France/municipales: dur d’être candidat issu de l’immigration

Le quotidien algérien El Watan tente de dénombrer les candidats aux municipales françaises «issus de l’immigration». Son dénombrement se limite en fait à une certaine catégorie : Kamel Hamza, Rachida Dati, Razzy Hammadi, Abdelhak Kachouri à Neuilly-sur-Marne, Karim Bouamrane, Sonia Dahou, Samir Maïzatn, Fayçal Menia, Azzedine Taïbi, Haouaria Hadj Chikh, Hacen Boukhelifa, Samia Ghali, Farida Boudaoud …


Dans douze jours, les Français vont élire leurs conseils municipaux. Après les décomptes, on scrutera le nombre d’élus issus de l’immigration arabe et africaine l Voici un tour d’horizon non exhaustif.

Au lendemain des élections municipales du 23 et du 30 mars, l’augmentation du nombre de conseillers municipaux issus de la diversité dans les communes françaises sera soulignée. Il se pourrait même que quelques nouveaux maires soient élus. Ce sera la cerise sur le gâteau, un gâteau dont le goût sera cependant amer. Ainsi, on ne pourra pas cacher que de plus en plus de personnes originaires du Maghreb ou d’Afrique ont eu des difficultés à figurer sur les listes cette année plus encore qu’il y a six ans, lors du précédent renouvellement. […]

Alors que les thèses racistes de l’extrême droite progressent dans l’opinion avec la banalisation du Front national de Marine Le Pen, les partis républicains, de droite comme de gauche, ont hésité à faire figurer des «noms étrangers» qui feraient peur à certaines catégories d’électeurs, accentuant ce qu’on nommait il y a quelques années la «lepénisation des esprits».

http://www.elwatan.com/hebdo/france...su-de-l-immigration-11-03-2014-248670_155.php
 
oui souhaitons lui bonne chance et dès qu'il sera au pouvoir avec le PS, il interdira au mère de famille de porté le voile au trocadéro....

Ou les pénaliser fiscalement ; )



Interrogée par le quotidien Les Echos du 11/12/2013 sur les mesures envisagées par le rapport Lemière sur l’emploi des femmes, le ministre des Droits des femmes Najat Vallaud-Belkacem condamne la conjugalisation et la familialisation de la fiscalité. Objectif en clair : pénaliser les ménages mono-actifs, autrement dit, imposer le parent 2 (suivez mon regard) au foyer…






Le ministre des Droits des femmes et de la Communication d’État du régime, Najat Vallaud-Belkacem, nature généreuse mais d’un ton sans réplique, veut organiser le bonheur des femmes selon un modèle rénové, qu’elles le veuillent ou non.

MODELE SOCIALISTE façon 2014, on procèdera à une puissante incitation fiscale au travail à l’extérieur du foyer familial. Dans les familles ringardes, où les mères resteront bêtement chez elles à s’occuper de leurs enfants, le montant de l’impôt d’État sur le revenu augmentera à revenu constant par rapport aux familles évoluées, où les femmes auront compris les vertus d’un second emploi parallèle à celui de leur compagnon. Pour le gouvernement en effet, le risque, c’est la famille, pas le travail…

Le régime aura procédé entre temps à « la révision de l’un des fondements de la fiscalisation des ménages, la conjugalisation de l’impôt », annonce notre ministre délégué à l’avenir du « genre » humain, Mme Vallaud-Belkacem. Cela au coude à coude avec Jean-Marc Ayrault, le Premier ministre déjà au volant du rouleau compresseur de la « remise à plat » du système fiscal.

L’individualisation de l’impôt
Résultat de cette normalisation, les pères de famille paieront désormais leurs impôts « plein pot » comme s’ils étaient restés célibataires, sans plus bénéficier désormais de la « demi-part fiscale » attribuée jusqu’à maintenant au titre de leur épouse. Ainsi, le régime va pénaliser fiscalement les familles nombreuses dont les mères élèvent les enfants à la maison sans les confier au système éducatif collectif d’État. En revanche, les couples sans enfants bénéficiant de deux salaires selon la nouvelle norme internationale DINK (Dual Income-No Kids) verront leur impôt baisser, avec la possibilité de fractionner le chiffre à déclarer…

Mme Vallaud-Belkacem a annoncé (Les Echos, 13 décembre), qu’à l’encontre de la fâcheuse « familialisation » d’hier, désormais « l’individualisation de l’impôt favorise l’emploi des femmes ». Cette « gouvernante » de la société de demain déclare froidement que ce nouvel « accès à l’emploi » des femmes est « une question de justice mais aussi un enjeu économique majeur » : elle prédit un gain de 0,5 point de croissance par an pendant 10 ans. Mais elle demande donc un effort collectif équivalent de deux plans quinquennaux. L’État « doit peser en tant que donneur d’ordre »…
 
Ou les pénaliser fiscalement ; )



Interrogée par le quotidien Les Echos du 11/12/2013 sur les mesures envisagées par le rapport Lemière sur l’emploi des femmes, le ministre des Droits des femmes Najat Vallaud-Belkacem condamne la conjugalisation et la familialisation de la fiscalité. Objectif en clair : pénaliser les ménages mono-actifs, autrement dit, imposer le parent 2 (suivez mon regard) au foyer…


Déjà, quelle trouve du travail au 11 millions de chômeur et après elle ira chercher du travail aux mères au foyer,
De pire en Pire, honntemet j'ai de la peine pour ses parents


Le ministre des Droits des femmes et de la Communication d’État du régime, Najat Vallaud-Belkacem, nature généreuse mais d’un ton sans réplique, veut organiser le bonheur des femmes selon un modèle rénové, qu’elles le veuillent ou non.

MODELE SOCIALISTE façon 2014, on procèdera à une puissante incitation fiscale au travail à l’extérieur du foyer familial. Dans les familles ringardes, où les mères resteront bêtement chez elles à s’occuper de leurs enfants, le montant de l’impôt d’État sur le revenu augmentera à revenu constant par rapport aux familles évoluées, où les femmes auront compris les vertus d’un second emploi parallèle à celui de leur compagnon. Pour le gouvernement en effet, le risque, c’est la famille, pas le travail…

Le régime aura procédé entre temps à « la révision de l’un des fondements de la fiscalisation des ménages, la conjugalisation de l’impôt », annonce notre ministre délégué à l’avenir du « genre » humain, Mme Vallaud-Belkacem. Cela au coude à coude avec Jean-Marc Ayrault, le Premier ministre déjà au volant du rouleau compresseur de la « remise à plat » du système fiscal.

L’individualisation de l’impôt
Résultat de cette normalisation, les pères de famille paieront désormais leurs impôts « plein pot » comme s’ils étaient restés célibataires, sans plus bénéficier désormais de la « demi-part fiscale » attribuée jusqu’à maintenant au titre de leur épouse. Ainsi, le régime va pénaliser fiscalement les familles nombreuses dont les mères élèvent les enfants à la maison sans les confier au système éducatif collectif d’État. En revanche, les couples sans enfants bénéficiant de deux salaires selon la nouvelle norme internationale DINK (Dual Income-No Kids) verront leur impôt baisser, avec la possibilité de fractionner le chiffre à déclarer…

Mme Vallaud-Belkacem a annoncé (Les Echos, 13 décembre), qu’à l’encontre de la fâcheuse « familialisation » d’hier, désormais « l’individualisation de l’impôt favorise l’emploi des femmes ». Cette « gouvernante » de la société de demain déclare froidement que ce nouvel « accès à l’emploi » des femmes est « une question de justice mais aussi un enjeu économique majeur » : elle prédit un gain de 0,5 point de croissance par an pendant 10 ans. Mais elle demande donc un effort collectif équivalent de deux plans quinquennaux. L’État « doit peser en tant que donneur d’ordre »…

Déjà, quelle trouve du travail au 11 millions de chômeur et après elle ira chercher du travail aux mères au foyer,
De pire en Pire, honnêtement j'ai de la peine pour ses parents,
Qu’Allah fasse revenir cette sœur dans le bon chemin.
 
" Après les décomptes, on scrutera le nombre d’élus issus de l’immigration arabe et africaine "

Et pourquoi pas également les asiatiques ?
 
R

Rorschach

Non connecté
Le quotidien algérien El Watan tente de dénombrer les candidats aux municipales françaises «issus de l’immigration». Son dénombrement se limite en fait à une certaine catégorie : Kamel Hamza, Rachida Dati, Razzy Hammadi, Abdelhak Kachouri à Neuilly-sur-Marne, Karim Bouamrane, Sonia Dahou, Samir Maïzatn, Fayçal Menia, Azzedine Taïbi, Haouaria Hadj Chikh, Hacen Boukhelifa, Samia Ghali, Farida Boudaoud …


Dans douze jours, les Français vont élire leurs conseils municipaux. Après les décomptes, on scrutera le nombre d’élus issus de l’immigration arabe et africaine l Voici un tour d’horizon non exhaustif.

Au lendemain des élections municipales du 23 et du 30 mars, l’augmentation du nombre de conseillers municipaux issus de la diversité dans les communes françaises sera soulignée. Il se pourrait même que quelques nouveaux maires soient élus. Ce sera la cerise sur le gâteau, un gâteau dont le goût sera cependant amer. Ainsi, on ne pourra pas cacher que de plus en plus de personnes originaires du Maghreb ou d’Afrique ont eu des difficultés à figurer sur les listes cette année plus encore qu’il y a six ans, lors du précédent renouvellement. […]

Alors que les thèses racistes de l’extrême droite progressent dans l’opinion avec la banalisation du Front national de Marine Le Pen, les partis républicains, de droite comme de gauche, ont hésité à faire figurer des «noms étrangers» qui feraient peur à certaines catégories d’électeurs, accentuant ce qu’on nommait il y a quelques années la «lepénisation des esprits».

http://www.elwatan.com/hebdo/france...su-de-l-immigration-11-03-2014-248670_155.php


C'est bien triste de voir qu'aux yeux de certains, "Arabes" et Noirs ne sont pas des Français comme les autres.

Mais au final, peu importe le nombre de candidats d'origine X ou Y, quand on sait que ces Français comme les autres se répartissent dans les partis politiques traditionnels, et ne font qu'adhérer aux mêmes idéologies, et reproduire les mêmes discours et attitudes que les autres.

Que la maghrébinité et la négritude des élus apportent du neuf à la politique française, voilà qui serait une avancée!

Et c'est vers cela qu'il faut tendre.
 
IL y a pas mal d'élus ou d'anciens élus originaires des pays de l'est (Kosciusko, Sarkozy, Poniatowski etc, et aussi des arméniens dans les Bouches du Rhône. En Belgique, des descendants d'italiens
Et n'oublions pas Valls de père espagnol et de mère suisse.
 
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