Le maroc sera une démocratie quand il ne réprimera plus les manifestations pacifiques et surtout en ce moment à EL hoceima et ses régions..
Donc la France n est pas encore une democratie puisque elle a reprimait les revoltes des ghettos
et avant ca a reprime les emeutes en Corsica
http://corsica-independenza.skyrock.com/
samedi 21 avril 2007 : (Corse - Resistenza Populare) C'est dans un contexte particulier que c'est déroulée la manifestation "Resistenza è Libertà".
En effet sur ordre du "Préfet" les forces de répression ont été déployé de manière à empêcher le peuple corse à manifester sur sa terre et à se rendre devant la préfecture. Cette provocation préfectorale n'avait qu'un seul but : faire dégénérer une manifestation pacifique et populaire.Contrôle de police à Bocognano et à l'entrée de la ville d'Aiacciu ont eu vite fait d'exaspérer les corses.
(Témoignage Forum Unità Naziunale) Aux les alentours de 16H quatre jeunes militants se sont fait suivre discrètement par cinq policiers en civils vêtus de veste et pantalon treillis. Ces derniers ont attendu qu'ils soient dans une ruelle déserte pour les soumettre a un contrôle mains contre le mur, jambes écartées, puis a une première fouille avant d'être accompagnés au commissariat pour une seconde fouille et une séance photo a tour de rôle dans une pièce contre un mur blanc ! Heureusement ils n'étaient porteur d'aucun objet pouvant faire la preuve d'arrestation.
Dès l'arrivée à la gare des patriotes, la mise en place de grille anti émeute au niveau du cours napoléon et de la rue Sébastiani commença. Un dispositif policier entourait la préfecture, la poste du cours napoléon, les alentours du commissariat, la gare maritime, la rue Fesch, en un mot comme en 100, Aiacciu était sous occupation policière coloniale.
Une vingtaine de policier de la B.A.C déguisé en treillis étaient postés derrière les grilles en attendant d'intervenir.
C'est sous le mot d'ordre "Resistenza è Libertà" qu'ont manifesté un peu plus de 8000 personnes dans les rues d'Ajaccio. Arrivée au niveau de la Galerie Napoléon les manifestants étaient bloqués par des grilles anti émeute derrière lesquelles grouillaient toutes les polices de répression. Des Renseignements généraux, en passant par les CRS, les gardes mobiles, la brigade anti criminalité et j'en passe.
Vers 18H45, quasiment à la fin du discours de clôture, les premiers gros incidents ont commencé, pierres, boulons, objets détonants, pelles, jardinières, barrières, bouteilles, casque de moto et autres objets ont été lancé sur les forces de répression qui ont essuyé dès les premiers jets deux blessés.
Un CRS et un gendarme mobile ont été hospitalisés après avoir subi "un effet de blast" dû à l'explosion d'un "marron de terre". Trois autres policiers, dont un CRS, touchés par des jets de pierre ont été soignés sur place. L'un d'entre eux a été blessé selon les rumeurs par un tir de ..... lacrymogènes.
Un objet détonnant arriva pile poil devant un groupe de policiers "Robocop" qui accusèrent le coup après la surprise du blast.
Après quelques heures de heurts entre jeunes corses et force de répression, la B.A.C, treillitisées et armés de tout ce qui se fait en matière de maintien de l'ordre, est arrivé pour interpeller en flag . Petit à petit les forces de l'ordre ont repris le contrôle du cours napoléon.