Une véritable polémique a été créée de toutes pièces par un lugubre personnage qui, à force de bluff, de mensonges et de déformation de la réalité, est parvenu à induire en erreur une partie de la société civile tangéroise sensible à tout ce qui touche au patrimoine historique ou culturel de sa ville.
L’histoire a commencé lorsqu’une honnête citoyenne Tangéroise, Malika El Alaoui, qui habite depuis 38 ans au sein du Parc Donabo, dans la forêt de R’milet, a eu la lumineuse idée de partager ce merveilleux espace de verdure avec les familles tangéroises et les visiteurs de notre ville, en faisant transformer une parcelle de 7800 m² de cet espace forestier en un jardin botanique ouvert au public, en bordure de la route conduisant au CAP Spartel.
Cette idée qui a reçu l’aval des autorités communales et locales de notre ville, a fait l’objet d’une étude spécifique financée par l’initiatrice du projet, ayant démontré qu’une partie de la forêt était en voie de dégradation et qu’il devenait urgent d’y apporter les soins nécessaires.
C’est ce que nous explique Malika El Alaoui dans un communiqué que nous publions intégralement sous encadré, dans cette même page.
Cependant, aussitôt les travaux entrepris avec la précieuse contribution des Eaux et Forêts et de l’Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA) pour la réhabilitation de la zone morte des plantations forestières, cela a déplu à notre lugubre personnage précité, qui habite aussi dans la zone.
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https://www.lejournaldetanger.com/news.php?extend.2073.2
L’histoire a commencé lorsqu’une honnête citoyenne Tangéroise, Malika El Alaoui, qui habite depuis 38 ans au sein du Parc Donabo, dans la forêt de R’milet, a eu la lumineuse idée de partager ce merveilleux espace de verdure avec les familles tangéroises et les visiteurs de notre ville, en faisant transformer une parcelle de 7800 m² de cet espace forestier en un jardin botanique ouvert au public, en bordure de la route conduisant au CAP Spartel.
Cette idée qui a reçu l’aval des autorités communales et locales de notre ville, a fait l’objet d’une étude spécifique financée par l’initiatrice du projet, ayant démontré qu’une partie de la forêt était en voie de dégradation et qu’il devenait urgent d’y apporter les soins nécessaires.
C’est ce que nous explique Malika El Alaoui dans un communiqué que nous publions intégralement sous encadré, dans cette même page.
Cependant, aussitôt les travaux entrepris avec la précieuse contribution des Eaux et Forêts et de l’Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires (ONSSA) pour la réhabilitation de la zone morte des plantations forestières, cela a déplu à notre lugubre personnage précité, qui habite aussi dans la zone.
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