Dans cet entretien Karim Ghellab souligne quau Maroc les infrastructures sont conformes aux standards internationaux de conception et de réalisation. Pour lui, les infrastructures ont, dans lensemble, bien résisté aux inondations.
ALM : Quel est le bilan des dégâts causés par les intempéries ?
Karim Ghellab : Il est prématuré de parler de bilan complet et détaillé alors que nous avons une alerte météo qui annonce dautres intempéries -importantes- pour tout lhiver. Nous nous concentrons en ce moment et en priorité sur les opérations de réparations urgentes afin de rétablir rapidement la circulation sur les axes routiers coupés ou les routes et ouvrages dart endommagés et assurer la pérennité de la circulation. Nous uvrons à renforcer les ressources et les équipes locales présentes sur place par lacheminement déquipements importants et de techniciens et cadres du central ou du régional, en appui ou pour diligenter les opérations spéciales (pose dun pont de secours par exemple). Toutefois, sur la base des renseignements qui nous sont remontés du terrain à aujourdhui, nous avons une première estimation de 300 millions DH pour la reconstruction des ouvrages dart et la réhabilitation de la chaussée affectés par les inondations. Il faut signaler, à ce propos quhabituellement nous réservons à ce genre de travaux une provision annuelle moyenne denviron 50 MDH.
http://www.aujourdhui.ma/economie-details64816.html
ALM : Quel est le bilan des dégâts causés par les intempéries ?
Karim Ghellab : Il est prématuré de parler de bilan complet et détaillé alors que nous avons une alerte météo qui annonce dautres intempéries -importantes- pour tout lhiver. Nous nous concentrons en ce moment et en priorité sur les opérations de réparations urgentes afin de rétablir rapidement la circulation sur les axes routiers coupés ou les routes et ouvrages dart endommagés et assurer la pérennité de la circulation. Nous uvrons à renforcer les ressources et les équipes locales présentes sur place par lacheminement déquipements importants et de techniciens et cadres du central ou du régional, en appui ou pour diligenter les opérations spéciales (pose dun pont de secours par exemple). Toutefois, sur la base des renseignements qui nous sont remontés du terrain à aujourdhui, nous avons une première estimation de 300 millions DH pour la reconstruction des ouvrages dart et la réhabilitation de la chaussée affectés par les inondations. Il faut signaler, à ce propos quhabituellement nous réservons à ce genre de travaux une provision annuelle moyenne denviron 50 MDH.
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