Je suis fan de la culture égyptienne. Je suis fan de nombreux penseurs, écrivains, artistes, et sportifs qui ont été produits par l'Egypte. Même sur le plan religieux, j'ai un grand respect pour les diplômés d'El Azhar et je ne dirai jamais non à une formation dans cette université au moment que les autres universités religieuses (excepté celle de Baghdad) ne m'inspirent rien.
L'Egypte m'a formé. Je passais des heures et des heures dans le centre culturel égyptien à Rabat. Ce centre m'a offert une richesse culturelle que le Maroc ni autres pays (excepté l'URSS et l'Allemagne) ne m'ont jamais offert. Artistiquement (théâtre et musique), jétais très influencé par la touche de lécole égyptienne. « من علمني حرفا، صرت له عبدا ». Je me sens plus proche aux égyptiens quaux autres. Et si je n'étais pas marocain, j'aimerais bien être égyptien
Mais on aime tous l'Egypte
Enfin moi c'est un pays que j'aime beaucoup
Je suis aussi en admiration que toi
J'aime beaucoup les écrivains égyptiens bien que (et c'est pas pour t'embêter mddddrrr) que je préfère le style d'écriture nord africain (Algérie, Tunisie, (je connais pas le Maroc)) qui fait moins dans le romanesque mais plus dans le style nouvelles
J'aime aussi la musique égyptienne (Oum kalthoum pas trop, mais si on me met هوصحيح الهواء الغلاب je resterai des heures à l'écouter)
Mon prère est un grand fan de Abdel Wahhab,
Sans parler que moi même je suis fan de Mahmoud Yassin à fond de chez fond et que comme tous les petits j'ai rigolé sur les blagues de Adel Imam et autres
Je suis aussi fan de l'époque des pharaons (ça commence à faire) mon souhait était d'être archéologue voire Égyptologue snif snif
Et je ne nie pas que l'Egypte a en son archive deux prix nobel: Lettres et Chimie
Mais mon cur, ach mon cur, ne pourra jamais pencher vers l'Egypte contre l'Algérie, ou le Maroc et jamais contre la Tunisie, parce que tout simplement ce n'est pas mon pays, ce n'est pas mon peuple et ce n'est pas les gens qui m'ont souris le matin, qui m'ont vu grandir et qui m'ont poussé vers l'avant, malgré la pauvreté culturelle de mon pays