Une véritable guerre froide est déclarée entre la France et l'Espagne sur leurs intérêts au Maroc. Cela est clairement visible par l'attitude de l'un comme de l'autre. Il y a un peu plus d'un an, quand l'Espagne commença à exhiber son nouveau rang du premier fournisseur au Maroc, Paris a réagi bizarrement en provoquant une crise diplomatique avec Rabat, avec comme toile de fond, un dossier dit de droit de l'Homme. Lequel dossier a curieusement disparu des radars du moment que le royaume a réagi avec fermeté et sans se laisser intimider.
Nos partenaires français, ayant bien saisi cette position, ont plaidé par une reprise normale des relations bilatérales, ce qui fut fait. Sauf, qu'apparemment certains milieux chez nos voisins du Nord voient d'un mauvais œil ce rapprochement et commencent à chercher une certaine épreuve de force! Comment concevoir alors qu'un magistrat espagnol fouille «spontanément» dans des dossiers vieux d'un quart de siècle pour pointer du doigt certains responsables marocains, aujourd'hui décédés ou retraités. C'est dire que ce «mauvais scénario» c'est du réchauffé et du déjà-vu!
Maintenant, ce que nos amis Français et Espagnols doivent comprendre, c'est que le Maroc est un pays souverain et qu'ils doivent régler leurs comptes loin de nos terres.
Quant à l'enseignement à tirer de ces péripéties, et ce à quoi nous avons toujours appelé, c'est diversifier nos relations économiques et enrichir le panel de nos partenaires en terme d'échanges commerciaux.
Plus que jamais, l'ouverture aux pays du BRICS, l'Allemagne, le Japon...est un impératif très urgent.
Guerre franco-espagnole !
Nos partenaires français, ayant bien saisi cette position, ont plaidé par une reprise normale des relations bilatérales, ce qui fut fait. Sauf, qu'apparemment certains milieux chez nos voisins du Nord voient d'un mauvais œil ce rapprochement et commencent à chercher une certaine épreuve de force! Comment concevoir alors qu'un magistrat espagnol fouille «spontanément» dans des dossiers vieux d'un quart de siècle pour pointer du doigt certains responsables marocains, aujourd'hui décédés ou retraités. C'est dire que ce «mauvais scénario» c'est du réchauffé et du déjà-vu!
Maintenant, ce que nos amis Français et Espagnols doivent comprendre, c'est que le Maroc est un pays souverain et qu'ils doivent régler leurs comptes loin de nos terres.
Quant à l'enseignement à tirer de ces péripéties, et ce à quoi nous avons toujours appelé, c'est diversifier nos relations économiques et enrichir le panel de nos partenaires en terme d'échanges commerciaux.
Plus que jamais, l'ouverture aux pays du BRICS, l'Allemagne, le Japon...est un impératif très urgent.
Guerre franco-espagnole !