Haut conseil à l'égalité : «le viol est un phénomène massif»

oh que si
raconter son histoire une fois c'est déjà difficile et il faut un déplacement volontaire
se re déplacer en centre d'hospitalier ou d'accompagnement pour raconter encore
les filles ne le font pas
ce qu'elles souhaitent, c'est oublier

donc, si UNE SEULE FOIS est possible, il y aura beaucoup + de filles qui continueront

mam

Pour un crime, il est normal qu'il faille passer par la médecine légale, porter plainte, qu'il y ait des expertises... bref une longue instruction.

J'en conviens, c'est le parcours du combattant. C'est très éprouvant pour les victimes qui ne peuvent tourner la page que quelques années après (lorsqu'il y a une décision définitive), mais c'est incontournable.

Pour que justice soit faite, il faut en passer par là.

Ce sont des faits graves, la procédure est donc encadrée en conséquence.
 
Un autre exemple : quand les lepénistes se disent contre la violence des gens typés envers les caucasiens, mais pas contre la violence des caucasiens envers le gens typés, ils ne sont pas contre la violence. C’est plus compréhensible comme ça ? C’est plus que déni, c’est une légitimation. D’ailleurs j’ai put le voir plus d’une fois ici‑même (légitimation du viol dans les prisons).

Sinon, tu pourra lui expliquer ça, à lui (il fait de l’ironie dans le titre) :


— Édit —

La version image :

151158

C'est juste qu'ils discriminent selon les victimes, pas qu'ils ne sont pas contre la violence.

C'est être extrémiste que d'y voir une légitimation.
 
Ah parce qu'il y a plus de victimes femmes, on ne devrait que parler des femmes? Les autres, on s'en tape!

Surtout que c'est le Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes (HCE) qui s'exprime, c'est encore plus dramatique.

L'égalité, c'est ne pas discriminer.

Quand on parle de viols d'hommes, les agresseurs sont des hommes. Ce ne sont pas des anecdotes, surtout en univers carcéral.

Le viol est un phénomène massif, une violence des hommes sur les femmes (NDLR : 98,2 % des victimes sont des femmes), qui touche quelque 84 000 d'entre elles chaque année.

82488 femmes victimes contre donc 1512 cas de viol sur des hommes. Tu sais quoi on en reparleras quand il n'y aura plus que 1512 femmes violées par an en France.
Edit: Néanmoins il faut lutter contre le viol en général bien sûr.
 

Fitra

Allah, Souria, Houria wa bass
Voilà, j’ai retrouvé. C’est une victime de viol qui se plain à raison, que les féministes tordent tellement la définition du viol, qu’elles en viennent à ne pas respecter la réalité vécue par les victimes. Il y a la même chose à propos du harcèlement, avec des victimes qui se plaignent que les féministe ne respectent pas la réalité de leur vécu, de la même manière.

151157

Tu raisonnes n'importe comment, tu prends quelques témoignages par-ci par-là pour cracher sur toutes les femmes qui dénoncent les viols, qui luttent contre ça, et que tu appelles "féministes" pour mieux les critiquer. Y'a des féministes extrêmistes, et ? Et comme par hasard tu fais divaguer le sujet sur ça dans un sujet qui parle de lutter contre le viol, tu as un vrai problème. Ici on parle de lutter contre le viol, et toi qu'est-ce que tu trouves à faire ? Lutter contre les féministes.

Et après tu vas me dire que c'est normal.
 

Fitra

Allah, Souria, Houria wa bass
Tu peux définir « massives » ? Je préfère inviter à rendre précis les termes vagues et racoleurs, surtout connaissant la propension du féminisme à gonfler ces chiffres. Elles ont été jusqu’à prétendre qu’une étudiante sur quatre sera violée sur son campus au cours de ses études.

Massives = écrasante majorité des victimes de viol sont des femmes.
 

Fitra

Allah, Souria, Houria wa bass
Tu confirme ce que je dis (et que beaucoup d’antiféministes disent) : les féministes ne sont pas contre le viol, sinon elles ne feraient pas des distinctions pour exclure des victimes. La même chose avec la violence conjugale, les féministes ne sont pas contre la violence conjugale, puisqu’elles ne la condamnent que une fois sur deux.

De quoi tu parles ?
 

Fitra

Allah, Souria, Houria wa bass
Les circonstances, peuvent aboutir à la qualification de crime. Là ça touche encore une autre question : les féministes souhaiteraient que les victimes de viol ne s’en remettent jamais.

Strictement rien à voir, je crois que tu ne sais pas ce que correctionnalisation veut dire. Tu déformes tout pour aller dans ton sens, le seul que j'ai vu minimiser le viol c'est toi, et les féministes n'ont jamais dit de ne pas parler des autres victimes de viol, tu es un affabulateur qui est aveuglé par sa haine des femmes.

Mais après toi tu es quelqu'un qui a décrété plus haut que les femmes étaient priées de considérer le viol comme moins grave que perdre sa jambe dans un accident de voiture, alors ne parle surtout pas des victimes de viol, surtout pas.
 

Fitra

Allah, Souria, Houria wa bass
Ce n'est pas le jugement du viol qui est renvoyé devant un tribunal correctionnel, mais d'une agression sexuelle.

C'est la qualification des faits qui détermine si on est face à un viol ou une agression sexuelle. Face à une insuffisance d'éléments, il est bien évidemment possible que les poursuites soient engagées sur une agression sexuelle et non un viol.
Mais c'est le "jeu" de notre système. Heureusement que l'on engage des poursuites sur des éléments.

On a l'habitude avec ces entités qui aiment à taper sur la justice et les magistrats, juste pour faire parler d'elles.

C'est cyclique. Le viol est un de leur sujet préféré. On nous casse les pieds depuis des années avec le sujet.

Non ! On parle bien de viol reconnu comme tel, d'ailleurs les raisons données de la correctionnalisation ne sont pas la requalification des faits mais le désengorgegement des tribunaux, etc. Sinon ce serait pas une "correctionnalisation", correctionnalisation ça veut dire qu'on renvoie un crime devant le tribunal correctionnel même les faits constitufs de l'infraction sont ceux d'un crime.
C'est pas un, problème de féministes, c'est un problème dénoncé par les juristes : http://www.village-justice.com/articles/IMG/pdf_LA_CORRECTIONNALISATION_DU_VIOL.pdf
 
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