Féministe, moi? Je hais les femmes encore plus que les hommes.
- Pourquoi?
- Pour mille raisons. D'abord parce qu'elles sont laides: avez-vous déjà vu plus laid qu'une femme? A-t-on idée d'avoir des seins, des hanches et je vous épargne le reste? Et puis, je hais les femmes comme je hais toutes les victimes. Une très sale race, les victimes. Si on exterminait à fond cette race-là, peut-être aurait-on enfin la paix, et peut-être les victimes auraient-elles enfin ce qu'elles désirent, à savoir le martyre. Le femmes sont des victimes particulièrement pernicieuses puisqu'elles sont avant tout victimes d'elles-mêmes, des autres femmes. (...) vous frissonnerez d'horreur devant tant d'hypocrisie, de jalousie, de méchanceté, de bassesse. (...) chez elles, c'est le triomphe des coups bas, des petites phrases immondes qui font tellement plus de mal qu'un direct dans la mâchoire. La condition féminine est devenue le théâtre des mauvaises fois les plus écoeurantes. (...) la femme est inférieure à l'homme, ça coule de source (...) Dans le passé, aucune mauvaise foi: on ne lui cachait pas son infériorité et on la traitait comme telle. Aujourd'hui, c'est dégueulasse: la femme est toujours inférieure à l'homme - elle est toujours aussi laide -, mais on lui raconte qu'elle est son égale. Comme elle est stupide, elle le croit, bien sûr. Or, on la traite toujours comme une inférieure: les salaires n'en sont qu'un indice mineur. (...) Admirez donc la mauvaise foi du système: faire croire à une esclave laide, bête, méchante et sans charme, qu'elle part avec les mêmes chances que son seigneur, alors qu'elle n'en a pas le quart. Moi, je trouve ça infect. Si j'étais femme, je serais écoeurée."
- Pourquoi?
- Pour mille raisons. D'abord parce qu'elles sont laides: avez-vous déjà vu plus laid qu'une femme? A-t-on idée d'avoir des seins, des hanches et je vous épargne le reste? Et puis, je hais les femmes comme je hais toutes les victimes. Une très sale race, les victimes. Si on exterminait à fond cette race-là, peut-être aurait-on enfin la paix, et peut-être les victimes auraient-elles enfin ce qu'elles désirent, à savoir le martyre. Le femmes sont des victimes particulièrement pernicieuses puisqu'elles sont avant tout victimes d'elles-mêmes, des autres femmes. (...) vous frissonnerez d'horreur devant tant d'hypocrisie, de jalousie, de méchanceté, de bassesse. (...) chez elles, c'est le triomphe des coups bas, des petites phrases immondes qui font tellement plus de mal qu'un direct dans la mâchoire. La condition féminine est devenue le théâtre des mauvaises fois les plus écoeurantes. (...) la femme est inférieure à l'homme, ça coule de source (...) Dans le passé, aucune mauvaise foi: on ne lui cachait pas son infériorité et on la traitait comme telle. Aujourd'hui, c'est dégueulasse: la femme est toujours inférieure à l'homme - elle est toujours aussi laide -, mais on lui raconte qu'elle est son égale. Comme elle est stupide, elle le croit, bien sûr. Or, on la traite toujours comme une inférieure: les salaires n'en sont qu'un indice mineur. (...) Admirez donc la mauvaise foi du système: faire croire à une esclave laide, bête, méchante et sans charme, qu'elle part avec les mêmes chances que son seigneur, alors qu'elle n'en a pas le quart. Moi, je trouve ça infect. Si j'étais femme, je serais écoeurée."