La décision de boycott de l'opposition de la séance mensuelle consacrée à la politique générale du gouvernement, a suscité de vive réactions de la part de la majorité qui a noté que ceci pourrait porter atteinte à la bonne marche des séances parlementaires, comme le stipule la Constitution.
Ainsi, le ministre chargé des relations avec le parlement et de la société civile, Habib Choubani, a estimé que ce boycott constitue « un retournement doux contre la Constitution », ajoutant que la question aurait pu être réglée au sein du parlement au lieu de recourir au Conseil constitutionnel. Un recours que n’exclu pas Abdellah Bouanou, qui s'exprimait devant la jeunesse PJD samedi à Casablanca.
Pour sa part, le président de la Chambre des Représentants, Karim Ghellab a interpelé les composantes de la première Chambre afin de surmonter leurs divergences et accélérer la résolution des questions relatives aux séances mensuelles.
assabah
Ainsi, le ministre chargé des relations avec le parlement et de la société civile, Habib Choubani, a estimé que ce boycott constitue « un retournement doux contre la Constitution », ajoutant que la question aurait pu être réglée au sein du parlement au lieu de recourir au Conseil constitutionnel. Un recours que n’exclu pas Abdellah Bouanou, qui s'exprimait devant la jeunesse PJD samedi à Casablanca.
Pour sa part, le président de la Chambre des Représentants, Karim Ghellab a interpelé les composantes de la première Chambre afin de surmonter leurs divergences et accélérer la résolution des questions relatives aux séances mensuelles.
assabah