" C’est un début de soirée dans le métro. Je suis sur la ligne 4. Le trajet se fait du nord au sud et la tranchée est verticale qui coupe la jugulaire de la capitale dans la peine.
La femme en noir est debout au coin d’une rame et n’attend personne. Elle a la puissance de celles qui aimantent à parité l’attention et la répulsion, la fascination et la détestation. .."
http://www.liberation.fr/chroniques/2015/12/07/la-femme-voilee-du-metro_1418963
Rréponse à la chronique de Luc Le Vaillant
"Votre chronique du jour dans Libération est une insulte aux femmes, et plus particulièrement aux femmes musulmanes. Vos mots obscènes, la sexualisation à outrance de la femme que vous imaginez regarder, tout cela ajoute à la nausée collective que nous ressentons déjà tous-tes au lendemain du premier tour des élections régionales. Vous avez pris un plaisir voyeur et quasi-pornographique à décrire cette femme, qui ne vous a rien demandé. Vous avez projeté sur elle vos fantasmes, vos délires laïcards, sans vous inquiéter une seconde de ce que « la femme en noir » peut réellement vivre, ressentir, croire. Vous vous servez de votre plume pour lui coudre une veste de contention solide, dont elle ne pourra jamais s’affranchir. Vous enfermez cette femme dans vos préjugés et ...."
http://dariamarx.com/2015/12/08/lettre-a-luc-le-vaillant/
La femme en noir est debout au coin d’une rame et n’attend personne. Elle a la puissance de celles qui aimantent à parité l’attention et la répulsion, la fascination et la détestation. .."
http://www.liberation.fr/chroniques/2015/12/07/la-femme-voilee-du-metro_1418963
Rréponse à la chronique de Luc Le Vaillant
"Votre chronique du jour dans Libération est une insulte aux femmes, et plus particulièrement aux femmes musulmanes. Vos mots obscènes, la sexualisation à outrance de la femme que vous imaginez regarder, tout cela ajoute à la nausée collective que nous ressentons déjà tous-tes au lendemain du premier tour des élections régionales. Vous avez pris un plaisir voyeur et quasi-pornographique à décrire cette femme, qui ne vous a rien demandé. Vous avez projeté sur elle vos fantasmes, vos délires laïcards, sans vous inquiéter une seconde de ce que « la femme en noir » peut réellement vivre, ressentir, croire. Vous vous servez de votre plume pour lui coudre une veste de contention solide, dont elle ne pourra jamais s’affranchir. Vous enfermez cette femme dans vos préjugés et ...."
http://dariamarx.com/2015/12/08/lettre-a-luc-le-vaillant/