Ils ont dénoncé nos enfants

Comment le pourraient ils ?
c'est comme ds beaucoup de domaines plus facile de refiler le bb que de se remettre en question
ceci dis il existe encore des exceptions. ..
et cette exception devine ou on la trouve?chez les religieux de tt bords(Je ne parle pas des extrémistes)
Pas besoin d'être "religieux" c'est à dire pratiquant. Ma fille est d'une politesse remarquable et a de très bonnes manières car nous y prêtons grande attention. Les gens s'étonnent de la civilité de cette gamine quand ils la rencontrent. Moi je m'étonne qu'ils s'en étonnent . :fou:
 

oue7dania

~¡~.......•|•......^^
VIB
Pas besoin d'être "religieux" c'est à dire pratiquant. Ma fille est d'une politesse remarquable et a de très bonnes manières car nous y prêtons grande attention. Les gens s'étonnent de la civilité de cette gamine quand ils la rencontrent. Moi je m'étonne qu'ils s'en étonnent . :fou:
Ne toffusque pas je te prie je répondais ds l'esprit du poste ^^
j'ai des amis de tt bords et les plus corrects ne sont pas tjrs ce que l'on crois :)
 
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mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Suspicion de maltraitance : pas toujours facile d’intervenir pour un médecin
Vincent Bargoin


Paris, France – Selon le sondage Medscape France sur « les médecins français et l’éthique médicale », 24% des médecins, et 33% des généralistes ont un jour rencontré un cas où la maltraitance pouvait être fortement soupçonnée, sans donner suite.

Précision utile, peut-être : sur les 268 médecins ayant répondu au questionnaire, on compte 71% d’hommes, et 76% de moins de 40 ans. Dans d’autres tranches de la population médicale, les chiffres auraient-ils été meilleurs ?

A titre indicatif, parmi les médecins américains, la prévalence de l’indifférence n’est que de 11%, selon le sondage Medscape International. La comparaison a certes une signification limitée, en l’absence d’ajustement entre populations de médecins interrogés de part et d’autre de l’Atlantique. Elle met néanmoins en évidence le niveau très élevé des ordres de grandeur observés en France.

http://img.medscape.fr/fullsize/news/3601480-fig.jpg




Un sujet quasi absent de la formation

Invitée par Medscape France à commenter ces chiffres, le Dr Irène Kahn-Bensaude,Vice-présidente du Conseil national de l’Ordre des Médecins et Présidente du Conseil départemental de l’Ordre de Paris, s’en dit « peu surprise ».

Sur le plan juridique, l’article 44 du Code de déontologie (article R.4127-44 du Code de la santé publique), établit une distinction fondamentale entre les victimes mineures, les personnes sous tutelles ou les femmes enceintes, et les adultes majeurs. L’obligation de secret médical ne peut en effet être transgressée que dans le premier cas.

« Lorsqu’il s’agit d’un mineur ou d’une personne qui n’est pas en mesure de se protéger en raison de son âge ou de son état physique ou psychique, [le médecin] alerte les autorités judiciaires ou administratives sauf circonstances particulières qu’il apprécie en conscience », indique ainsi l’article.

Signalement : les règles à respecter et les risques encourus

Le signalement d'une suspicion de maltraitance sur personne vulnérable constitue une obligation professionnelle prévue par le code de déontologie médicale (R 4127-44 CSP). Pénalement, il ne s'agit pas d'une obligation car les professionnels de santé ne sont pas soumis à l'obligation de dénonciation prévue par les articles 434-1 et 434-3 du code pénal mais dans les faits, un médecin qui ne signalerait pas une maltraitance sur personne vulnérable pourrait être accusé au pénal pour « non-assistance à personne en danger » (art. 223-6 code pénal).

Attention, le certificat de signalement qui est adressé au Procureur de la République doit être parfaitement neutre, objectif et factuel. Le médecin doit simplement décrire et constater les faits, ceci en utilisant les guillemets s’il le faut pour rester le plus prudent possible. En effet, si le signalement de maltraitance est erroné et que le médecin n’a pas respecté ces règles de « prudence et circonspection », il peut être attaqué par le Conseil de l’Ordre pour violation du secret professionnel. Si l’erreur est source de préjudice, elle peut être imputée à sa responsabilité civile. Enfin, au plan pénal, le médecin peut être accusé de dénonciation calomnieuse.

Pdf Télécharger un certificat médical type pour signaler les maltraitances sur mineurs


S’agissant des victimes n’entrant pas dans ces catégories, il n’est question que de « mettre en œuvre les moyens les plus adéquats pour la protéger en faisant preuve de prudence et de circonspection ». Le signalement au procureur de la République ou au substitut ne peut alors être fait qu’avec l’accord de la victime.

En pratique, « le médecin ne peut donc pas se substituer à la victime et ne peut que l’aider à porter plainte elle-même », explique le Dr Kahn-Bensaude.

Concrètement, « il faut commencer par conduire la consultation de sorte que la patiente* revienne (situation la plus fréquente) », note le Dr Kahn-Bensaude, « l’objectif le plus simple étant de l’orienter vers une association ».


Le médecin ne peut donc pas se substituer à la victime et ne peut que l’aider à porter plainte elle-même -- Dr Kahn-Bensaude

Cet accompagnement n’a toutefois rien d’évident pour des médecins qui « manquent totalement de formation ».

La question de la maltraitance fait en principe « l’objet d’une question à l’examen national classant, ce qui signifie une ou deux heures de cours dans l’année », regrette le Dr Kahn-Bensaude, qui estime que c’est bien la formation, ou plutôt son absence, qui est à la base du problème.

« Avec la MIPROF (Mission interministérielle pour la protection des femmes victimes de violences et la lutte contre la traite des êtres humains), nous essayons de faire évoluer cette situation ».

Il reste apparemment du chemin à faire. Sur son site, la MIPROF relève que même les données manquent : « les données sur les violences faites aux femmes sont aujourd’hui insuffisantes, parce que les outils statistiques ne sont pas optimisés et parce que les enquêtes nécessaires n’ont pas été commandées ».

A quand une enquête officielle sur l’attitude des médecins face à ces situations, dont les résultats justifieraient l’effort demandé aux facultés ?
http://www.medscape.fr

mam
 
et le droit des enfants, tu en fais quoi ?

mam
C'était de l'ironie...
sont-ce les parents qui ont renoncé "au profit" de l'école ou l'école qui s'est ooctroyée les responsabilités qui ne lui incombent pas?
Un exemple tt bête : la sexualité.aujourd'hui en 4/3e ils apprennent a mettre des préservatifs sur des objets en plastiques avant d'en faire des ballons d'eau
Parce que tous les parents ne parlent pas de sexualité avec leurs enfants. Donc oui, ça me semble important d'insister sur le fait de se protéger, chez des gamins qui sont en age de se reproduire. Je ne me rappelle que d'une intervention, et ce n'était pas par un prof, peut-être l'infirmière scolaire, je ne sais plus. Bref, mieux vaut prévenir deux fois que guérir.
 
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