Vers une légalisation de la pédophilie
Debut 2013, le "mariage" homosexuel (avec son corollaire direct, l'adoption d'enfants par les "couples" prédateurs) est imposé simultanément dans plusieurs pays européens. Ceux qui ne sont pas encore soumis à cette monstruosité, le seront sous peu, le lobby pédéraste, branche du lobby sioniste, ne rencontrant comme d'habitude aucune résistance sérieuse.
D'ores et déjà, comme on peut le voir un peu plus haut, le milieu scolaire a ouvert ses portes aux pédophiles et les aide à détruire les défenses naturelles que pourraient leur opposer les jeunes victimes. Les parents, bien souvent ignorants de ce qui se passe exactement derrière les murs des écoles, ne semblent pas s'inquiéter - en tout cas, leur inquiétude ne trouve pas d'écho dans les médias dominants.
Le journaliste indépendant Jürgen Elsässer signale sur son blog (en allemand) que dans les écoles de Berlin et de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, les cours d'éducation sexuelle sont en fait des cours de pornographie homosexuelle. Une brochure remise aux enfants de 11 ans décrit en détail "comment stimuler le sphincter de l'anus à l'aide de la langue, des doigts et du pénis, dans les rapports sexuels entre hommes". On inculque également aux enfants qu'ils peuvent "choisir leur sexe" comme ils choisiraient leur religion. Une autre brochure, destinée aux parents d'enfants de zéro à trois ans, recommande les attouchements sexuels, y compris quand ils sont prodigués par le père, l'oncle, la grand-mère ou la nourrice.
Les prises de position d'Elsässer contre ces dérives et contre "l'adoption" homosexuelle ont déplu à certains. Sa page Facebook a même été censurée.
En France, la situation n'est pas très différente, comme on peut le voir ici : Le livre « Papa porte une robe » va faire son entrée dans les programmes de l'Education Nationale pour les classes de CP et CE1 et Album jeunesse dès 3 ans : « Tango a deux papas »
Il est évident que le lobby pédophile n'a jamais eu l'intention d'en rester à l'enseignement théorique. Le passage à la pratique est inévitable, que ce soit à l'école ou "en famille". En 2013, la pédophilie n'est peut-être pas tout à fait en odeur de sainteté comme du temps où Cohn-Bendit se faisait tripoter par de jeunes gamins ou quand Libé, Le Monde et la gôche morale défendaient les pédophiles (en cache). Mais les apparences sont trompeuses. La tactique des partisans de cette pratique perverse consiste à endormir le monde en condamnant d'un côté ce qu'ils font sans aucun scrupule de l'autre. C'est la même chose que pour le terrorisme* et l'immigration de masse, deux phénomènes que l'on fait semblant de combattre alors qu'ils n'existeraient pas si on ne les avait pas suscités.
* Ce n'est pas par hasard que la pédopornographie et l'apologie du terrorisme sont les deux prétextes principaux avancés pour museler la liberté d'expression sur Internet.
Comme les "gays" avant eux, les pédophiles se livrent à un grignotage furtif, ils cuisent la grenouille à petit feu : d'abord l'école, puis la rue, et ensuite tout le reste. Avant de réclamer le "droit au mariage", la gent homosexuelle avait voulu le "PACS". Avant, il y avait eu le "droit" à l'exhibitionnisme sur la voie publique, et encore avant la révision du code pénal.
Sous prétexte de supprimer une prétendue inégalité ou injustice vis-à-vis d'un groupe ne demandant, paraît-il, qu'à défendre son "orientation", on finit par lui accorder un privilège qu'il utilise pour déstabiliser puis démanteler la société des 99 % de gens normaux.
Gageons qu'avec les pédophiles, "l'évolution des mœurs", c'est-à-dire la décadence, sera beaucoup plus rapide qu'elle ne l'a été avec les pédérastes en général. Ces derniers ont bien débroussaillé le terrain - sans compter qu'il s'agit bien souvent des mêmes individus.
Les pédophiles demandent les mêmes droits que les homosexuels : "Utilisant les mêmes tactiques que les défenseurs des droits des 'gays', des pédophiles commencent à vouloir un statut similaire en alléguant que le désir d'enfants est une orientation sexuelle peu différente de celle des hétérosexuels et des homosexuels..."