La culture marocaine représente tout apport artistique ou scientifique dû à l’Homme « marocain ». Elle est l’ensemble des connaissances élaborées par le « marocain cultivé » et qui permettent de développer le sens critique, le goût ou le jugement, et d’apporter une valeur ajoutée à l’humanité.
La culture marocaine est une culture riche du point de vue artistique, il y a beaucoup de festivals, de chants, de danses, et des spécialités culinaires qui représentent un point d'attraction pour les spécialistes du domaine et ceux qui veulent passer leurs vacances au Maroc. Mais du point de vue scientifique, le champ qui était hier rayonnant, est aujourd’hui à peu près mort.
Au sens sociologique du terme, la culture marocaine est l’ensemble des valeurs, des normes, et des pratiques acquises et partagées par les membres de la société marocaine.
Les valeurs marocaines
Les valeurs marocaines sont l’ensemble des idéaux auxquels les citoyens marocains adhérent et qui se manifestent dans leurs manières de penser [jugements, représentations, symboles], de sentir [groupe d’appartenance, groupe de référence], et d’agir [normes, rites, règles, etc.]. Ces valeurs s’imposent aux marocains comme une évidence. Mais il existe cependant une hiérarchie des valeurs : si les valeurs dominantes sont partagées par le plus grand nombre des marocains, d’autres idéaux ne sont acceptés que par certains groupes de la société marocaine.
Les normes marocaines
Les normes marocaines se caractérisent par l’ensemble des règles de conduites de la vie [mœurs, lois, et règlements] auxquelles les marocains sont censés se conformer.
La notion de norme permet de définir et de préciser les notions de « statut » et de « rôle social ». Le statut est la position d’un individu dans la hiérarchie sociale. Le rôle social est l’ensemble des comportements qui sont attendus d’un individu occupant une position sociale particulière.
Comme pour les valeurs marocaines, le degré d’adhésion ou de conformité aux normes marocaines varie d’un marocain à l’autre.
Les pratiques marocaines
Les pratiques marocaines désignent les modes de vie qui règnent l’atmosphère marocaine. Il s’agit des activités sociales et culturelles pratiquées de façon régulière par les membres de la société marocaine.
Les pratiques sociales se caractérisent par les fréquentations et les relations sociales, les loisirs, les pratiques sportives, associatives, politiques, etc.
Les pratiques culturelles représentent la fréquentation des lieux culturels [musée, cinéma, théâtre, spectacles, monuments, etc.] et la consommation ou l’utilisation des biens culturels [livres, médias, photographie, etc.].
La notion de pratique permet de définir et de préciser la « langue dominante » au Maroc. La langue dominante est la langue qui a la valeur [et pas la part] du lion dans la production marocaine de biens culturels. Elle est la langue élue par les « élites du Maroc » pour communiquer leurs idées et transmettre leurs connaissances au peuple marocain et au reste du monde.
Certes hier, la langue dominante « la langue utilisée par les marocains des lumières » était « Tamazight ». Mais aujourd’hui, cette langue a cédé son trône à la langue « arabe ». La suprématie de la langue arabe n’a aucun lien avec une islamisation ou une arabisation forcée. Elle est liée à la sacralisation de la « langue du Coran » et l’assimilation volontaire des anciennes générations berbères qui a conduit à la disparition de leur langue d’origine : Tamazight.
L’univers n’est qu’une succession de pensées et de mises en application de ces pensées. Ce sont nos attitudes et nos pensées qui seront responsables de tout ce qui va arriver demain. Tamazight est pratiquement morte aujourd’hui. Mais elle a des chances pour revenir en force d’ici quelques années. Pour cela, elle a besoin des Hommes qui représentent concrètement et d’une bonne manière son avenir. Pour récupérer sa place et sa brillance, Tamazight a besoin d’une élite « berbérophone » qui l’utilisent pour communiquer ses idées et transmettre ses connaissances au peuple marocain et au reste du monde, et pas des bonimenteurs qui l’utilisent pour manipuler la masse populaire et atteindre leurs rêves [s’enrichir, accéder au pouvoir, améliorer leurs statuts socioprofessionnels, désunir le Maroc et les marocains, etc.], et qui n’ont offert au monde jusqu’à présent aucun apport culturel en Tamazight qui contribue à son expansion et qui preuve la sincérité de leur attachement à cette langue.
La culture marocaine est une culture riche du point de vue artistique, il y a beaucoup de festivals, de chants, de danses, et des spécialités culinaires qui représentent un point d'attraction pour les spécialistes du domaine et ceux qui veulent passer leurs vacances au Maroc. Mais du point de vue scientifique, le champ qui était hier rayonnant, est aujourd’hui à peu près mort.
Au sens sociologique du terme, la culture marocaine est l’ensemble des valeurs, des normes, et des pratiques acquises et partagées par les membres de la société marocaine.
Les valeurs marocaines
Les valeurs marocaines sont l’ensemble des idéaux auxquels les citoyens marocains adhérent et qui se manifestent dans leurs manières de penser [jugements, représentations, symboles], de sentir [groupe d’appartenance, groupe de référence], et d’agir [normes, rites, règles, etc.]. Ces valeurs s’imposent aux marocains comme une évidence. Mais il existe cependant une hiérarchie des valeurs : si les valeurs dominantes sont partagées par le plus grand nombre des marocains, d’autres idéaux ne sont acceptés que par certains groupes de la société marocaine.
Les normes marocaines
Les normes marocaines se caractérisent par l’ensemble des règles de conduites de la vie [mœurs, lois, et règlements] auxquelles les marocains sont censés se conformer.
La notion de norme permet de définir et de préciser les notions de « statut » et de « rôle social ». Le statut est la position d’un individu dans la hiérarchie sociale. Le rôle social est l’ensemble des comportements qui sont attendus d’un individu occupant une position sociale particulière.
Comme pour les valeurs marocaines, le degré d’adhésion ou de conformité aux normes marocaines varie d’un marocain à l’autre.
Les pratiques marocaines
Les pratiques marocaines désignent les modes de vie qui règnent l’atmosphère marocaine. Il s’agit des activités sociales et culturelles pratiquées de façon régulière par les membres de la société marocaine.
Les pratiques sociales se caractérisent par les fréquentations et les relations sociales, les loisirs, les pratiques sportives, associatives, politiques, etc.
Les pratiques culturelles représentent la fréquentation des lieux culturels [musée, cinéma, théâtre, spectacles, monuments, etc.] et la consommation ou l’utilisation des biens culturels [livres, médias, photographie, etc.].
La notion de pratique permet de définir et de préciser la « langue dominante » au Maroc. La langue dominante est la langue qui a la valeur [et pas la part] du lion dans la production marocaine de biens culturels. Elle est la langue élue par les « élites du Maroc » pour communiquer leurs idées et transmettre leurs connaissances au peuple marocain et au reste du monde.
Certes hier, la langue dominante « la langue utilisée par les marocains des lumières » était « Tamazight ». Mais aujourd’hui, cette langue a cédé son trône à la langue « arabe ». La suprématie de la langue arabe n’a aucun lien avec une islamisation ou une arabisation forcée. Elle est liée à la sacralisation de la « langue du Coran » et l’assimilation volontaire des anciennes générations berbères qui a conduit à la disparition de leur langue d’origine : Tamazight.
L’univers n’est qu’une succession de pensées et de mises en application de ces pensées. Ce sont nos attitudes et nos pensées qui seront responsables de tout ce qui va arriver demain. Tamazight est pratiquement morte aujourd’hui. Mais elle a des chances pour revenir en force d’ici quelques années. Pour cela, elle a besoin des Hommes qui représentent concrètement et d’une bonne manière son avenir. Pour récupérer sa place et sa brillance, Tamazight a besoin d’une élite « berbérophone » qui l’utilisent pour communiquer ses idées et transmettre ses connaissances au peuple marocain et au reste du monde, et pas des bonimenteurs qui l’utilisent pour manipuler la masse populaire et atteindre leurs rêves [s’enrichir, accéder au pouvoir, améliorer leurs statuts socioprofessionnels, désunir le Maroc et les marocains, etc.], et qui n’ont offert au monde jusqu’à présent aucun apport culturel en Tamazight qui contribue à son expansion et qui preuve la sincérité de leur attachement à cette langue.