes le mauvais example du Royaume Uni, qui s'est entierement desindustrialise apres que les syndicats ont mit a genoux l'industrie, et Maggie Thatcher a mit a genoux les syndicats. Ce qui en est reste est une terre brulee.
 

kolargool

schtroumpf CoCo
VIB
Un stage de 6 mois en tant que syndicaliste devrait etre imposé aux salariés pour voir un peu ce que c'est réellement....

Beaucoup se plaignent de leurs syndicalistes mais aucun ne veut se mouiller et changer le monde comme ils le pensent.

Ils préfèrent critiquer...

Dans ma boite je suis pret demain a laisser mes mandats et mes heures....

Comme l'a rappelé billi , le remplaçant à intérêt à avoir une épouse compréhensive, les reins solides, de la repartie et des heures libres...
 

kolargool

schtroumpf CoCo
VIB
Aux professionnels de l’information

Mesdames, Messieurs,



Un mouvement social très fortement médiatisé a eu lieu à la SNCF en ce mois de juin 2014. Cette action de grève reconductible a subi une couverture journalistique par l’ensemble des organes de presse qui me conduise très modestement à vous faire cette adresse qui sera ouverte à la population cheminote.

Nous avons eu l’impression que cette grève surprenait tout le monde. Je me dois donc de rappeler un processus. Depuis novembre 2011, les syndicats de notre Fédération ont lancé, sur l’ensemble du territoire, des « Etats Généraux du Service Public SNCF ». Ces initiatives qui ont associé les usagers, les élus locaux, les directions territoriales de la SNCF et de RFF ont reçu un accueil intéressant des presses locales. Cet engagement militant a permis de faire émerger la nécessité d’une réforme de notre système ferroviaire public pour répondre aux besoins de la Nation sur les plans économique, social et environnemental.

Lorsque le gouvernement Ayrault fut mis en place au printemps 2012, les organisations syndicales ont interpelé unitairement le nouveau Ministre Délégué aux Transports. Ce dernier a profité de la célébration des 75 ans de la SNCF, en octobre 2012, pour faire un discours volontariste préfigurant la construction d’une réforme allant dans le sens de nos attentes. La CGT a donné une appréciation positive de ce discours, avec un bémol, les questions de la dette et du financement du réseau n’étaient pas abordées et il était très orienté transport de voyageurs alors que le report modal du transport de marchandises de la route vers des modes alternatifs et plus propres dans le cadre d’un service d’intérêt général aurait dû trouver une place importante au regard des enjeux.

Le gouvernement a ensuite engagé un travail d’élaboration d’un projet de loi sous la responsabilité d’un ancien Ministre, Jean-Louis Bianco. La CGT, comme les autres organisationssyndicales, s’est impliquée dans ce travail. La CGT a même bâti un projet complet, « la voie duservice public SNCF », intégrant quatre volets : la structuration, le traitement financier de laréforme, les questions sociales et le fret, tout en prenant garde d’être en conformité avec laréglementation française et européenne, ce qui lui donnait toute légitimité dans le débat.

Lorsque les grandes lignes du projet de loi gouvernemental furent connues, les quatre organisationssyndicales représentatives à la SNCF ont fait valoir la déception et le mécontentement descheminots par une action de grève le 13 juin 2013. En effet, nous étions très éloignés desannonces faites un an plus tôt. Cette action fut très suivie et déjà la Direction de la SNCF publiaitdes chiffres de grévistes erronés (34%) alors que plus d’un cheminot sur deux avait cessé letravail.



Le projet de loi fut présenté en conseil des Ministres en octobre 2013. La CFDT, sur des choix politiques qui lui appartiennent, a décidé de sortir de l’unité syndicale. Malgré cela, le 12 décembre 2013, les cheminots étaient une nouvelle fois en grève à l’appel des 3 autres organisations syndicales avec un niveau de participation égal à celui du 13 juin.

C’est à partir de là qu’une plateforme unitaire CGT, UNSA, SUD-Rail fut construite pour porter les exigences des cheminots. L’ensemble des parties prenantes avait connaissance de cette plateforme revendicative.

Le Gouvernement, soucieux de la montée du mécontentement, a reporté à plusieurs reprises l’inscription de ce projet de loi dans l’agenda parlementaire. Puis il a été décidé de l’inscrire dans le cadre d’une procédure d’urgence au mois de juin 2014.

Les organisations syndicales partageant les propositions alternatives ont donc décidé d’une manifestation nationale le 22 mai 2014, et cette mobilisation, qui n’a pas pénalisé les usagers, fut présentée au gouvernement et la Direction de l’entreprise comme un dernier avertissement avant durcissement de l’action faute d’être entendus.

Plus de 20 000 manifestants à Paris le 22 mai 2014, chiffre jamais contesté, même par la Préfecture, sur une population de 155 000 salariés. C’est énorme, et pourtant, ce fut le black-out médiatique. Pas un mot n’est paru dans la majeure partie des médias sur cette mobilisation qui était pourtant précédée d’une conférence de presse.

Pourquoi ? Vous êtes les seuls à connaître la réponse à cette question. Par contre, nul ne pouvait être surpris de la grève qui a suivi.

Puis est venu le temps de l’action où la CGT et SUD-Rail furent lâchées par l’UNSA, déposantseule un préavis pour la semaine suivante. Qui s’est interrogé sur cette stratégie ? Personne àpriori.

A l’issue des négociations avec le Secrétaire d’Etat aux Transports, la CGT, qui a tenu toute
sa place dans les débats, a livré de façon transparente les propositions faites à ses syndiqués
et aux cheminots dans l’action. Au regard de l’écart considérable entre les propositions gouvernementales et le contenu de la plateforme unitaire, il était évident que ce document n’étaitpas de nature à satisfaire les cheminots en grève. Néanmoins, très peu de journalistes ne se sontdemandés pourquoi l’UNSA, cosignataire de la plateforme, se satisfaisait de ce texte.

Pourquoi aucun journaliste n’a signalé que le pacte dit de « modernisation » signé entre le gouvernement, la CFDT et l’UNSA n’avait aucune valeur ? Pourtant, il ne s’agissait pas d’un accord d’entreprise. Mais il ne s’agissait pas non plus d’un accord de fin de conflit puisque les signataires n’étaient pas dans l’appel à la grève.

A partir de ce moment-là, ce fut une déferlante médiatique où les grands organismes de presse
se sont désintéressés du fond de cette action pour entrer dans une campagne de stigmatisationet de diffamation envers les cheminots en grève et les organisations syndicales les représentant.
Pourquoi ?
 

kolargool

schtroumpf CoCo
VIB
Il est utile de rappeler quelques éléments de cette campagne

Nous avons entendu que 700 000 lycéens étaient en difficulté pour passer l’épreuve du bac. Savez-vous combien de candidats utilisent le train pour se rendre dans les centres d’examen ? A peine 8% selon les sources de l’éducation nationale.

Nous avons entendu et lu qu’à peine 14% (voire moins) des cheminots étaient en grève. Pourtant,
le trafic était fortement perturbé et sachez qu’à eux seuls, les contrôleurs et les conducteurs
représentent plus que 14% des effectifs, que les ateliers du matériel étaient quasiment tous en
grève, que de nombreux chantiers de l’équipement étaient arrêtés, que dans les gares ce sont
des agents d’encadrement venus d’autres services ou d’autres sites, et même de filiales de la
SNCF, qui assuraient l’accueil, la tenue des guichets et des postes d’aiguillages, etc.

Sachez aussi que les assemblées générales étaient plus conséquentes le lundi 19 juin que la semaine précédente et que la Direction de la SNCF a refusé de donner aux organisations syndicales les chiffres de grévistes, ce qui est une première. Comment se fait-il que des journalistes, des professionnels de l’information, aient relayé ces données ridiculement falsifiées de la Direction de la SNCF sans aucune vérification.

Vous avez communiqué des chiffres de pertes de la SNCF sur les seules annonces faites par
son Président, sans aucun contrôle sur ce sujet également, passant d’un jour à l’autre de 80
à 190 Millions d’Euros sans aucune explication. Si vous voulez faire du travail d’investigation,
renseignez-vous sur certaines gabegies financières qui ont lieu à la SNCF. L’association avec IBM
sur les systèmes d’information en lien avec le rachat de la logistique d’IBM par GEODIS (filiale de
la SNCF), le déménagement du siège de la SNCF à Saint Denis pour créer un campus comme
la DB et les locaux de Mouchotte vidés puis réoccupés par des services de la SNCF car non
vendus, pour ne citer que ces deux exemples, qui ont coûté énormément plus que la grève avec
la bénédiction de l’Etat, et surtout sans aucun commentaire journalistique.

Vous êtes allés jusqu’à citer les problèmes de certains agriculteurs ou industriels pour acheminer
leurs produits, alors que la SNCF les rejette tous les jours vers la route ou vers des opérateurs
privés et ses filiales (eux n’étaient pas en grève) pour se débarrasser de l’activité Fret dans l’EPIC
SNCF.

Mesdames, Messieurs, pourquoi, à partir du dimanche 15 juin avez-vous basculé à l’unisson dans
la désinformation et les attaques au niveau du caniveau pour salir l’image des cheminots inscrits
dans cette action de grève comme celle des organisations syndicales les représentant, et surtout
la CGT ?

Pourquoi vous êtes-vous lancés dans une campagne de ragots, de rumeurs et calomnies pour détourner le public du sujet de fond. Nous avons tout lu et entendu.

Des divergences seraient nées entre la CGT confédérale et la Fédération des Cheminots. Sur quelles bases pouvez-vous affirmer cela ? Aucune, si ce n’est l’interprétation ou la manipulation de propos sortis de leur contexte.

Vous avez prétendu que la Direction Fédérale serait dépassée par sa base ? Je peux vous affirmer que, pour un dirigeant de la CGT, voir et vérifier une telle cohésion avec les militants et les syndiqués est un vrai bonheur dont nul ne pourra me priver.

Certains d’entre vous sont même allés jusqu’à faire de la politique-fiction pour lancer quelques suspicions, essayant certainement de semer le trouble au sein de notre organisation. Mais sachez que lorsqu’on travaille de manière démocratique en associant l’ensemble du corps militant à l’information et aux décisions, rien ne peut nous ébranler.


Pourquoi avez-vous été si gentils avec les « bonnets rouges » qui ont réalisé des exactions importantes dans la quasi-indifférence alors que lorsque des cheminots faisaient brûler deux palettes sur un piquet de grève, ce non-évènement prenait des proportions incroyables ? L’Etat verse à ce jour 800 millions d’Euros par an au consortium Eco-Mouv alors que l’Eco Taxe Poids Lourds n’existe pas, et personne ne s’en offusque. Il faut dire que des grosses entreprises en profitent, comme la SNCF qui a des parts dans cette affaire.

Pourquoi ne pas dire, comme nous le réclamions, qu’il y aurait eu possibilité de retarder l’examen
du projet de loi et prolonger la discussion à partir de nos propositions ? Mais le gouvernement
a préféré différé l’examen d’une loi en cours sur la famille pour passer en urgence la loi portant
réforme du système ferroviaire. Aucun commentaire sur cette stratégie. Faisons, nous aussi,
de la politique fiction. Le Président de la République et son Premier Ministre préfèrent-ils
sanctionner les cheminots qui ont pourtant contribué à leur élection plutôt que d’affronter les
forces réactionnaires de ce pays contre le mariage pour tous, l’avortement, la PMA ou l’ABCD
de l’égalité ?

Mesdames, Messieurs, nous pouvons ne pas être d’accords et un dossier comme celui-ci mérite débats et controverses. Mais il est scandaleux de voir comment il a été traité. C’est la démocratie qui est en danger par de telles attitudes.

Le projet de loi gouvernemental vise à détruire un grand service public national en déstructurant une grande entreprise publique, c’est un élément qu’il fallait mettre en débat. Comme pour la réforme pénitentiaire en cours de discussion ou la réforme des rythmes scolaires avec ses conséquences sur le budget des municipalités pour les activités périscolaires, celle du système ferroviaire n’est pas financée et la France entière va en subir d’énormes préjudices, voilà un sujet qui méritait d’être porté à la réflexion.

Mesdames et Messieurs, ce sont des éléments que je tenais à vous soumettre à la sortie de cet
épisode social qui a marqué notre pays. Il est important de mesurer que, sans la mobilisation
des cheminots, cette loi structurante pour la France, aurait pu passer en catimini à l’Assemblée
Nationale et au Sénat. Nous avons au moins le mérite d’avoir fait en sorte que plus personne
n’ignore les faits.

Sachez que le vote de cette loi n’est qu’un début de notre combat, sa mise en œuvre et ses conséquences sociales et sociétales seront une autre phase. Les cheminots, avec la CGT et certainement d’autres organisations, seront toujours là pour combattre les choix politiques contraires à l’intérêt de la population et des salariés.

Je vous remercie d’avoir pris le temps de me lire. Vous êtes autorisés à publier totalement ou partiellement le contenu de ce texte.

Je vous prie d’agréer mes salutations les plus respectueuses.

Secrétaire Général

Fédération CGT des cheminots
 

bilibutch

Je suis ce que je suis ..
VIB
Les prud’homme et les syndicats, sont deux choses différentes.

Tiens, comme tu introduit les prud’homme, on pourrait d’ailleurs aussi parler des avocats douteux (ceux qui « défendent » les employés).

et qui défend les salariés gratuitement aux prud'hommes ? qui montent les dossier avant même que l'avocat le lis ?
les syndicats et les prud'hommes sont étroitement liés ... il n'est pas rare que nous nous trouvions devant des avocats a faire le meme métier avec une seule différence ... le prix !!!
et pourquoi serait ce les avocats qui défendent les employés, les douteux ?
pourquoi pas ceux qui défendent les employeurs ?
 

bilibutch

Je suis ce que je suis ..
VIB
Aux professionnels de l’information

Mesdames, Messieurs,



Un mouvement social très fortement médiatisé a eu lieu à la SNCF en ce mois de juin 2014. Cette action de grève reconductible a subi une couverture journalistique par l’ensemble des organes de presse qui me conduise très modestement à vous faire cette adresse qui sera ouverte à la population cheminote.

déja poster ici : http://www.bladi.info/threads/lettre-ouverte-cheminots-medias.381759/

Mais il est plus facile d'écouter les journaux téléviser que de lire les explications des syndicats ... esclavagisme des médias quand tu nous tiens ...
 

bilibutch

Je suis ce que je suis ..
VIB
surement pas.............................;)
les 2500 € sont des dommages et intérêts donc ?

mam

pardon mam , je pensais avoir répondu a ton post.
Non, non c'est là bien de l'argent qui n'avait pas attérit dans la poche des salariés car les employeur n'appliquaient tout simplement les minima prévu par le code du travail ou la convention collective.

un des cas et celui d'un salarié qui en 20 ans de présence dans l'entreprise n'a jamais eu ses repos compensateurs ... jusqu'au jours ou un mec se décide à s'intéresser au droit du travail et a lancer les élection du délégué du personnel dans l'entreprise qui en était dépourvue alors que la loi l'exiger depuis des années.
 

h_meo

lien France Palestine
VIB
Moi je dis le syndicalisme à la française fait partie du patrimoine national, comme la baguette, le beret les tour Eiffel. Une fois ce cliché passé, posons nous dans l'histoire ... Je comprends qu'une greve sncf pisse agacer, mais est ce dans ces conditions que doit se faire,le procès des syndicats? S'assoir sur leur bilan est juste jeter le bébé avec l'eau du bain. Tout un chacun sui râle contre,les grèves passe un temps à compter heures sup, congé payés, soins dentaires et autres avantages de CE... Tout cela est à refuser si on est un tant soit peu intégré dans ses positions anti syndicales. Oui congé, we, assurance maladie et chômage sont autant de conforts pour,lesquels vous n'avez pas eu à vous battre.. Et je vous rassure vous n'êtes pas obligés de le faire pour les maintenir d'autres s'en chargent pour vous...
cela,me rappelle cette blague entre un gosse et un vieux :
- votre génération n'avait rien, ni télé, ni voitures, ni internet, ni micro-ondes, ni salle de bain ... Ma génération est moderne.
- tu sais quoi jeune homme, ma génération n'avait rien de toi cela mais c'est bien elle qui a toi construit pour toi jusqu'au Smartphones.. La question que vas tu construire toi pour ceux qui suivent...??
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Moi je dis le syndicalisme à la française fait partie du patrimoine national, comme la baguette, le beret les tour Eiffel. Une fois ce cliché passé, posons nous dans l'histoire ... Je comprends qu'une greve sncf pisse agacer, mais est ce dans ces conditions que doit se faire,le procès des syndicats? S'assoir sur leur bilan est juste jeter le bébé avec l'eau du bain. Tout un chacun sui râle contre,les grèves passe un temps à compter heures sup, congé payés, soins dentaires et autres avantages de CE... Tout cela est à refuser si on est un tant soit peu intégré dans ses positions anti syndicales. Oui congé, we, assurance maladie et chômage sont autant de conforts pour,lesquels vous n'avez pas eu à vous battre.. Et je vous rassure vous n'êtes pas obligés de le faire pour les maintenir d'autres s'en chargent pour vous...
cela,me rappelle cette blague entre un gosse et un vieux :
- votre génération n'avait rien, ni télé, ni voitures, ni internet, ni micro-ondes, ni salle de bain ... Ma génération est moderne.
- tu sais quoi jeune homme, ma génération n'avait rien de toi cela mais c'est bien elle qui a toi construit pour toi jusqu'au Smartphones.. La question que vas tu construire toi pour ceux qui suivent...??

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il n'y a pas assez de syndiqués en france, mais il y a trop de syndicats
______________________

bonne question : que vas tu construire pour toi et ceux qui suivent ?

mam
 

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
merci @kolargool pour ton info
à méditer (même sans être ok à 100 % )

pourquoi vouloir créer une 3ème société alors que 2 déjà n'arrivent pas
à coordonner leurs travaux ou services sur le terrain ?

mam
 

bilibutch

Je suis ce que je suis ..
VIB
Moi je dis le syndicalisme à la française fait partie du patrimoine national, comme la baguette, le beret les tour Eiffel. Une fois ce cliché passé, posons nous dans l'histoire ... Je comprends qu'une greve sncf pisse agacer, mais est ce dans ces conditions que doit se faire,le procès des syndicats? S'assoir sur leur bilan est juste jeter le bébé avec l'eau du bain. Tout un chacun sui râle contre,les grèves passe un temps à compter heures sup, congé payés, soins dentaires et autres avantages de CE... Tout cela est à refuser si on est un tant soit peu intégré dans ses positions anti syndicales. Oui congé, we, assurance maladie et chômage sont autant de conforts pour,lesquels vous n'avez pas eu à vous battre.. Et je vous rassure vous n'êtes pas obligés de le faire pour les maintenir d'autres s'en chargent pour vous...
cela,me rappelle cette blague entre un gosse et un vieux :
- votre génération n'avait rien, ni télé, ni voitures, ni internet, ni micro-ondes, ni salle de bain ... Ma génération est moderne.
- tu sais quoi jeune homme, ma génération n'avait rien de toi cela mais c'est bien elle qui a toi construit pour toi jusqu'au Smartphones.. La question que vas tu construire toi pour ceux qui suivent...??


une petite image vaut des fois mieux qu'un long discours :
 

Pièces jointes

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