les corbeaux arrivent...............
C’est parti : la gauche nous ressort les brassards de FFI pour exhumer le Conseil national de la Résistance ! C’est que François Fillon a osé évoquer une énième réforme de l’assurance maladie, qui tamiserait un peu les remboursements en se concentrant sur les choses sérieuses, et voila la République en danger… Un sparadrap du capitaine Haddock qui le suivra toute sa campagne, même si le « mis en examen » a immédiatement rétropédalé : « J’entends réaffirmer le principe d’universalité dans l’esprit des ordonnances de 1945 […] Il n’est donc pas question de toucher à l’assurance maladie et encore moins de la privatiser. »
Cette reculade devant le système communiste monopoliste augure mal, mais on sait que si les primaires se remportent à droite, la présidentielle se gagne au centre ; nous lui laisserons donc le bénéfice du doute. Il est vrai que le sujet est complexe. Bastiat avait prophétiquement prédit les conséquences de la mainmise de l’État sur les assurances sociales. Ainsi, comme prévu, le système ne nous laisse plus le choix qu’entre augmenter les cotisations, baisser les remboursements, emprunter ou… euthanasier les vieillards !
Déjà, la Sécu – dont les bras armés URSSAF et RSI ruinent des milliers d’entreprises par an – ne rembourse qu’une grosse moitié des dépenses. D’ailleurs, si elle s’arrêtait demain de s’acquitter de sa part sur les lunettes, personne ne s’en apercevrait.
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C’est parti : la gauche nous ressort les brassards de FFI pour exhumer le Conseil national de la Résistance ! C’est que François Fillon a osé évoquer une énième réforme de l’assurance maladie, qui tamiserait un peu les remboursements en se concentrant sur les choses sérieuses, et voila la République en danger… Un sparadrap du capitaine Haddock qui le suivra toute sa campagne, même si le « mis en examen » a immédiatement rétropédalé : « J’entends réaffirmer le principe d’universalité dans l’esprit des ordonnances de 1945 […] Il n’est donc pas question de toucher à l’assurance maladie et encore moins de la privatiser. »
Cette reculade devant le système communiste monopoliste augure mal, mais on sait que si les primaires se remportent à droite, la présidentielle se gagne au centre ; nous lui laisserons donc le bénéfice du doute. Il est vrai que le sujet est complexe. Bastiat avait prophétiquement prédit les conséquences de la mainmise de l’État sur les assurances sociales. Ainsi, comme prévu, le système ne nous laisse plus le choix qu’entre augmenter les cotisations, baisser les remboursements, emprunter ou… euthanasier les vieillards !
Déjà, la Sécu – dont les bras armés URSSAF et RSI ruinent des milliers d’entreprises par an – ne rembourse qu’une grosse moitié des dépenses. D’ailleurs, si elle s’arrêtait demain de s’acquitter de sa part sur les lunettes, personne ne s’en apercevrait.
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