Je résume :
les ados se couchent tard, passent la moitié de la nuit à tweeter des débilités ou à en regarder, ce qui fait qu’ils manquent de sommeil et piquent du nez le matin au lieu de suivre les cours.
S’ensuivent des « problèmes comportementaux », à savoir manque de concentration, addictions diverses, agressivité, « syndromes dépressifs », voire comportements « à risque ».
Autre grande découverte qui devrait valoir un Nobel à son brillant théoricien, sont davantage touchés « ceux dont le chronotype est “tardif”, c’est-à-dire ceux qui ont une propension naturelle à se coucher plus tard, plus impactés par cette forme de désynchronisation que ceux qui ont tendance à se coucher plus tôt, par la nécessité de se lever tôt pour aller en cours ».
Bienheureux, donc, les enfants de Cro-Magnon qui n’étaient pas touchés par la désynchronisation des rythmes biologiques, pas sollicités par leurs smartphones et leurs tablettes, pas obligés de se vautrer sur de molles banquettes pour soutenir leur squelette défaillant, pas tentés de picoler jusqu’au coma éthylique pour combler la vacuité de ce temps ni contraints de sortir dans le froid pour s’en griller une à 12 ans.
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les ados se couchent tard, passent la moitié de la nuit à tweeter des débilités ou à en regarder, ce qui fait qu’ils manquent de sommeil et piquent du nez le matin au lieu de suivre les cours.
S’ensuivent des « problèmes comportementaux », à savoir manque de concentration, addictions diverses, agressivité, « syndromes dépressifs », voire comportements « à risque ».
Autre grande découverte qui devrait valoir un Nobel à son brillant théoricien, sont davantage touchés « ceux dont le chronotype est “tardif”, c’est-à-dire ceux qui ont une propension naturelle à se coucher plus tard, plus impactés par cette forme de désynchronisation que ceux qui ont tendance à se coucher plus tôt, par la nécessité de se lever tôt pour aller en cours ».
Bienheureux, donc, les enfants de Cro-Magnon qui n’étaient pas touchés par la désynchronisation des rythmes biologiques, pas sollicités par leurs smartphones et leurs tablettes, pas obligés de se vautrer sur de molles banquettes pour soutenir leur squelette défaillant, pas tentés de picoler jusqu’au coma éthylique pour combler la vacuité de ce temps ni contraints de sortir dans le froid pour s’en griller une à 12 ans.
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