LAllemagne rêve dune version modernisée du STO
STO = Service de Travail Obligatoire
La visite du Premier ministre chinois Li Keqiang à Berlin, le 26 mai, exprime clairement les rapports de force en Europe.
En effet, il a reçu le soutien complet de la chancelière Merkel pour
empêcher linstauration de barrières douanières pour les produits photovoltaïques venant de Chine.
La Commission européenne qui, pour une fois, voulait instaurer un minimum de protectionnisme,
a été renvoyée dans ses buts par Berlin.
Aux yeux de la Chine, linterlocuteur européen est lAllemagne.
Il est vrai que presque la moitié des exportations de lUnion européenne vers la Chine est made in Germany.
En étudiant plus précisément les chiffres, on constate que lAllemagne exporte pour environ 66 milliards deuros
tandis que le chiffre des exportations côté français tourne autour des 15 milliards deuros.
La chancelière et, derrière elle, « létat-major économique allemand », ne veulent pas se couper du marché chinois
avide en machines-outils. Dailleurs, le Premier ministre chinois ne sy est pas trompé.
Sa seule visite dans lUnion européenne, en dehors de la Suisse, a été en Allemagne. Bref, notre voisin doutre-Rhin
impose sa loi à la Commission et aux États membres de lUE.
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STO = Service de Travail Obligatoire
La visite du Premier ministre chinois Li Keqiang à Berlin, le 26 mai, exprime clairement les rapports de force en Europe.
En effet, il a reçu le soutien complet de la chancelière Merkel pour
empêcher linstauration de barrières douanières pour les produits photovoltaïques venant de Chine.
La Commission européenne qui, pour une fois, voulait instaurer un minimum de protectionnisme,
a été renvoyée dans ses buts par Berlin.
Aux yeux de la Chine, linterlocuteur européen est lAllemagne.
Il est vrai que presque la moitié des exportations de lUnion européenne vers la Chine est made in Germany.
En étudiant plus précisément les chiffres, on constate que lAllemagne exporte pour environ 66 milliards deuros
tandis que le chiffre des exportations côté français tourne autour des 15 milliards deuros.
La chancelière et, derrière elle, « létat-major économique allemand », ne veulent pas se couper du marché chinois
avide en machines-outils. Dailleurs, le Premier ministre chinois ne sy est pas trompé.
Sa seule visite dans lUnion européenne, en dehors de la Suisse, a été en Allemagne. Bref, notre voisin doutre-Rhin
impose sa loi à la Commission et aux États membres de lUE.
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