L’abus sexuel dans l’enfance laisse une trace..génétique

Amine

Amine

En mode pause
ilioucha à dit:
Quel genre de médicaments ?
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J’ai des noms d’anticancéreux, mais je ne peux te dire s’ils ont la particularité d’inhibé la methylation

ilioucha à dit:
Donc exit les médicaments. A part le suicide y a pas d'autres solutions ?! La médecine ne peut elle rien faire ?
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Cette étude a au moins le mérite de mettre en avant la ou l’une des causes du suicide chez les personnes ayant subi l’abus sexuel. Une fois la cause connue, les chercheurs focaliserons leur énergie à un traitement qui répond aux besoins des patients.
J’aimerai te citer un cas surprenant, un nourrisson présentant un hémangiome du nez qui lui cause des difficultés respiratoires. L’équipe médicale l’a traite a la cortisone à forte dose ce qui aggrave son cas en développant un problème cardiaque. Les médecins décident de lui administrer du propranolol, un bêtabloquant qui a la faculté de réduire la tension artériel et le rythme cardiaque. Résultat son hémangiome commence de guérir à une vitesse impressionnante alors qu’à la base, l’hémangiome, cette tumeur défigurante n’a aucune relation avec le traitement du propranolol. Tu vois, parfois un traitement qui a aucune relation avec une maladie peut ce révéler efficace contre une autre maladie…

ciana à dit:
une étude dans le même genre était faite y a 3ans,et justement où l'expérience avait démontré que le taux de suicide était multiplié par 2 chez ces victimes.Pour cause l'empreinte chimique causé par cette acte dans le cerveau,donc donnant une personne plus sujette au stresse.
-individu dit "normal":
stresse---->cortisol---->sang--->cerveau--->récepteurs--->réduire la libération du cortisol ----->retour au calme
-victime:
stresse---->cortisol---->sang--->cerveau--->récepteurs(moins nombreux a cause de la metylation)------>problèmes de régulation.
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Intéressent, ce que tu viens d’écrire, tu peux m’en dire un peu plus sur cette étude ? Merci d’avance.
 
N

nbentahar

blablote à dit:
La biologie moléculaire y travaille. Toute la complexité réside en la déméthylation ciblée des génes coupables. Ca viendra, un jour...Soyons confiants.

Letranger à dit:
Le microcosme familial est loin d'être un village paisible. Une mère préférera fermer les yeux et faire semblant de ne pas voir, que de faire éclater et le couple et le noyau familial.
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maintenant tu t'attaques aux mères wa333333333333333
pure medecine marocaine le fautif c'est toujours le patient ...;
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C

ciana

Amine à dit:
J’ai des noms d’anticancéreux, mais je ne peux te dire s’ils ont la particularité d’inhibé la methylation



Cette étude a au moins le mérite de mettre en avant la ou l’une des causes du suicide chez les personnes ayant subi l’abus sexuel. Une fois la cause connue, les chercheurs focaliserons leur énergie à un traitement qui répond aux besoins des patients.
J’aimerai te citer un cas surprenant, un nourrisson présentant un hémangiome du nez qui lui cause des difficultés respiratoires. L’équipe médicale l’a traite a la cortisone à forte dose ce qui aggrave son cas en développant un problème cardiaque. Les médecins décident de lui administrer du propranolol, un bêtabloquant qui a la faculté de réduire la tension artériel et le rythme cardiaque. Résultat son hémangiome commence de guérir à une vitesse impressionnante alors qu’à la base, l’hémangiome, cette tumeur défigurante n’a aucune relation avec le traitement du propranolol. Tu vois, parfois un traitement qui a aucune relation avec une maladie peut ce révéler efficace contre une autre maladie…



Intéressent, ce que tu viens d’écrire, tu peux m’en dire un peu plus sur cette étude ? Merci d’avance.
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Je t'en prie
Quand on est stressé on fait intervenir une hormone et un système de régulation(dans le cerveau).
Le stress provoque le fonctionnement des glandes surrénales qui libèrent de la cortisol qui ira du sang vers le cerveau pour se fixer sur les récepteurs glucocorticoïdes (qui régulera le taux de cette hormone).
Chez les individus victimes d'abus sexuels durant leurs enfances, la présence de récepteurs est moindre du fait de la modification chimique(méthylation) .
Ces gènes méthylés sont la conséquence du choc violent.Un choc qui stimulerait l'activité des enzymes, qui réagiront sur la modification de l'ADN. On aura un système de régulation du stresse endommagé,plus de cortisol dans le sang,moins de connexions entre les neurones et moins de sérotonine(molecule contre la dépression).
 
Letranger

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nbentahar à dit:
blablote à dit:
La biologie moléculaire y travaille. Toute la complexité réside en la déméthylation ciblée des génes coupables. Ca viendra, un jour...Soyons confiants.



maintenant tu t'attaques aux mères wa333333333333333
pure medecine marocaine le fautif c'est toujours le patient ...;
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Tu es malhonnete,ce passage ne m 'appartient pas!!!
Relis dés le but et tu comprendras qui a basculé cette intervention
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Amine

Amine

En mode pause
ciana à dit:
Je t'en prie
Quand on est stressé on fait intervenir une hormone et un système de régulation(dans le cerveau).
Le stress provoque le fonctionnement des glandes surrénales qui libèrent de la cortisol qui ira du sang vers le cerveau pour se fixer sur les récepteurs glucocorticoïdes (qui régulera le taux de cette hormone).
Chez les individus victimes d'abus sexuels durant leurs enfances, la présence de récepteurs est moindre du fait de la modification chimique(méthylation) .
Ces gènes méthylés sont la conséquence du choc violent.Un choc qui stimulerait l'activité des enzymes, qui réagiront sur la modification de l'ADN. On aura un système de régulation du stresse endommagé,plus de cortisol dans le sang,moins de connexions entre les neurones et moins de sérotonine(molecule contre la dépression).
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Merci Ciana pour ces précisons!
 
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