● Casablanca est la sixième destination la plus convoitée par les touristes étrangers en Afrique et dans le monde arabe, daprès létude «Global Destination Cities Index» de MasterCard. La première place est occupée par Dubaï.
● En 2012, plus de 2 millions de touristes ont afflué à la cité blanche
En matière de tourisme, la métropole est en forte progression. Il faut dire que le Programme de développement régional touristique (PDRT) de la ville, instauré en 2006, a bien porté ses fruits. Depuis, la ville affiche une moyenne annuelle de progression de 8%. Pour lannée 2012, la capitale économique a enregistré une croissance de 10% sur le nombre de nuitées et 9% pour les arrivées.
«Nous avons été choisis dernièrement par le New York Times parmi les 50 destinations mondiales à visiter. Ceci nest pas dû au hasard. Nous avions établi en 2006 un programme qui avait pour mission stratégique de souvrir sur 24 chantiers, dont plus de 80% ont été réalisés. Par rapport à lannée précédente, le trafic international a connu une augmentation de 9% des touristes en provenance de létranger, ainsi que 18% des touristes locaux. Parallèlement, le taux de remplissage des hôtels de la métropole a été de 52%, culminant à 60% pour les hôtels 5 étoiles», nous confie Saïd Mouhid, directeur général du Centre régional du tourisme de Casablanca (CRT).
La capitale économique ne se positionne désormais plus que sur le tourisme daffaires, mais elle se développe aussi dans le tourisme de shopping et de loisirs. Dailleurs, la mise en place du système de détaxe, ainsi que les réductions sur les billets davion ont fortement contribué à attirer davantage de touristes, surtout ceux issus de lAfrique subsaharienne et du Maghreb, la Tunisie en tête. De ce fait, entre 2005 et 2013, la ville blanche a doublé sa capacité dhébergement, elle est ainsi passée de 8 000 lits classés à plus de 16 000. De même, 8 000 lits supplémentaires sont en phase de création.
Pourtant, avant 2006, le secteur touristique de la ville était mal exploité, notamment son front de mer. Cest dailleurs le point mis en valeur dans ce programme, à travers le réaménagement de la corniche et la création dhôtels. En effet, durant cette période, 43 hôtels ont vu le jour. Ces chiffres ne sarrêteront pas là puisque le développement des «malls» (Morocco Mall et Anfa Palace) aura certainement un impact positif sur le tourisme commercial.
«Lintroduction des hôtels sest faite progressivement et en file dattente, cest-à-dire que plus la demande augmentait, plus des établissements ouvraient leurs portes. Nous avons établi un nouveau programme pour lannée 2020. Ce dernier vise à faire valoir loffre, contrairement au PDRT qui était axé sur les infrastructures.
● En 2012, plus de 2 millions de touristes ont afflué à la cité blanche
En matière de tourisme, la métropole est en forte progression. Il faut dire que le Programme de développement régional touristique (PDRT) de la ville, instauré en 2006, a bien porté ses fruits. Depuis, la ville affiche une moyenne annuelle de progression de 8%. Pour lannée 2012, la capitale économique a enregistré une croissance de 10% sur le nombre de nuitées et 9% pour les arrivées.
«Nous avons été choisis dernièrement par le New York Times parmi les 50 destinations mondiales à visiter. Ceci nest pas dû au hasard. Nous avions établi en 2006 un programme qui avait pour mission stratégique de souvrir sur 24 chantiers, dont plus de 80% ont été réalisés. Par rapport à lannée précédente, le trafic international a connu une augmentation de 9% des touristes en provenance de létranger, ainsi que 18% des touristes locaux. Parallèlement, le taux de remplissage des hôtels de la métropole a été de 52%, culminant à 60% pour les hôtels 5 étoiles», nous confie Saïd Mouhid, directeur général du Centre régional du tourisme de Casablanca (CRT).
La capitale économique ne se positionne désormais plus que sur le tourisme daffaires, mais elle se développe aussi dans le tourisme de shopping et de loisirs. Dailleurs, la mise en place du système de détaxe, ainsi que les réductions sur les billets davion ont fortement contribué à attirer davantage de touristes, surtout ceux issus de lAfrique subsaharienne et du Maghreb, la Tunisie en tête. De ce fait, entre 2005 et 2013, la ville blanche a doublé sa capacité dhébergement, elle est ainsi passée de 8 000 lits classés à plus de 16 000. De même, 8 000 lits supplémentaires sont en phase de création.
Pourtant, avant 2006, le secteur touristique de la ville était mal exploité, notamment son front de mer. Cest dailleurs le point mis en valeur dans ce programme, à travers le réaménagement de la corniche et la création dhôtels. En effet, durant cette période, 43 hôtels ont vu le jour. Ces chiffres ne sarrêteront pas là puisque le développement des «malls» (Morocco Mall et Anfa Palace) aura certainement un impact positif sur le tourisme commercial.
«Lintroduction des hôtels sest faite progressivement et en file dattente, cest-à-dire que plus la demande augmentait, plus des établissements ouvraient leurs portes. Nous avons établi un nouveau programme pour lannée 2020. Ce dernier vise à faire valoir loffre, contrairement au PDRT qui était axé sur les infrastructures.