"ils en ont rien à fiche de la souffrance de titouan"
et sinon tu avais quoi à en dire de tout ça ?
je crois qu'elle ne voulait pas un CV mais faisait une suggestion: si ce n'est pas de l'euthanasie, serait ce une expérience médicale ? enfin je crois
tout à fait ^^
Yamantaka
Upāsaka
ce que je trouve horrible dans l'euthanasie en France, c'est cette euthanasie "passive", le patient meurt alors de faim, de soif ou asphyxié, c'est atroce. Un sédatif puissant et mortel serait quand même moins barbare que cette mort parfois lente et certainement douloureuse. Seuls les gens plus aisés qui peuvent aller en Suisse ou en Belgique peuvent bénéficier de ce "traitement" ....
Je ne sais pas si on saura ce que @Yamantaka en pense et pourquoi il ne "veut" pas qu'on parle d'euthanasie ....
Je ne sais pas si on saura ce que @Yamantaka en pense et pourquoi il ne "veut" pas qu'on parle d'euthanasie ....
A
AncienMembre
Non connecté
l'euthanisie est un meurtre!
ce n'est pas parce que la personne souffre que cela est légitime!
quelqu'un qui meurt à petit feu ne fait que subir les lois de la nature en matière de vie et de mort!
et si l'euthanasie est demandée par le patient, c'est quoi ? Et pourquoi les gens qui aiment leurs animaux ne les laissent pas mourir à petit feu mais les emmènent chez le véto pour ne plus qu'ils souffrent ? Trouves-tu humain véritablement de laisser un bébé ou une autre personne mourir de déshydratation, donc de soif ? Et pourquoi des soins palliatifs s'il faut laisser les gens mourir à petit feu ?
Si je souffre, que je n'ai aucune chance de récupérer, que mes jours sont comptés, je veux que quelqu'un pratique une euthanasie active car je ne vois pas pourquoi je devrais souffrir avant de mourir.
A
AncienMembre
Non connecté
que le patient s'injecte lui même le produit pour mettre fin à sa vie c'est du suicide assisté et ça ne concerne que lui
mnt, demande à un médecin d'injecté un produit pour mettre fin au supplice d'un patient c'est un meurtre
ça va à l'encontre de leur profession
mnt, si après tout leur effort, rien ne fonctionne, leur rôle est de mettre le patient confortable jusqu'a ce que la mort vienne à lui
je n'ai jamais adhéré à cette mort que l'on afflige aux animaux parce qu'ils sont malade ou blessée
je n'y adhère pas et je ne pourrais jamais comprendre cela
mais je peux comprendre qu'une famille refuse de voir un proche dans cet état (moi même ça me ferait mal de voir une personne que j'aime souffrir) mais en aucun cas je songera à injecté un produit pour y mettre un terme...
(c'est probablement dû à ma foi et ma vision de la vie)
que le patient s'injecte lui même le produit pour mettre fin à sa vie c'est du suicideassistéet ça ne concerne que lui
mnt, demande à un médecin d'injecter un produit pour mettre fin au supplice d'un patient c'est un meurtre
ça va à l'encontre de leur profession
mnt, si après tout leur effort, rien ne fonctionne, leur rôle est de mettre le patient confortable jusqu'a ce que la mort vienne à lui
je n'ai jamais adhéré à cette mort que l'on infflige aux animaux parce qu'ils sont malades ou blessés
je n'y adhère pas et je ne pourrais jamais comprendre cela
mais je peux comprendre qu'une famille refuse de voir un proche dans cet état (moi même ça me ferait mal de voir une personne que j'aime souffrir) mais en aucun cas je songera à injecter un produit pour y mettre un terme...
(c'est probablement dû à ma foi et ma vision de la vie)
C'est évident que les Croyants sont pour la plupart contre l'euthanasie, l'avortement etc... néanmoins face aux douleurs des patients, parfois la Foi ne peut rien "contre" la compassion:
http://www.leparisien.fr/informatio...-pratique-l-euthanasie-11-09-2014-4124861.php
A
AncienMembre
Non connecté
il n'est pas question de compassion
justement quand on a la Foi, on sait que tout n'est que passage et que la félicité appartient à Dieu
on nous enseigne la patience face aux épreuves et la maladie est l'une d'entre elle
j'ai conscience que tout le monde ne peut pas penser comme moi
et je n'attends pas que les gens puissent voir comme moi (bien que leur monde serait meilleur )néanmoins, la foi permet de tout surmonter
il n'est pas question de compassion
justement quand on a la Foi, on sait que tout n'est que passage et que la félicité appartient à Dieu
on nous enseigne la patience face aux épreuves et la maladie est l'une d'entre elle
j'ai conscience que tout le monde ne peut pas penser comme moi
néanmoins, la foi permet de tout surmonter
et moi comme je suis une mécréante
ben je suis pour l'avortement légal et selon des délais bien sûr, l'euthanasie active et le suicide, ben il ne concerne que les gens qui le choisissent. Je sais bien que je n'irai pas au paradis
, ni en enfer non plus de toutes façons.Le mieux c'est quand même de créer un cadre légal et que les gens aient le choix, la légalisation de l'avortement a permis d'éviter les avortements clandestins et beaucoup de décès (et les gens qui sont contre n'avortent pas tout simplement), les gens devraient s'inscrire sur un site national pour y inscrire leur position quant-à l'euthanasie, ça éviterait des procès pour rien et des familles qui se déchirent.
Poitiers : un accompagnement de fin de vie pour le bébé prématuré
L’hôpital de Poitiers a annoncé jeudi le lancement du processus, avec l’accord de la famille. Un premier avis médical avait souhaité "le maintien en vie" de l'enfant, malgré le refus des parents.
La demande des parents du petit Titouan a été respectée. Même si les mots de la famille et les termes de l'hôpital sont différents, les positions se sont rejointes. Après plusieurs avis médicaux et un examen éthique de ce dossier sensible, un processus d’accompagnement de fin de vie a été accordé à la famille.
Un cheminement très réglementé
Le CHU de Poitiers précise, dans un communiqué, avoir "exclu, tout au long de sa prise en charge, tout acharnement thérapeutique". Un avis médical a été demandé à une équipe médicale hospitalière d’Ile-de-France. Le dossier a aussi été examiné en Poitou-Charentes sous l’angle de l’éthique.
C’est à partir de ces conclusions que le CHU de Poitiers a pris une décision "d’accompagnement de fin de vie, en associant la famille". L’hôpital a également précisé que "l’état de santé du nouveau-né s’était dégradé ces dernières heures".
Le professeur Fabrice Pierre, gynécologue-obstétricien et chef du pôle mère-enfant à Poitiers, évoque les actes et les précautions, du processus médical.
"Si l’état de santé demande des soins de plus intensifs, il y a un moment où ça n’est plus possible. Et l’enfant finit par décéder, dans un cadre de sédation pour qu’il y ait un respect de la douleur. "
Le refus familial d'un très lourd handicap
Le bébé, est né à Saintes en Charente-Maritime le 31 août, près de quatre mois avant terme. L’enfant, qui a fait une hémorragie interne cérébrale, est hospitalisé à Poitiers, sous respirateur artificiel. Les parents avaient dit cette semaine leur souhait d’éviter "tout acharnement thérapeutique". Mélanie, la jeune mère avait ainsi expliqué :
"C’est très difficile d’espérer un arrêt de soins pour son fils mais qui veut une vie de handicap pour son fils ? Je veux bien qu’il y ait des familles qui le souhaitent, mais nous on ne le souhaite pas".
http:/www.franceinfo.fr/actu/societe/article/poitiers-un-accompagnement-de-fin-de-vie-pour-le-bebe-premature-570499
L’hôpital de Poitiers a annoncé jeudi le lancement du processus, avec l’accord de la famille. Un premier avis médical avait souhaité "le maintien en vie" de l'enfant, malgré le refus des parents.
La demande des parents du petit Titouan a été respectée. Même si les mots de la famille et les termes de l'hôpital sont différents, les positions se sont rejointes. Après plusieurs avis médicaux et un examen éthique de ce dossier sensible, un processus d’accompagnement de fin de vie a été accordé à la famille.
Un cheminement très réglementé
Le CHU de Poitiers précise, dans un communiqué, avoir "exclu, tout au long de sa prise en charge, tout acharnement thérapeutique". Un avis médical a été demandé à une équipe médicale hospitalière d’Ile-de-France. Le dossier a aussi été examiné en Poitou-Charentes sous l’angle de l’éthique.
C’est à partir de ces conclusions que le CHU de Poitiers a pris une décision "d’accompagnement de fin de vie, en associant la famille". L’hôpital a également précisé que "l’état de santé du nouveau-né s’était dégradé ces dernières heures".
Le professeur Fabrice Pierre, gynécologue-obstétricien et chef du pôle mère-enfant à Poitiers, évoque les actes et les précautions, du processus médical.
"Si l’état de santé demande des soins de plus intensifs, il y a un moment où ça n’est plus possible. Et l’enfant finit par décéder, dans un cadre de sédation pour qu’il y ait un respect de la douleur. "
Le refus familial d'un très lourd handicap
Le bébé, est né à Saintes en Charente-Maritime le 31 août, près de quatre mois avant terme. L’enfant, qui a fait une hémorragie interne cérébrale, est hospitalisé à Poitiers, sous respirateur artificiel. Les parents avaient dit cette semaine leur souhait d’éviter "tout acharnement thérapeutique". Mélanie, la jeune mère avait ainsi expliqué :
"C’est très difficile d’espérer un arrêt de soins pour son fils mais qui veut une vie de handicap pour son fils ? Je veux bien qu’il y ait des familles qui le souhaitent, mais nous on ne le souhaite pas".
http:/www.franceinfo.fr/actu/societe/article/poitiers-un-accompagnement-de-fin-de-vie-pour-le-bebe-premature-570499
Pourquoi tu parles de test adn ?
En effet si le médecin t'annonce que tu es enceinte d'un trisomique tu as le choix de le garder ou non et c'est très bien comme ça, être parent c'est déjà suffisamment difficile ... Moi je n'aurais pas gardé un foetus malformé.