Fournitures scolaires : 350 DH par élève dans le public et jusquà 5 000 DH..
- Initiateur de la discussion petitbijou
- Date de début
Rentrée scolaire : bonjour les dépenses !
Septembre sonne la fin des vacances pour de nombreux écoliers, collégiens et lycéens qui s’apprêtent à reprendre les cours. Écoles publiques, privées, ou encore missions étrangères, à chacun sa date de début des hostilités. Principale nouveauté dans le secteur public, il faudra compter sans les vacances de fin d’année.
A chaque rentrée, c’est le même topo. Les fournitures scolaires tiennent le haut du pavé dans les étals des supermarchés et dans les librairies. Les parents et les enfants font la grimace à l’unisson. Fini les vacances, bonjour les dépenses ! Adossé à son caddie, un père patiente. «Cela fait trois fois que ma fille change d’avis pour un simple tube de colle», nous lance-t-il dans un calme absolu. Quand nous lui demandons si ces dépenses pèsent lourd sur son budget, il répond en gardant le sourire. «C’est sûr que cette année les dépenses de la rentrée se sont additionnées à celles du mois de ramadan. Mais qu’est-ce que vous voulez ? On ne peut pas faire l’impasse sur les fournitures scolaires !»
Entre les rayons, parents et enfants scrutent la liste des fournitures à acheter, barrant d’un trait au fur et à mesure les achats effectués. «C’est dur de trouver le juste milieu entre les goûts de mon fils et le prix», précise une mère qui a préféré venir seule acheter ce qu’il faut, pour ne pas être perturbée par les caprices de son enfant. D’autres parents se laissent happer par l’excitation perceptible de leurs bambins, surexcités d’avoir de nouvelles fournitures, et de retrouver bientôt leurs copains de classe
http://www.lesoir-echos.com/2011/09/05/rentree-scolaire -bonjour-les-depenses /
Septembre sonne la fin des vacances pour de nombreux écoliers, collégiens et lycéens qui s’apprêtent à reprendre les cours. Écoles publiques, privées, ou encore missions étrangères, à chacun sa date de début des hostilités. Principale nouveauté dans le secteur public, il faudra compter sans les vacances de fin d’année.
A chaque rentrée, c’est le même topo. Les fournitures scolaires tiennent le haut du pavé dans les étals des supermarchés et dans les librairies. Les parents et les enfants font la grimace à l’unisson. Fini les vacances, bonjour les dépenses ! Adossé à son caddie, un père patiente. «Cela fait trois fois que ma fille change d’avis pour un simple tube de colle», nous lance-t-il dans un calme absolu. Quand nous lui demandons si ces dépenses pèsent lourd sur son budget, il répond en gardant le sourire. «C’est sûr que cette année les dépenses de la rentrée se sont additionnées à celles du mois de ramadan. Mais qu’est-ce que vous voulez ? On ne peut pas faire l’impasse sur les fournitures scolaires !»
Entre les rayons, parents et enfants scrutent la liste des fournitures à acheter, barrant d’un trait au fur et à mesure les achats effectués. «C’est dur de trouver le juste milieu entre les goûts de mon fils et le prix», précise une mère qui a préféré venir seule acheter ce qu’il faut, pour ne pas être perturbée par les caprices de son enfant. D’autres parents se laissent happer par l’excitation perceptible de leurs bambins, surexcités d’avoir de nouvelles fournitures, et de retrouver bientôt leurs copains de classe
http://www.lesoir-echos.com/2011/09/05/rentree-scolaire -bonjour-les-depenses /