je t'ai repondu sur ta vision momaitaire du Ru , y a pas de probleme anglais puisque les positions sont clair et constante. apres l'allemagne c'est pas delicat ils sont a l initiative avec la france de la "faillite " de la grece avec la course aux armements donc leurs histoires devient peu credible et qd a mexico se sont les usa qui leve le ton pour plus de souplesse ça devient un probleme mondial.En fait il ne faut pas confondre le problème anglais et le problème allemand (il existe aussi un problème français). Les premiers ne veulent pas de l'Europe, ce n'est pas une question de moyens, de politiques etc... c'est une question essentielle, ils ne veulent pas, et n'ont aucune intention d'avoir une Europe avec des institutions fortes et qui produits des contraintes, donc ils la sabotent pour en faire un grand marché unique seulement.
Les seconds, c'est plus délicat, ils ne sont pas contre une Europe, ils sont en divergences sur les moyens pour aboutir à une Europe institutionnelle. Les allemands veulent un euro fort, trop fort pour une grande partie des pays de la zone, les allemands refusent des dispositions de solidarité poussées, comme les euro-bons, ou un financement direct par la BCE, ou des baisses des taux, un financement direct par la BCE de l'économie, comme par exemple la mise en place d'un système d'achat d'obligation d'entreprise...etc. Le premier reproche fait à l'Allemagne c'est la politique de l'euro fort, le second c'est sa politique de cavalier solitaire quand elle a entamé une politique de déflation salariale.
Aujourd'hui l'Espagne le Portugal, la Grèce, l'Italie.... Tous ont déjà fait une politique forcée, de déflation salariale, donc les conditions allemandes (a part en France) ont déjà été satisfait, et aujourd'hui l'Europe est en train de plonger doucement en déflation, à cause de la morosité du crédit, de la faible croissance, du renchérissement de l'euro (ce que fait la Chine actuellement y contribue un peu), de la politique d’austérité etc....Et aucune mesure n'est prise pour contrecarrer cela, c'est "Japonisation" de l'Europe qui est en marche. L’Allemagne refuse de céder sur la question de l'euro, on assistera prochainement à une baisse des taux chez la BCE, qui n'aura que très peu d'effets sur l'économie. Peut-être dans un année un LTRO (Long Term Refinancing Operations) qui reviendra en boomerang à monsieur Draghi. en placement chez la BCE, ou ira alimenter une bulle spéculative ici ou là. Que Draghi ex de Goldman Sachs trouvera plutôt sympathique.
on ne peut demander a ru de subventionner si l'allemagne se retire de plus y avait pas ici ds cette crise de finencement direct mais via fmi .
concernant la bce tout a l'heure tu l'as minimisé en parlant de non gouvernance eco hors la bce a depuis lisbonne une pm et des organes independant.