«Oui, des parties algériennes devraient être poursuivies pour intelligence avec des forces étrangères et complot contre la sécurité et l'intégrité de l'Etat», a affirmé, hier, dans une déclaration au Temps d'Algérie Zerrouki Mohamed, président du Front national pour les libertés (FNL).
Sans citer de noms, il affirme qu'il est prêt à être entendu par les services concernés pour faire des révélations et «identifier ceux qui se cachent derrière ce complot». «Cette personne se reconnaîtra d'elle-même. Ce dernier a l'habitude de recevoir dans son bureau les représentants des ambassades des puissances occidentales.
Il les reçoit régulièrement, loin des regards et des oreilles indiscrètes. Les services de sécurité peuvent vérifier les enregistrements de ses conversations téléphoniques pour comprendre que des puissances occidentales lui ont promis le poste de président d'un conseil de transition qui devait être installé au lendemain de l'appel à la désobéissance civile lancé le 17 septembre dernier via Facebook», nous dira-t-il.
Plus explicite, il affirme que «ce président de parti qui siège à l'APN n'en est pas à sa première incartade. L'année dernière, j'avais reçu un appel de Saïd Bouhadja qui faisait partie de la délégation qui avait participé à une rencontre des partis maghrébins représentés au niveau des Parlements qui s'était tenue à Tripoli, m'avait appelé pour me dire que ce dernier avait tenu des propos très graves contre l'Algérie et défendu des positions contraires à ses constantes, notamment dans le dossier du problème du Sahara occidental.
Les services concernés peuvent le contacter pour entendre son témoignage», fera-t-il remarquer. Pour lui, les contacts entre ce président de parti et des responsables des Etats-Unis ont toujours existé et se sont renforcés au cours de ces derniers mois. «Il accueillait dans son bureau, seul, une représentante de l'ambassade US à Alger et, récemment, il avait mandaté un membre du conseil national de son parti pour le représenter à une rencontre à Washington.
Je suis prêt à fournir tous les renseignements concernant les agissements de cette personne qui tente par tous les moyens d'accéder au poste de premier magistrat du pays quitte à comploter ou à mettre en péril la cohésion de la nation et la stabilité du pays», confie notre interlocuteur.
Dans le même sujet, Hamidi Youcef, le président du Parti national algérien (PNA), qui a vu le jour à Oran, dans un communiqué transmis à notre rédaction, s'est élevé contre «le complot qui vise la pays». «Les masques sont tombés et le complot qui visait la stabilité de notre pays a été mis en échec grâce à la maturité du peuple qui n'a pas voulu servir des desseins obscurs le 17 septembre dernier.
Le peuple n'est pas dupe et il a su se montrer sensé quand certains, profitant du malaise social que vivent de larges couches de la société, ont voulu entraîner le pays vers l'inconnu. Les parties algériennes qui ont servi ces desseins doivent être débusquées et dénoncées avec vigueur», note le document transmis à notre rédaction.
http://www.letempsdz.com//content/view/67435/1/
Sans citer de noms, il affirme qu'il est prêt à être entendu par les services concernés pour faire des révélations et «identifier ceux qui se cachent derrière ce complot». «Cette personne se reconnaîtra d'elle-même. Ce dernier a l'habitude de recevoir dans son bureau les représentants des ambassades des puissances occidentales.
Il les reçoit régulièrement, loin des regards et des oreilles indiscrètes. Les services de sécurité peuvent vérifier les enregistrements de ses conversations téléphoniques pour comprendre que des puissances occidentales lui ont promis le poste de président d'un conseil de transition qui devait être installé au lendemain de l'appel à la désobéissance civile lancé le 17 septembre dernier via Facebook», nous dira-t-il.
Plus explicite, il affirme que «ce président de parti qui siège à l'APN n'en est pas à sa première incartade. L'année dernière, j'avais reçu un appel de Saïd Bouhadja qui faisait partie de la délégation qui avait participé à une rencontre des partis maghrébins représentés au niveau des Parlements qui s'était tenue à Tripoli, m'avait appelé pour me dire que ce dernier avait tenu des propos très graves contre l'Algérie et défendu des positions contraires à ses constantes, notamment dans le dossier du problème du Sahara occidental.
Les services concernés peuvent le contacter pour entendre son témoignage», fera-t-il remarquer. Pour lui, les contacts entre ce président de parti et des responsables des Etats-Unis ont toujours existé et se sont renforcés au cours de ces derniers mois. «Il accueillait dans son bureau, seul, une représentante de l'ambassade US à Alger et, récemment, il avait mandaté un membre du conseil national de son parti pour le représenter à une rencontre à Washington.
Je suis prêt à fournir tous les renseignements concernant les agissements de cette personne qui tente par tous les moyens d'accéder au poste de premier magistrat du pays quitte à comploter ou à mettre en péril la cohésion de la nation et la stabilité du pays», confie notre interlocuteur.
Dans le même sujet, Hamidi Youcef, le président du Parti national algérien (PNA), qui a vu le jour à Oran, dans un communiqué transmis à notre rédaction, s'est élevé contre «le complot qui vise la pays». «Les masques sont tombés et le complot qui visait la stabilité de notre pays a été mis en échec grâce à la maturité du peuple qui n'a pas voulu servir des desseins obscurs le 17 septembre dernier.
Le peuple n'est pas dupe et il a su se montrer sensé quand certains, profitant du malaise social que vivent de larges couches de la société, ont voulu entraîner le pays vers l'inconnu. Les parties algériennes qui ont servi ces desseins doivent être débusquées et dénoncées avec vigueur», note le document transmis à notre rédaction.
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