Les internautes qui souhaitent se rendre sur zone-telechargement pour télécharger illégalement des épisodes de séries, des films récents ou plus anciens, ou encore des jeux-vidéo, ne peuvent plus le faire. Ils ont partagé leur émoi sur les réseaux sociaux après que la gendarmerie nationale a annoncé ce lundi 28 novembre via son compte Twitter la fermeture de ce site de piratage : "#CyberSécurité Fermeture d'un site de téléchargement illégal #Musique #Films #Jeux après enquête de SR #Toulouse & #C3N Préjudice 75M €".
C'est après une enquête du centre de lutte contre les criminalités numériques (C3N) de la gendarmerie nationale, que ce site - l'un des plus connus en France - a été mis hors d'état de fonctionner. Sept personnes ont été interpellées et, parmi elles, trois ont été placées en garde à vue à la section de recherches de Toulouse, a appris l'AFP, lundi de source proche de l'enquête.
Comme on peut le lire sur le tweet, le préjudice subi par les ayant-droits s'élève à 75 millions d'euros. Sous la publication, de nombreux internautes ont fait part de leur mécontentement, entre chagrin et insultes.
En 2012, c'est la fermeture du site Megaupload qui avait fait sensation, laissant de nombreux internautes orphelins de leur petite piqure d'adrénaline illégale. La dispartion de Zone Téléchargement n'est donc pas la première et ne sera pas la dernière. En octobre dernier, Hollywood a transmisau gouvernement américain, une liste de sites proposant des films en torrent, streaming ou hébergés, que l'industrie voulait voir disparaître,et notamment le très connu PirateBay.
C'est après une enquête du centre de lutte contre les criminalités numériques (C3N) de la gendarmerie nationale, que ce site - l'un des plus connus en France - a été mis hors d'état de fonctionner. Sept personnes ont été interpellées et, parmi elles, trois ont été placées en garde à vue à la section de recherches de Toulouse, a appris l'AFP, lundi de source proche de l'enquête.
Comme on peut le lire sur le tweet, le préjudice subi par les ayant-droits s'élève à 75 millions d'euros. Sous la publication, de nombreux internautes ont fait part de leur mécontentement, entre chagrin et insultes.
En 2012, c'est la fermeture du site Megaupload qui avait fait sensation, laissant de nombreux internautes orphelins de leur petite piqure d'adrénaline illégale. La dispartion de Zone Téléchargement n'est donc pas la première et ne sera pas la dernière. En octobre dernier, Hollywood a transmisau gouvernement américain, une liste de sites proposant des films en torrent, streaming ou hébergés, que l'industrie voulait voir disparaître,et notamment le très connu PirateBay.